Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

Mes derniers cahiers (4ème série) N° 2 - A Fresnes au temps de Brasillach. T3

Référence : 39377
1 avis
Date de parution : 1 décembre 1994
EAN 13 : 0000076600005
Nb de pages : 88
9.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 1 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
Sommaire :
I. Avant le procès
Pauvre... mais ambitieux !
Qui a sauvé Béraud ?
L'avenir est à nous
Me Isorni et le procès
La messe à Fresnes
A l'imitation de Jeanne
II. Le procès
Une sentence exemplaire
III. La mise à mort
Le 5 février au soir : j'ai confiance
TitreMes derniers cahiers (4ème série) N° 2 - A Fresnes au temps de Brasillach. T3
Auteur BRIGNEAU (François)
ÉditeurPUBLICATIONS FRANCOIS BRIGNEAU (EDITIONS)
Date de parution1 décembre 1994
Nb de pages88
EAN 130000076600005
Épaisseur (en mm)6
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.12
Biographie
Les avis clients
Les prisons de l'épuration.
5/5 Henry Coston/Lectures Françaises.
.----. La deuxième de ces publications que je vous recommande, c'est le tome II de la 4e série des "DERNIERS CAHIERS" de l'ami François Brigneau, tout entier consacré à la prison de Fresnes, où l'on enferma, à la Libération, des milliers de partisans du maréchal Pétain. Son titre : "A Fresnes, au temps de Brasillach " précise bien ce que contient ce fascicule. Robert Brasillach, dont François était le compagnon de geôle -- je n'ai moi-même connu l'hospitalité de la République, à Fresnes, qu'en 1946-1947, avant d'être transféré, chaînes aux mains et aux pieds, avec mon vieux camarade Jean Costes, alias Jacques Bordiot, au bagne de l'île de Ré. ----.... ---... --.. -. A la lecture de l'ami Brigneau, on a une idée très précise de ce qu'était la vie des prisons de l'épuration. Il faut avoir lu ces pages à la fois ironiques et mordantes, souvent émouvantes, pour comprendre que ce n'était pas " la vie de château " et que les fidèles du Maréchal étaient infiniment moins bien traités que les violeurs et les trafiquants d'héroïne actuellement sous clé. C'est un petit ouvrage qu'il est aisé de répandre : son format et son prix facilitent sa diffusion. (numéro 456, avril 1995 ).