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Le jour d´après - Ce que je ne savais pas... et vous non plus

Référence : 117562
7 avis
Date de parution : 7 avril 2021
EAN 13 : 9782226461995
Nb de pages : 224
19.00
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Description
"Ce que nous avons vécu a déjà été joué. À New-York. Lors d'une réunion ou plutôt d'un exercice de simulation d'une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019 ; tout a été filmé et se trouve sur internet. Cela s'est passé plusieurs mois avant la survenance du virus. En réalité, les participants - les géants du capitalisme de surveillance - anticipaient ainsi la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d'un seul tenant, sans cloisons. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s'y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir. Quand elle survint, ils la saluèrent comme "une fenêtre d'opportunité".
Pour les rentiers du numérique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d'essai l'idée d'une "société disciplinaire".
Ainsi les élites globalisées ont-elles préparé le jour d'après. Occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société. Et imposer enfin leurs codes de désocialisation, leur esthétisme woke, leur idéologie du Bien total."
Ayant entre les mains des éléments d'information fiables, recoupés, glaçants, Philippe de Villiers a décidé de prendre la plume pour alerter les Français, en espérant contribuer ainsi à l'insurrection des consciences.
TitreLe jour d´après - Ce que je ne savais pas... et vous non plus
Auteur VILLIERS (Philippe de)
ÉditeurALBIN MICHEL (EDITIONS)
Date de parution7 avril 2021
Nb de pages224
EAN 139782226461995
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)18
Largeur (en mm)144
Hauteur (en mm)225
Poids (en Kg)0.30
Biographie
Philippe de VILLIERS (1949 - )
Philippe de VILLIERS (1949 - )

Né le 25 mars 1949 à Boulogne (Vendée), Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon s'est marié en 1973 à Mlle Dominique de Buor de Villeneuve et eut sept enfants.

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Critique du libraire
Le jour d'après Ayant entre les mains des éléments d'informations fiables, recoupés, glacants, j'ai décidé d'alerter les Français, en espérant contribuer à l'insurrection des consciences. Entendu sur Europe 1 : Philippe de Villiers : Emmanuel Macron "c'est lui le patron, le responsable de tout ce qui s'est passé (...) Il a laissé se dresser un mur invisible entre la société française et une contre-société vindicative qui veut nous coloniser" Philippe de Villiers sur les propos d'Emmanuel Macron qui qualifie la colonisation de crime contre l'Humanité : "Un président qui dit ça, je pense qu'il ne peut pas se représenter" Philippe de Villiers : Olivier Véran "s'il avait été connu par M. Orwell, il aurait été ministre de la Vérité (...) C'est eux le complotisme" Philippe de Villiers sur la crise du Covid : "Il y a deux humanités : ceux qui sont condamnés à mourir (...) et les autres, ceux qui prospèrent qui sont les amis du webistan" ( Europe Un le 9 avril 2021 )
Les avis clients
ce que je ne savais pas et vous non plus
5/5 marie marcel
GLACANT DE VERITES
Brûlante actualité.
5/5 Lectures Françaises.
