Le suprémacisme blanc - Peuples autochtones et Great Reset
Référence : 118560
1 avis
Date de parution : 26 juin 2021
Éditeur : CULTURE ET RACINES (EDITIONS)
EAN 13 : 9782491861216
Nb de pages : 300
20.00 €
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Description
Depuis quelques années, le discours politico-médiatique s'est emparé de la question du suprémacisme blanc et le présente comme une menace universelle.
Qu'en est-il réellement ? Le suprémacisme racial en général est la doctrine qui affirme l'existence d'une hiérarchie entre les races et la supériorité de certaines races sur d'autres. Son expression la mieux documentée est le suprémacisme blanc, qui a connu quatre tentatives historiques de trouver une forme institutionnelle dans des régimes politiques : la Confédération sudiste, prolongée dans le Ku Klux Klan ; l'apartheid en Afrique du Sud ; le Troisième Reich ; l'Ukraine post-soviétique. Quatre tentatives, mais aussi quatre échecs.
Avant de porter un jugement sur le suprémacisme blanc en tant que tel, cette étude vise surtout à répondre à la question : « Pourquoi ces échecs ? » S'agit-il de causes internes ou externes ? De facteurs endogènes ou exogènes ? Ces échecs répétés viennent-ils d'un défaut de conception ou d'ennemis trop puissants ? Peut-être les deux à la fois dans la mesure où le suprémacisme blanc pourrait bien être en fait son meilleur ennemi.
Il est pourtant bien vrai que les « Blancs » sont menacés de disparition à moyen terme par la globalisation des échanges et des techniques, mais ils ne sont pas les seuls. Les nationalismes autochtones de tous horizons peuvent et doivent s'allier pour revendiquer leurs droits et lutter ensemble contre leurs ennemis communs en s'appuyant juridiquement sur la Déclaration de l'Organisation des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
Les nationalistes blancs, enfin débarrassés de la tentation du suprémacisme, et leurs homologues - nationalistes arabes, nationalistes africains, etc. - ont donc du travail car la tâche est immense. Elle déterminera si l'espèce humaine survivra ou non à la biopolitique mondialiste et à la Grande réinitialisation (Great Reset), c'est-à-dire au Grand remplacement par l'intelligence artificielle, la robotisation et les chimères génétiques homme/animal.
Dans ce dernier livre, Lucien Cerise nous fait part de sa réflexion sur les dangers mortels qui menacent les peuples indigènes de la planète, et plus particulièrement les peuples indigènes d'Europe. Pris en tenaille par la Grande réinitialisation mondialiste, d'une part, et la tentation suprémaciste, d'autre part, et sachant que ces options apparemment antagonistes se rejoignent finalement sur le transhumanisme, les peuples autochtones n'ont d'autre choix que de renvoyer les deux dos à dos. Alors, quelle solution pour en sortir vivants ? Le nationalisme autochtone.
Qu'en est-il réellement ? Le suprémacisme racial en général est la doctrine qui affirme l'existence d'une hiérarchie entre les races et la supériorité de certaines races sur d'autres. Son expression la mieux documentée est le suprémacisme blanc, qui a connu quatre tentatives historiques de trouver une forme institutionnelle dans des régimes politiques : la Confédération sudiste, prolongée dans le Ku Klux Klan ; l'apartheid en Afrique du Sud ; le Troisième Reich ; l'Ukraine post-soviétique. Quatre tentatives, mais aussi quatre échecs.
Avant de porter un jugement sur le suprémacisme blanc en tant que tel, cette étude vise surtout à répondre à la question : « Pourquoi ces échecs ? » S'agit-il de causes internes ou externes ? De facteurs endogènes ou exogènes ? Ces échecs répétés viennent-ils d'un défaut de conception ou d'ennemis trop puissants ? Peut-être les deux à la fois dans la mesure où le suprémacisme blanc pourrait bien être en fait son meilleur ennemi.
