Si Mussolini était conté... Raconte-nous, Grand-Père
Référence : 8217
3 avis
Date de parution : 1 février 2007
EAN 13 : 0010552500002
Nb de pages : 86
15.00 €
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Description
"Dans ce récit, tous les faits, les dates, les citations sont rigoureusement exacts. En revanche la vision générale et les éclairages particuliers me sont propres. Je ne prétends vous donner autre chose que ma vérité. Elle n'a pas grande importance. Elle a du moins une qualité. Elle est sincère et sans détour. Sur ces sujets, par les temps qui courent, ce n'est pas si fréquent..."
François Brigneau raconte à ses petits-enfants (quinze), la naissance, les vies et la mort de Benito Mussolini : l'agitateur socialiste, la Première Guerre mondiale, le patriote révolutionnaire, le fasciste en chemise noire, la marche sur Rome, Matteotti, l'Éthiopie, la guerre d'Espagne, la guerre tout court, Hitler, l'imitateur, l'ennemi, l'ami, le sauveur, la guerre civile européenne, la dernière République, et pour finir une des femmes qu'il a tant aimées et qui veut l'accompagner jusque dans la mort. Cinquante ans d'histoire d'Europe au pas de charge racontés par un vaincu.
François Brigneau raconte à ses petits-enfants (quinze), la naissance, les vies et la mort de Benito Mussolini : l'agitateur socialiste, la Première Guerre mondiale, le patriote révolutionnaire, le fasciste en chemise noire, la marche sur Rome, Matteotti, l'Éthiopie, la guerre d'Espagne, la guerre tout court, Hitler, l'imitateur, l'ennemi, l'ami, le sauveur, la guerre civile européenne, la dernière République, et pour finir une des femmes qu'il a tant aimées et qui veut l'accompagner jusque dans la mort. Cinquante ans d'histoire d'Europe au pas de charge racontés par un vaincu.
Titre | Si Mussolini était conté... Raconte-nous, Grand-Père |
Auteur | BRIGNEAU (François) |
Éditeur | PUBLICATIONS FRANCOIS BRIGNEAU (EDITIONS) |
Date de parution | 1 février 2007 |
Nb de pages | 86 |
EAN 13 | 0010552500002 |
Épaisseur (en mm) | 7 |
Largeur (en mm) | 135 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0.13 |
Biographie
François BRIGNEAU (1919-2012) François Brigneau est né à Concarneau (Finistère) le 30 avril 1919. De son véritable nom : Emmanuel Allot, il a usé de divers pseudonymes... Voir plus
Critique du libraire
François Brigneau raconte à ses quinze petits-enfants, la naissance, la vie et la mort de Mussolini. Ce sont en même temps 50 ans d´histoire vus du côté anti-conformiste. + 4 p. photos.
Les avis clients
Un echo .
5/5 Lectures Françaises / 1973 .
.----. L'écrivain Franco Baldini fait une révélation d'importance dans la revue " Storia Italiana ". Il s'agit du véritable meurtrier de Mussolini et de son amie Clara Petacci. Jusqu'ici, il était admis que leur meurtrier était le " colonel " Valerio, militant communiste dont le véritable patronyme est Walter Audisio. Le directeur du " Meridiano d'Italia ", De Agazio, fut assassiné par des communistes le 14 mars 1947, parce qu'il avait soulevé un coin du voile de cette tragédie. M. Baldini révèle le nom du véritable meurtrier du Duce et de la jeune femme : Luigi Longo, le successeur de Togliatti à la tête du Parti communiste italien. Le " colonel Valerio " avait seulement commandé une seconde exécution pour cacher l'assassinat. ( numéro 192 - avril 1973 ).
SI MUSSOLINI ETAIT CONTE
3/5 DIONYSOS
ET POUR PROUVER QUE MUSSOLINI N’ÉTAIT PAS DU TOUT ANTISÉMITE JE VAIS CITER RENZO DE FELICE : "Or Mussolini,lui, a eu deux maîtresse juives et pas des moindres : Angelica Balabanov et Margherita Sarfati" in "Les rouges et les Noires" éditions Georg, Genève, Suisse, 1999, page 148.
SI MUSSOLINI ETAIT CONTE
3/5 DIONYSOS
"Si Mussolini était conté" de François Brigneau, auto-édition de 2006.
Ce très bel essai de fiction (puisque les personnages ne sont pas fictifs) nous a donné le chagrin de la mort inhumaine du Duce, quelqu'un que le monde entier (pas seulement mes compatriotes) avait mal compris. Nous allons essayer de renverser les malentendus qui circulent encore aujourd'hui sur lui, soixante-treize ans après sa mort barbare. Le Grand Benito Mussolini a été d'abord fusillé par les sales communistes et puis son cadavre pendu par le pied. François Brigneau était un des co-fondateurs du Front National au début des années 70. C'est grâce à lui que nous avons appris qu'il était maçon et socialiste avant de devenir prof de français et puis Dictateur. Nous n'allons pas vraiment écrire une présentation de cet ouvrage vivifiant (puisqu'il nous a donné envie de faire revivre le personnage incompris) mais nous allons vous tirer l'attention sur quelques points oubliés (peut-être) de son parcours important. Sur la page 21 nous lisons :"c'est Mussolini qui lance à Rome le Pacte à quatre pour essayer d’empêcher le réarmement allemand". Sur la page 60 nous lisons : "Il n'a jamais été antisémite doctrinal, viscéral ou religieux". Huit pages avant nous avons pu lire : "Nous entrons en lice contre les démocraties ploutocratiques et réactionnaires de l'Occident". Mais la phrase qui nous a enthousiasmé était quand Brigneau raconte que sa file s'appelait Edda puisque avec cette citation nous avons pu comprendre que le Grand Duce était un Grand Poète puisqu'il voulait que sa famille fasse référence au Grand Poète scandinave Snorri Sturluson et à ses poèmes épiques et fantastiques. Mais malheureusement les sales communistes italiens de 1945 ont piétiné et lynché avec des coups de pieds très forts et inhumains sa sépulture exhibée publiquement pour cette raison. Nous terminons en vous disant que nous avons aussi lu le roman du Duce "La Maîtresse du Cardinal", un roman qui pourrait être taxé comme "anti-chrétien" puisque la parodie anti-religieuse concerne les chrétiens, pas une autre religion.
Et pour faire une référence contemporaine au drame du Grand Duce nous allons citer sur la page 12 Luigi Facta (ex Président du Conseil Ministériel) démissionne et juste après le Roi Emmanuel charge Mussolini de former un gouvernement. La librairie parisienne et proche à nos préoccupations Facta vient de fermer ses portes et cela est très négatif pour nous tous puisqu'elle était une belle librairie pour les lecteurs exigeants.
écrit par Dionysos Andronis