.----. " Nous vivons le naufrage d'une société rongée de l'intérieur par ses propres conquêtes et ses chimères, le naufrage d'une civilisation désorientée, déracinée, qui a mis les souches en l'air ". ... La circonstance m'en a été offerte par la lecture du dernier livre de Philippe de Villiers, Le jour d'après duquel j'ai extrait la phrase mise en exergue ci-dessus. Car il s'agit d'un ouvrage d'une " brûlante actualité ", selon la formule consacrée ! Ce que nous avons lu est totalement approprié à ce que nous sommes en train de vivre et de supporter, hélas ! Les propos exprimés sont très loin d'être engageants, mais ils ont le mérite de ne pas laisser la vérité étouffée sous le boisseau. En tant que revue d'"analyse politique", il faut bien nous résoudre à rester pragmatique, ne pouvant nous voiler la face, car nous sommes confronté à un réalisme bien inquiétant qu'il serait pusillanime de dissimuler. Philippe de Villiers a rédigé et argumenté le contenu de son livre à partir d' " éléments d'informations fiables, recoupés, glaçants ", dont il fournit toutes les sources et références. L'analyse dont nous venons ainsi de prendre connaissance, aussi dramatique soit-elle, a le mérite de donner des explications à tout ce qui se bouscule en ce moment autour de nous qui nous aident, avec discernement, à conserver un œil clairvoyant sur l'accumulation des évènements qui se précipitent en France et dans le monde. Tout le plan a été publié dans un livre paru en 2020 : The Great Reset, en traduction française, Covid-19 : la grande réinitialisation (Ed. Forum Publishing). Son auteur, Klaus Schwab, y annonce très clairement, sans ambages, la fin du monde d'avant, pour vivre "le jour d'après ". ... [ extrait de l'éditorial de Jérôme Seguin dans Lectures Françaises, numéro 773 - septembre 2021 ]
Le Futur d’après Davos
5/5 http://lafautearousseau.hautetfort.com/
.----. C’est du Villiers, pur sang ; les gens qui n’ont pas d’âme diront pur jus. Mais non, ce n’est pas du jus qui circule dans ce dernier essai de l’ami Philippe ! C’est du sang et qui bouillonne à chaque page, du sang français et de vieille souche, toujours vif et fier, comme dans les essais précédents. Sauf que là, il s’agit de vie et de mort. Et le sang, c’est la vie, c’est l’âme, c’est le don divin, comme il est dit dans la Bible et comme le rapportent nos traditions. Philippe de Villiers n’est pas un complotiste, comme il s’amuse à nous le préciser au début de son ouvrage ; et, pourtant, il dénonce ce qui a bien l’apparence d’un complot dont il démonte les rouages, montre l’origine et dénonce les desseins, preuves et documents à l’appui. Le forum de Davos en est le centre intellectuel et la cuve d’incubation, alimentant toutes ses ramifications internationales dont Macron fait partie, ayant été initié déjà jeune, et dont maintenant toute la macronie est le relais intéressé. Question de pouvoir ! De pouvoir mondial dont les pouvoirs locaux ne sont plus que les agences, non au service des États, des nations et des peuples, mais à la disposition de la vision nouvelle du monde que la technique et l’idéologie du progrès qui s’attribuent à elles-mêmes leur propre finalité, prétendent façonner en créant, s’il le faut, un nouveau type d‘humanité. Lisez Klauss Schwab, le fondateur et le patron de Davos dans ses essais, dans ses préconisations, dans ses anticipations. Villiers le cite et le récite : c’est clair ! Le monde de la finance, de l’économie, de la technologie, dite avancée, de la politique est amené de plus en plus à vivre en symbiose avec de telles conception par le biais d’affidés parfaitement conscients qui font les affaires de tous les Bigs, big data, big pharma, big « gafa ». De réunions en réunions, les projets s’élaborent, y compris la gestion et la récupération d’une pandémie provoquant une crise mondiale anticipée de quelques mois : c’est daté, acté, dûment enregistré. Pas de désinformation ! Villiers donne toutes les précisions. C’est énorme ! Car Le jour d’après pour reprendre le titre du livre ne doit plus ressembler aux jours d’avant. Voilà ce qui est prévu . Le plan est d’opérer, à cette occasion, un saut qualificatif brusque qui rappelle la philosophie hégélienne ; Il s’agit d’en profiter pour arracher aux hommes, aux nations, leurs âmes afin de pouvoir mieux les manipuler et les transformer en machines, en robots dédiés à ce nouveau genre de « maître de la terre ». Il est bon de savoir que Macron en personne fut le chouchou de Schwab. Il faut rappeler aussi comment il fut adoubé par l’assistance de Davos en 2018 après son fameux discours–programme d’un mondialisme affiché Villiers ne lui pardonne pas cette allégeance qui explique toute sa politique. Il lui a dit en face ses quatre vérités lors d’un dîner à l’Élysée, raconté comme si on y était. Témoignage historique ! Le style est flamboyant comme à l’habitude avec des effets qui ne manquent jamais de frapper comme il convient en ces matières si graves Ce qui n’empêche pas cette drôlerie si caractéristique de notre auteur qui entraîne le lecteur sur le chemin de l’inconcevable. [ Signé : Hilaire de Crémiers le samedi 17 juillet 2021 ] ]
Ph. de Villiers sur Jupiter-Macron
5/5 Charte de Fontevrault-providentialisme.