Il est pourtant bien vrai que les « Blancs » sont menacés de disparition à moyen terme par la globalisation des échanges et des techniques, mais ils ne sont pas les seuls. Les nationalismes autochtones de tous horizons peuvent et doivent s'allier pour revendiquer leurs droits et lutter ensemble contre leurs ennemis communs en s'appuyant juridiquement sur la Déclaration de l'Organisation des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
Les nationalistes blancs, enfin débarrassés de la tentation du suprémacisme, et leurs homologues - nationalistes arabes, nationalistes africains, etc. - ont donc du travail car la tâche est immense. Elle déterminera si l'espèce humaine survivra ou non à la biopolitique mondialiste et à la Grande réinitialisation (Great Reset), c'est-à-dire au Grand remplacement par l'intelligence artificielle, la robotisation et les chimères génétiques homme/animal.
Dans ce dernier livre, Lucien Cerise nous fait part de sa réflexion sur les dangers mortels qui menacent les peuples indigènes de la planète, et plus particulièrement les peuples indigènes d'Europe. Pris en tenaille par la Grande réinitialisation mondialiste, d'une part, et la tentation suprémaciste, d'autre part, et sachant que ces options apparemment antagonistes se rejoignent finalement sur le transhumanisme, les peuples autochtones n'ont d'autre choix que de renvoyer les deux dos à dos. Alors, quelle solution pour en sortir vivants ? Le nationalisme autochtone.
Titre | Le suprémacisme blanc - Peuples autochtones et Great Reset |
Auteur | CERISE (Lucien) |
Éditeur | CULTURE ET RACINES (EDITIONS) |
Date de parution | 26 juin 2021 |
Nb de pages | 300 |
EAN 13 | 9782491861216 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 16 |
Largeur (en mm) | 140 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0.41 |
Biographie
Lucien CERISE Venant de l'extrême gauche de l'échiquier politique, Lucien Cerise vote "Non" en 2005 au référendum sur le Traité établissant une Constitution pour l'Europe, comme 55% des votants... Voir plus
Critique du libraire
« Nous sommes dans une longue séance de torture, dont l'objectif est de nous soumettre au mondialisme » « Le biopouvoir prépare le Grand Confinement, à la fois physique et mental » (Lucien Cerise)
Les avis clients
« L’idiocratie mondialiste est suicidaire. Aidons-la à aller jusqu’au bout ! »
5/5 https://arnauddebrienne.wordpress.com/
.----. Lucien Cerise semble avoir évolué sur les perspectives de dénouement de la crise totalitaire déclenchée par le pouvoir . La reconquête populaire des institutions par la voie des urnes n’est plus envisageable. La fuite en avant de l’oligarchie mondialiste dans la violence et la guerre civile (« l’erreur du 12 juillet ») a fermé toutes les portes de sortie pacifiques. OD
Rébellion : Succession d’annonces visant à réduire les libertés et de démantèlement des acquis sociaux (assurance chômage et retraite), qu’avez-vous pensé de l’allocution d’Emmanuel Macron du 12 juillet ?
Lucien Cerise : Je ne l’ai pas vue sur le moment, mais j’ai lu des résumés. Je ne vais commenter que ce qui concerne la dictature sanitaire. La disproportion entre les mesures annoncées et la réalité épidémiologique de terrain est stupéfiante. Le réseau de médecins généralistes Sentinelles estimait le taux de positivité au coronavirus à 3 individus sur 100 000 dans la semaine précédant l’allocution d’Emmanuel Macron, du 5 au 11 juillet : «En semaine 2021s27, le taux d’incidence des cas d’IRA [inflammation respiratoire aigüe] dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants» (1).
Le même rapport de Sentinelles ajoute que seulement 5,4% de ces 3 cas positifs sur 100 000 habitants ont été hospitalisés après leur consultation. À ces chiffres insignifiants, il faut ajouter que «positif» au test ne veut pas dire «malade», ni, a fortiori, décédé. De fait, le variant Delta n’est pas mortel (2). Autrement dit, quand Macron prend la parole, la «crise sanitaire» est simplement terminée. Or, c’est sur cette base d’un problème réglé que l’ «obligation vaccinale » et le «pass sanitaire» sont lancés.
