Les précurseurs : Claudel, Mauriac et Cie. Catholiques de littérature
Référence : 2266
4 avis
Date de parution : 1 novembre 1978
Éditeur : CHIRE (EDITIONS DE)
EAN 13 : 9782851900388
Nb de pages : 114
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Description
"Monseigneur Ducaud-Bourget a l'âme tendre d'un poète et la plume féroce d'un Louis Veuillot pour dénoncer les catholiques de littérature et les nouveaux évangélistes de salon." Juvénal.
"Nous accorderons à Mgr Ducaud-Bourget qu'il a raison sur bien des points de son réquisitoire. Théologien imparfait, commentateur biblique plus exalté qu'inspiré, Claudel a montré souvent tant d'aveugle mépris, d'infatuations et jusqu'à des manques de goût si évidents qu'il nous ferait douter de son intelligence tant il paraît incapable d'accorder du respect à ce qu'il ne comprend pas." Pierre de Boisdeffre, Lettres du Monde.
"Claudel est un Chateaubriand qui manquerait de souffle. Un Chateaubriand aux psaumes. "Je ne me reconnais qu'une seule patrie, a-t-il écrit, c'est l'Eglise". A quoi Monsieur le Curé de Saint Germain-l'Auxerrois (l'abbé Ducaud-Bourget) riposte dans un détonnant pamphlet, qui dégonfle cette outre pleine de vin : "Il semble que M. Claudel devrait aller au catéchisme ou à l'école. L'un ou l'autre lui a manqué. Peut-être les deux." Après sa fameuse ode à Pétain devenue l'Ode à De Gaulle, on a compris ce que Claudel était par rapport à l'Eglise : la girouette qui grince à la pointe du clocher, tournant au moindre vent." Le Canard Enchaîné.
"Nous accorderons à Mgr Ducaud-Bourget qu'il a raison sur bien des points de son réquisitoire. Théologien imparfait, commentateur biblique plus exalté qu'inspiré, Claudel a montré souvent tant d'aveugle mépris, d'infatuations et jusqu'à des manques de goût si évidents qu'il nous ferait douter de son intelligence tant il paraît incapable d'accorder du respect à ce qu'il ne comprend pas." Pierre de Boisdeffre, Lettres du Monde.
"Claudel est un Chateaubriand qui manquerait de souffle. Un Chateaubriand aux psaumes. "Je ne me reconnais qu'une seule patrie, a-t-il écrit, c'est l'Eglise". A quoi Monsieur le Curé de Saint Germain-l'Auxerrois (l'abbé Ducaud-Bourget) riposte dans un détonnant pamphlet, qui dégonfle cette outre pleine de vin : "Il semble que M. Claudel devrait aller au catéchisme ou à l'école. L'un ou l'autre lui a manqué. Peut-être les deux." Après sa fameuse ode à Pétain devenue l'Ode à De Gaulle, on a compris ce que Claudel était par rapport à l'Eglise : la girouette qui grince à la pointe du clocher, tournant au moindre vent." Le Canard Enchaîné.
Titre | Les précurseurs : Claudel, Mauriac et Cie. Catholiques de littérature |
Auteur | DUCAUD-BOURGET (Mgr François) |
Éditeur | CHIRE (EDITIONS DE) |
Date de parution | 1 novembre 1978 |
Nb de pages | 114 |
EAN 13 | 9782851900388 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 8 |
Largeur (en mm) | 140 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0.14 |
Biographie
Mgr François DUCAUD-BOURGET (1897-1984) Né en 1897 à Bordeaux Mgr Ducaud-Bourget fut ordonné prêtre en 1924, il fut nommé vicaire dans plusieurs paroisses de la région parisienne jusqu'à la déclaration de guerre de 1939. La débâcle l'a conduit provisoirement à Toulouse. Voir plus
Critique du libraire
Postface par le R.P. Valentin Breton, o.f.m. Un excellent exposé critique sur ces deux grands auteurs considérés comme catholiques. Claudel voit son œuvre disséquée par le prélat et jugée plagiat des Livres Saints, tandis que Mauriac, preuve à l´appui, est déclaré scandaleux.
Les avis clients
Impitoyable !
5/5 L'appel des pins.
.----. Deuxième édition d'un volume qui a eu, en 1950, un très grand succès de presse (du Canard enchaîné à Aux Ecoutes, sans oublier presque tous les quotidiens) et d'édition. Jamais, sans doute, un écrivain ne fut plus vigoureusement fustigé par un critique que M. Claudel ne l'est pour l'ensemble de son œuvre ; l'exécution est impitoyable. Pour finir l'auteur conseille vivement, à ses frères catholiques, de "chercher ailleurs leur pâture spirituelle et le guide de leur conscience." [ Numéro 39 - avril 1979 de " L'Appel des pins " bulletin trimestriel des Amis de Garabandal - Directeur-gérant : Abbé Jehan de Bailliencourt ]
La reconnaissance de Rebatet .
5/5 Lectures Françaises / 1970 .
.----. A l'autre disparu, François Mauriac, M. Lucien Rebatet consacrait son article dans le même numéro de " RIVAROL ". " J'avais été fort ému en arrivant à Fresnes au mois d'octobre 1945, écrit M. Rebatet, d'apprendre avec quelle ardeur François Mauriac avait tenté d'arracher Robert Brasillach au poteau. De nos innombrables adversaires, c'était bien celui dont nous attendions le moins cet élan généreux. Lorsque, treize mois plus tard, j'eus les chaines aux pieds, il écrivit sur ma condamnation un article qui était un appel à la clémence, alors que je l'avais roidement injurié dans les " Décombres " et dans maintes chroniques. Il signa ensuite, aux côtés de Gide, de Claudel, de Cocteau la pétition pour ma grâce. J'aimerais, en écrivant ces lignes le jour de ses obsèques, ne me rappeler que ces traits, son énergique intervention en faveur du général Jouhaud condamné à mort par De Gaulle, réchauffer la reconnaissance qu'il m'inspira ". C'est cette intervention de l'écrivain qui inspira à M. Maurice Bardèche son livre fameux : " Lettre à François Mauriac ". ( numéro 162 - octobre 1970 ).
Complément.
5/5 Lectures Françaises-1957.
.----. Le numéro 2 de Lectures Françaises la revue que venait de créer Henry Coston titrait " Un journal de propagande progressiste TEMOIGNAGE CHRETIEN"; l'introduction nous disait: En consacrant plusieurs livres à ceux qu'Auguste Cavalier nommait " les Rouges Chrétiens ", MM. l'Abbé Ducaud-Bourget (Faux-Témoignage " Chrétiens " et " Claudel Mauriac et Cie ".) et Jean Madiran ("Ils ne savent pas ce qu'ils font " et "Ils ne savent pas ce qu'ils disent ".) ont attiré l'attention du public sur les infiltrations progressistes dans les milieux catholiques...et il poursuivait par un dossier argumenté...
C'EST LE MOMENT
3/5 JEAN
Ce livre est absolument indispensable au moment ou la célèbre collection "LA PLEIADE" publie un album et les oeuvres de CLAUDEL Certes on peut aimer l'auteur, mais il ne faut pas se tromper sur l'homme (JEAN SAUMUR 49)