.----. Découvrez dans le Salon Beige la dernière prise de position de Villiers sur Jupiter-Macron. ( Charte de Fontevrault ) Dans l’entretien accordé à TVLibertés, Philippe de Villiers critique la personnalité d’Emmanuel Macron. Celui qui évoquait un lien amical avec le président de la République considère aujourd’hui que ce dernier “n’a pas le goût de la France. Ce pays est trop vieux pour lui !”. La rupture date du 3 mars 2019. Il s’en explique ouvertement et évoque la nécessité absolue de battre l’actuel locataire de l’Elysée. Philippe de Villiers décrit aussi dans son nouveau livre à succès “Le jour d’après”, un monde qui passe du politique au bio politique. Il cible ceux qui, comme le patron du Forum de Davos, Klaus Schwab, veulent mettre à profit les crises sanitaires pour nous faire basculer dans une société distanciée, désagrégée, contrôlée par le numérique et imposant le capitalisme de surveillance ( L'intégrale de la déclaration " Villieresque" est à à lire dans " Le salon beige".)
Des collabos ?
5/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. Invité de l’émission L’Heure des Pros sur Cnews, Philippe de Villiers, dont le livre est n°1 des ventes en France, a dénoncé ceux qui dénoncent les amalgames : « Les Français voient bien qu’il y a un lien entre l’immigration et le terrorisme. L’immigration est le terreau de l’islam qui est le terreau de l’islamisme qui est le terreau du terrorisme qui nous préparent à ce que Houellebecq a appelé la grande soumission » “Ceux qui refusent de faire le lien entre immigration et terrorisme ont du sang sur les mains. Ce sont des collabos qui nous préparent à ce que Houellebecq a appelé la grande soumission » « L’enjeu de la prochaine présidentielle, c’est ou bien on retrouve une politique de civilisation, ou bien on laisse le pays s’effondrer et l’aventure finir. C’est ou la refrancisation, ou l’aventure se termine » [ Michel Janva le 28 avril 2021 ]
Les mondialistes tiennent leur grand soir
5/5 https://www.lesalonbeige.fr
.----. Dans Le Jour d’après, Philippe de Villiers raconte, à partir d’informations glaçantes, notre avenir post-crise sanitaire. Le masque pour tous est un prélude à la vaccination, elle-même prélude à l’identification numérique puis au marquage humain, avant l’ère transhumaniste. Lors d’un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019, soit avant la crise, les géants du capitalisme de surveillance anticipaient la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d’un seul tenant, sans frontières, mondialiste. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s’y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir. Quand elle survint, ils la saluèrent comme « une fenêtre d’opportunité ». Pour les rentiers du numérique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d’essai l’idée d’une « société disciplinaire ». Ainsi les élites globalisées ont-elles préparé le jour d’après. Occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société. Et imposer enfin leurs codes de désocialisation, leur esthétisme woke, leur idéologie du Bien total. A ce titre la société du numérique, avec les GAFA, rejoint la cancel culture, l’idéologie indigéniste, le mouvement Black Lives Matter dans un projet d’effacement du passé, de négation des identités, pour une grande réinitialisation, le Great Reset, vieille idée prométhéenne : C’est la vieille idée ainsi recyclée de faire naître un homme neuf, débarrassé des anciennes pesanteurs. Cette “remise à zéro”, préconisée par le Forum économique mondial, en juin 2020, prépare un nouveau monde où plus rien ne sera comme avant. Le Great Reset est une sorte de “Grand Soir” biotechnologique qui a pour vocation de faire entrer l’humanité et la planète dans une phase de régénération inédite et salvatrice. [ Publié par Michel Janva le 21 avril 2021 ]
La France est en coma végétatif.