Avec ces annonces délirantes qui ne trouvent aucune justification dans le réel, je peux faire le commentaire que Macron et ses patrons ont commis une erreur. Ils sont allés trop loin, ce qui s’est traduit immédiatement par l’émergence d’un nouveau mouvement de contestation populaire, une vraie lame de fond, bien plus puissante que les Gilets jaunes, et qui ne s’arrêtera pas. Ce type d’erreur commise par Macron a déjà été analysée par Sun Tzu, il y a près de 2 500 ans, dans son « Art de la guerre », ce qui prouve que le pouvoir en France est mauvais stratège et ne connaît pas ses classiques. Sun Tzu recommande, en effet, de toujours laisser une porte de sortie à l’ennemi, une possibilité d’échappatoire, pour qu’il ne soit pas acculé et forcé de se battre avec l’énergie du désespoir, ce qui le rend plus déterminé et plus fort. La dictature informatique de dégénérés qu’on veut nous imposer à cause du rhume-19 sent la mort. L’erreur du 12 juillet a réveillé l’instinct de survie, l’instinct de conservation des Français. Nous voulons vivre ! La réaction française massive qu’on attendait tous depuis un an est enclenchée.
Rébellion : Le traçage numérique et le contrôle social se renforcent avec le passe sanitaire. Quelles sont les conséquences pour les libertés collectives et individuelles de cette mesure ?
Lucien Cerise : Le programme de traçabilité électronique de la population a commencé d’être implanté en France vers 2005 par le lobby du numérique regroupé autour du GIXEL (Groupement des Industries de l’Interconnexion des Composants et des Sous-ensembles électroniques). Son «Livre Bleu» énumère un certain nombre de stratagèmes pour fabriquer le consentement de la population à sa propre traçabilité informatique complète (3). Plus récemment, ce «pass sanitaire» – en fait un passeport sanitaire – est développé concrètement par l’Union européenne depuis 2018, comme on le voit dans le document officiel en date de mai 2019 (4). La feuille de route est planifiée jusqu’en 2022, raison pour laquelle le pouvoir a dit, à plusieurs reprises, que la «crise sanitaire» durerait jusqu’en 2022. C’est donc un projet politique dont le prétexte est sanitaire.
Ce nouveau passeport est conçu sur le modèle du passeport intérieur imposé aux Noirs sous l’apartheid en Afrique du Sud. Son objectif est de limiter nos déplacements et de nous enfermer dans un statut de sous-citoyen. C’est plus grave qu’une atteinte aux libertés, puisque cela créé une rupture d’égalité dans l’accès aux services publics, notamment de santé, avec une discrimination dans l’accès aux soins. Ce passeport intérieur est donc tout simplement anticonstitutionnel, hors la loi, et fait peser une menace sur la santé publique.
Si l’État et les services publics mettent désormais ma vie en péril, je n’ai pas d’autre choix que de me défendre contre eux. À situations comparables, méthodes comparables : nous pouvons, et nous devons, nous inspirer des méthodes de lutte de Nelson Mandela et de l’ANC afin de faire tomber le régime d’apartheid ségrégationniste instauré en France au prétexte d’une «crise sanitair » essentiellement virtuelle.
Pour faire écho à mon dernier livre, tous les modèles de résistance doivent servir d’exemples, sans préjugés identitaires (5). Les Français de souche peuvent et doivent donc s’inspirer aussi des minorités ethnico-culturelles présentes en France car elles entretiennent par atavisme une méfiance à l’égard de la parole politique, qu’elles considèrent comme étrangère à leur propre loi (Talmud Torah, Coran, etc.). Un certain nombre de médecins appartenant à ces minorités connaissent la vérité sur le caractère fictif de la «crise sanitaire», mais aussi sur le danger réel des «vaxxins», et ils accepteront par solidarité communautaire de délivrer le «pass sanitaire» à leurs coreligionnaires sans les avoir piqués avant, ce qui les sauvera de l’hécatombe. Les Français autochtones doivent apprendre à s’organiser sur ce modèle communautaire de méfiance à l’égard de la parole officielle, s’ils ne veulent pas être les dindons de la farce.
Rébellion : Quelle pourrait être la prochaine étape de la dictature ?
