Un bon petit diable

Après une Table Ronde :

5/5 Plaisir de Lire .

.----. Est-il si bon ? Est-il si diable ? se sont demandés les enfants . Il ment beaucoup ! Est-ce permis de mentir dans certaines occasions (la catéchisme dit : ni pour s'excuser ni pour rendre service) mais on peut peut-être ne pas répondre ? etc... etc... Et pourquoi, malgré toutes ses bonnes résolutions ce garçon ne fait-il pas de progrès ? ... Juliette va le lui dire... et nos petits de feuilleter le livre avec avidité et de trouver toutes sortes de grandes vérités, notamment : tout le monde n'est pas de bon conseil et comment reconnaître les bons amis des mauvais, etc... etc... [ " Plaisir de Lire " , numéro 22 , Pâques 1973 ]

POUR QUI CE LIVRE ?

5/5 Culture et Lectures pour tous .

. ---- . Le tout jeune lecteur de 7-8 ans, trouvera dans cette lecture une joyeuse détente... D'une action mouvementée se dégage une moralité impeccable. Tout conduit à la victoire du Bien sur le Mal. Mais, si la morale reste identique en tout temps, ne remarque-t-on pas des conceptions forcées, voire démodées ou incomplètes... La bonté ne bannit pas forcément une certaine sévérité nécessaire dans l'éducation. La notion de mariage, la vie anormale de ce jeune garçon sent le côté irréel, impensable en 1970. Le " bon petit diable " est le tableau d'une époque révolue... assez rude par certains côtés. ( numéro XII - Pâques 1970 ).

Victoire de la bonté .

5/5 Culture et Lectures des Jeunes .

. ---- . Charles Mac Lance, jeune orphelin est confié à sa cousine Mac-Miche,tutrice de ses Biens, de sa fortune. Dure, attachée aux biens matériels, elle tyrannise son neveu, lui inflige une existence infernale. Le jeune Charles se rebiffe ; tout est bon pour se venger ; il devient méchant, " un diable ". Les cousines Dakins apportent le baume qui transformera ce jeune garçon en " bon petit diable ", puis en un jeune homme accompli et au cœur délicat. Juliette, l'aveugle, refait discrètement toute l'éducation de Charles. La pension " Old Nick " provoquera chez l'enfant un état de révolte aigüe. Il vivra chez les Dakins après la mort de la Mère Mac-Miche. Petit à petit, une conversion totale s'opère, grâce à Juliette ; une douce idylle naît : Charles épouse Juliette. Maria... le juge de paix. C'est la victoire de la bonté, du cœur, de la douceur : sentiments appuyés ici sur une solide piété. " La bonté attire, adoucit et corrige... la sévérité rend malheureux et méchant ". ( suite ... ).