3/5 https://www.francisrichard.net/
.----. C'est pour les autres que j'écris. Ceux qui ne sont pas contents. Et qui n'ont rien dit et qui ne diront rien mais qui n'en pensent pas moins. Ils tiennent à leur libre arbitre. Ce sont de ces procureurs-lecteurs que j'ai en quelque sorte recueilli la procuration virtuelle. J'ai imaginé qu'ils m'avaient engagé pour parler à leur place. Dans Le jour d'après, celui qui suivra la pandémie, Philippe de Villiers fait le rapprochement entre trois événements: - le Global Vaccination Summit qui a eu lieu à Bruxelles le 12 septembre 2019, où étaient réunis la Commission européenne et l'Organisation mondiale de la santé, et au cours duquel est émise l'idée d'imposer "un passeport vaccinal"; - la réunion le 18 octobre 2019 à New-York du Centre John-Hopkins pour la sécurité sanitaire, dont les partenaires sont la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum de Davos, et au cours duquel un exercice fictif de gestion de crise d'une pandémie de coronavirus est simulé (voir mon article Haro sur les riches du 28 avril 2020); - la publication en juin 2020, du Great Reset par Klaus Schwab, le fondateur du Forum de Davos (voir mon article du 2 mai 2021 sur l'analyse qu'en fait Eric Verhaeghe dans son livre éponyme). PAS DE COMPLOT: TOUT EST SUR LA PLACE PUBLIQUE Au contraire des complotistes qui verraient dans le rapprochement de ces trois événements, la preuve d'un complot mené par des gens puissants, qui auraient provoqué la pandémie de Covid-19 pour parvenir à leurs fins, Philippe de Villiers écrit: Il n'y a pas d'officine ni de cellule secrète. Il n'y en a plus besoin. Tout est sur la table ou plutôt sur la place publique. La pandémie n'a pas été provoquée par ces gens puissants: elle aura été pour eux une fenêtre d'opportunité, selon l'expression de Klaus Schwab, pour implanter non pas un monde meilleur, mais le meilleur des mondes, le Nouveau Monde. Le bémol est que la pandémie n'aura pas été aussi meurtrière qu'imaginée lors de l'exercice du 18 octobre 2019 avec ses soixante-cinq millions de victimes... et qu'en conséquence le jour d'après qu'ils appellent de leurs voeux pourrait être compromis. LE NOUVEAU MONDE QUI VIENT Une fois fait ce rapprochement entre ces trois événements qu'il ignorait, l'auteur en fait d'autres en remontant le temps et en s'apercevant que le Nouveau Monde qui vient est préparé depuis longtemps aux yeux et au su de tout le monde. Il révèle, entre autres, que le jeune Emmanuel Macron avait pour mentors Jacques Attali, qui lui a appris à communier sous les deux espèces: le progressisme et le mondialisme, et... Klaus Schwab, qui l'a élu en 2016 Young Global Leader. En attendant, la gestion de la pandémie dans les pays avancés a répondu et répond à l'attente de ces tenants d'un capitalisme de connivence et de surveillance: J'ai appris avec le recul que le dispositif anti-Covid était à la fois une préfiguration de la félicité numérique et un sas expérimental pour les concepteurs et acteurs du Nouveau Monde. UN MONDE DÉCONNECTÉ DE LA RÉALITÉ Ce n'est pas pour rien que les Français ont été privés de libertés fondamentales: la liberté d'aller et venir, la liberté de travailler, de créer, d'entreprendre, de se rencontrer, la liberté de culte, la liberté de vivre la France comme un acte littéraire. Il s'agissait de faire en sorte qu'ils se laissent apprivoiser par les plateformes virtuelles, qu'ils restent le plus longtemps possible à la maison (voir mon article du 19 mars 2021, Restez chez vous mais connectés) et, pour qu'ils ne dépriment pas, qu'ils aient sous la main une console de consolation. Comme l'auteur a le sens de la formule, il conclut: On aura le choix entre caresser le siamois qui miaule et promener la souris qui clique. Le Nouveau Monde sera déconnecté de la réalité et connecté virtuellement. Il aura fait