Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Avant Noël, nous expédions tous les articles disponibles de vos commandes ; les reliquats sont livrés ultérieurement.

Philippe de VILLIERS (1949 - )

Philippe de VILLIERS (1949 - )

Né le 25 mars 1949 à Boulogne (Vendée), Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon s'est marié en 1973 à Mlle Dominique de Buor de Villeneuve et eut sept enfants. Il fit ses études dans l'institution saint Joseph à Fontenay-le-Comte, et la faculté de droit de Nantes où il obtient une maîtrise de droit. Il fut diplômé de l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris et élève à l'Ecole nationale d'administration (ENA). 

Il devint administrateur civil au ministère de l'Intérieur, puis directeur de cabinet du préfet de la Rochelle, sous-préfet de Vendôme, secrétaire d'Etat auprès du Ministre de la Culture et de la Communication, membre, puis Président du Conseil général de la Vendée. En 1987 il fut proclamé député de la Vendée, charge à laquelle il fut élu en 1988 et réélu en 1993 et 1997. Député européen, vice-président du groupe Europe libertés démocratie, délégué national, chargé des relations avec les milieux culturels et les jeunes de l'Union pour la démocratie française, créateur et président du mouvement Combat pour les valeurs, cofondateur et vice-président du Rassemblement pour la France, sa carrière est très remplie et le Puy du Fou, parc d'attractions qu'il a créé dans les années 1980 remporte de très grands succès et est internationalement connu. 

"Chiré" a eu la joie et l'honneur de l'avoir invité à ses Journées Chouannes 2013 et 2016 pendant lesquelles il a fait une conférence sur son ouvrage "Le roman de Charette". 

La revue Lecture et Tradition n° 26 de juin 2013 est consacrée à un entretien avec Philippe de Villiers. 

« Les Vendéens nont pas été exterminés pour leurs actions, mais pour ce quils étaient. Je demande au Président Emmanuel Macron, qui cherche à rassembler les mémoires, de reconnaître ce génocide. Il n'y a jamais eu de sépulture. » (En quête d'esprit du 29/01/2023 sur CNews).