Lucien Cerise : Les prochaines étapes ont été annoncées par le Forum économique mondial (forum de Davos) et ses diverses publications. Il faut parvenir par étapes à la dictature transhumaniste et à l’abolition de la propriété privée. Cette fin de la propriété privée ne signifie pas l’avènement du communisme ou du socialisme. En effet, elle ne concernera pas le sommet du capitalisme. Elle signifie la fusion des structures de contrôle social de l’État avec un capitalisme monopolistique. Autrement dit, la bourgeoisie libérale-conservatrice va se faire dépouiller par les super-riches.
L’opération psychologique pour expulser François Fillon de l’élection présidentielle 2017 – qu’il aurait gagnée haut la main sans ce coup d’État médiatique – a démontré que cette grande bourgeoisie française «bon chic, bon genre» n’était déjà plus compatible avec le sommet du pouvoir, car elle a encore trop de valeurs. Valeurs immatérielles, mais surtout valeurs matérielles, c’est-à-dire des biens, du capital, du patrimoine, et elle y tient, et en plus elle a des relais et des réseaux puissants pour les défendre. En outre, la garde rapprochée de Fillon était issue de la Manif pour tous. Il existait donc un « risque » réel que le «mariage homo» soit abrogé pendant son mandat, mettant ainsi en échec l’agenda LGBT transhumaniste.
La chaîne CNews est le média par excellence de cette bourgeoisie qu’on appelle parfois «versaillaise», qui est de plus en plus sur la défensive, car elle commence à comprendre qu’elle va se faire manger par un poisson plus gros qu’elle. De nouvelles crises économiques planifiées sont à venir, qui permettront de recomposer tout l’édifice socio-économique par la suppression de l’argent liquide et la méthode du bail-in, consistant pour les banques à se servir sur le compte de leurs clients, induisant un transfert des richesses vers le haut et une paupérisation générale. Toutes les classes sociales vont être impactées, comme pour le passeport sanitaire. Il faut considérer cette situation comme une opportunité de réaliser une «coagulation» politique de la bourgeoisie, des classes moyennes et du prolétariat contre l’oligarchie parasite.
Rébellion : Pensez-vous qu’un mouvement de résistance s’organise avec les manifestations contre le passe sanitaire ?
Lucien Cerise : C’est évident. D’ailleurs, face à l’ampleur et au succès des manifestations, l’anti-France commence à s’inquiéter, elle essaye donc de diviser et affaiblir le mouvement avec des accusations d’opposition contrôlée contre Florian Philippot ou d’autres, ou en nous crachant dessus, comme le fait Tristan Mendès-France dans un tweet angoissé: «Le nombre de manifs annoncées est assez flippant. Ce qui me semble évident c’est que ces manifs vont bien au-delà du pass. Elles sont une nébuleuse de contestations et de frustrations instrumentalisées par certains extrémistes» (6). Toutes ces réactions fébriles sont des «boussoles sud» et prouvent que nous allons dans le bon sens. Le parti des Patriotes est à l’avant-garde de ce mouvement de contestation, qu’il a lancé en septembre 2020. À l’époque nous nous sentions un peu seuls, mais les rangs n’ont fait que grossir, en dépit des attaques des agents démoralisateurs et diviseurs. Depuis bientôt un an, j’essaye donc de ne pas être spectateur mais acteur de la situation. Par conséquent, je ne «pense» pas qu’un mouvement de résistance s’organise, j’en suis, j’en fais partie, je le fais vivre concrètement, non seulement en me rendant aux manifestations à Paris et en province, mais aussi en faisant du collage, ou dans le champ institutionnel en participant aux dernières élections départementales avec une liste des Patriotes. J’envisage aussi de monter un nouveau syndicat sur mon lieu de travail.