disparaître l'ancienne économie (les restaurants, les cafés, les librairies, les commerces etc.) après avoir procédé (1) à l'appropriation publique des moyens de production via le surendettement. LA TABLE RASE Le Nouveau Monde aura fait disparaître la classe moyenne: La gouvernance techno-capitaliste des socialistes milliardaires a déjà anticipé la suite. Ils prévoient, pour les déclassés, un revenu de base universel. Les premiers seront essentiels et les seconds ne le seront pas... Un rapprochement peut en cacher un autre. L'auteur voit dans le Great Reset et dans la cancel culture une même vision de la table rase: il s'agit de nettoyer le contemporain de toutes ses attaches pour en faire un objet utilitaire, interchangeable et numérique. Il est moins convaincant quand il s'étonne du compromis entre ceux qu'il appelle à tort des ultra-libéraux et les libertaires, qu'il considère comme des ennemis naturels. Il est plus convaincant quand ils les baptisent respectivement mondialistes et écolo-sociétalistes. En effet ce qui rapproche ces idéologues, ces collectivistes, qui veulent soumettre les autres et n'aiment pas les individualités, c'est la table rase: toute idée de limite et de distinction, de culture et de transmission sont des obstacles à abattre pour imposer leurs utopies et intérêts respectifs. LES MURS PORTEURS Ces entreprises de démolition, de déconstruction, se sont attaqué aux quatre murs porteurs de la société française: - L'Autorité: L'autorité paternelle qui préservait la famille; l'autorité régalienne qui soutenait l'État; l'autorité magistrale qui tenait la classe et l'autorité spirituelle qui élevait les âmes. - La Sécurité: Les délinquants, les bandes peuvent courir, la sécurité, première raison de vivre en société plutôt qu'en troglophile n'est plus assurée. - La Souveraineté: On l'a vu avec le virus, nous ne sommes plus souverains, cela veut dire que nous sommes dépendants pour les domaines pharmaceutique et numérique. (c'est ce que l'auteur voit, mais ce qu'il ne voit pas, ou pas assez, c'est que l'État obèse, sortant du régalien, s'occupe de ce qui ne devrait pas le regarder, avec pour conséquence, notamment, la désindustrialisation qu'il déplore) Pour l'auteur, comme pour de Gaulle, l'État de droit, c'est la souveraineté populaire, or le juge n'apprécie plus le droit dans un esprit de transparence de la loi, et donc de la volonté du peuple, mais à travers le tamis de ses préjugés, ou plutôt de son idéologie... Avec Marcel Gauchet, l'auteur dit aussi que la souveraineté du peuple ne doit pas opprimer les droits individuels qui ne doivent pas non plus conduire à la liquidation de la souveraineté du peuple... - L'Identité: Elle a été abîmée par les mouvements indigénistes et troublée par l'islam conquérant. La France perd sa substance et se décompose. On a pratiqué l'euthanasie dans les EPHAD [...]. Le monde a glissé, depuis l'engendrement naturel de l'enfant, vers la procréation technique, et la sélection organisée est devant nous. Cette déshumanisation programmée ne peut aboutir qu'à une post-humanité où l'homme et la machine vont faire cause commune... CONCLUSION Il faudra réapprendre aux enfants de France que la souveraineté est un beau mot: on est souverain quand on est autonome, qu'on reprend le pouvoir sur sa vie, son corps, ses échanges, sa parole et sa pensée. Et qu'on cultive le primat du lien sur le bien, de la conscience humaine sur le Système. La France est en coma végétatif. Le monde entier, mi-inquiet, mi-goguenard, attend qu'on la réveille. Car c'est à elle qu'il reviendra de donner le signal de l'insurrection de l'esprit. Sauvons la liberté, elle fera le reste. ( Francis Richard le 28 mai 2021 ) ------------------------------------------------- (1) - Non pas sur un mode libéral comme le dit l'auteur, qui a ses lacunes théoriques et sémantiques..