Je suis donc dans l’action et je n’ai jamais eu autant la pêche qu’en ce moment ! J’ai l’impression que je me prépare à la situation présente depuis toujours. Ma vision du monde n’est ni de gauche, ni de droite mais nietzschéenne, ou héraclitéenne, c’est-à-dire intrinsèquement conflictuelle. Le conflit, le polémos, est père de toutes choses. Dans le contexte actuel, je suis comme à la maison et mon système immunitaire est au sommet de sa forme. «La lutte à mort nous rend joyeux», dixit Jean-Eudes Gannat dans un texte magnifique7. Je ne me pose donc aucune question sur la victoire ou la défaite, je fais ce que je dois faire sans états d’âme et je trouve ma joie dans le combat pour lui-même. En effet, nous sommes dos au mur, c’est quitte ou double, y compris pour le pouvoir, qui joue sa survie lui aussi. Il faut relire «L’insurrection qui vient», du Comité invisible, et les publications de Tiqqun sur la cybernétique et la Jeune-Fille. Ces textes d’obédience situationniste ont pour intuition fondatrice que le pouvoir ne règne plus par l’ordre mais par le désordre. Nous sommes dans une anarcho-tyrannie, ou tyrannie anomique, selon le concept de Samuel T. Francis. Le capitalisme a mis au point une ingénierie sociale du chaos, une stratégie du choc, un sabotage organisé, méthodique et planifié de toute «décence commune» ; l’anticapitalisme cohérent est donc en fait un sabotage du sabotage, donc un rétablissement de l’ordre et de la justice, thèse qui m’avait inspiré «Gouverner par le chaos» (8). Il existe donc un vrai risque que le pouvoir décide de provoquer une guerre civile. Les «forces de l’ordre», c’est-à-dire les forces du désordre, nous tireront dessus sans hésiter : elles ne sont pas là pour nous protéger mais pour protéger le pouvoir, ce sont des mercenaires, qui n’ont ni foi, ni loi, et qui se font acheter facilement.
Pour les fidéliser, le gouvernement va les préserver de l’obligation vaccinale, ce qui leur donnera le sentiment de faire partie d’une élite, celle qui échappera à l’injection létale. Ce marché faustien ne suffira pas à protéger le pouvoir. Ses chiens de garde et autres prostitués sont largement en infériorité numérique par rapport au peuple. Toujours se rappeler qu’entre nous et Macron – et la banque Rothschild – il n’y a qu’un mince cordon de CRS, sur les corps desquels nous marcherons s’il le faut.
Notre avenir, nous le voyons dans le tableau de Delacroix, «La liberté guidant le peuple». Quand il comprendra qu’il a perdu, le pouvoir va chercher à provoquer un bain de sang, avec des cadavres dans les rues, y compris de nombreux cadavres de «forces de l’ordre», ce qui va désorganiser son programme. Au final, par une accumulation d’erreurs stratégiques et de maladresses tactiques, c’est le pouvoir lui-même qui va se tirer des balles dans le pied, puis dans la tête, et faire s’effondrer le régime qu’il cherche aujourd’hui à nous imposer. L’idiocratie mondialiste est suicidaire. Aidons-la à aller jusqu’au bout. [ Publié par Rébellion, le 6 août 2021 et nous l'avons repris sur le blog d' Arnaud de Brienne ]
Notes :
(1) « Situation observée pour la semaine 27 de l’année 2021, du 05 au 11/07/21 »
https://www.sentiweb.fr/document.php?doc=5353
(2) « Rien à craindre du variant Delta : il donne le rhume, curable par traitements précoces »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/rien-craindre-du-variant-delta-il-donne-le-rhume-curable-par-traitements-precoces
(3) « Livre Bleu du Gixel, les BBA republient la version originale (et non censurée) »
http://bigbrotherawards.eu.org/Livre-Bleu-du-Gixel-les-BBA
(4) « Roadmap for the implementation of actions by the European Commission based on the Commission Communication and the Council Recommendation on strengthening cooperation against vaccine preventable diseases », Commission européenne, 23/05/19.
(5) « Le suprémacisme blanc : Peuples autochtones et Great Reset »
https://www.cultureetracines.com/essais/48-le-supremacisme-blanc-peuples-autochtones-et-great-reset.html
(6) https://twitter.com/tristanmf/status/1421408883810181124
(7) « Occupation d’un bâtiment par l’Alvarium à Angers. « La lutte à mort nous rend joyeux » »