Louis Salleron est né le 15 août 1905. Il était le frère du journaliste et écrivain Paul Sérant (Paul Salleron).
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Référence : 10534
1 avis
Date de parution : 1 avril 1981
EAN 13 : 9782713315794
Nb de pages : 256
15.00 €
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Description
Sommaire :
Préface
Introduction
L'aggiornamento de la messe
-La Constitution conciliaire sur la liturgie
-Les thèmes de l'aggiornamento
-La guerre, cause de la subversion
L'abandon du latin
L'imbroglio de la nouvelle messe
-Le nouveau Missel Romain
-L'article 7 de l'Institutio generalis
-L'adhésion de Taizé
La messe évolutive
Conclusion
Préface
Introduction
L'aggiornamento de la messe
-La Constitution conciliaire sur la liturgie
-Les thèmes de l'aggiornamento
-La guerre, cause de la subversion
L'abandon du latin
L'imbroglio de la nouvelle messe
-Le nouveau Missel Romain
-L'article 7 de l'Institutio generalis
-L'adhésion de Taizé
La messe évolutive
Conclusion
Titre | La nouvelle messe |
Auteur | SALLERON (Louis) |
Éditeur | NOUVELLES EDITIONS LATINES (NEL EDITIONS) |
Date de parution | 1 avril 1981 |
Nb de pages | 256 |
EAN 13 | 9782713315794 |
Épaisseur (en mm) | 18 |
Largeur (en mm) | 136 |
Hauteur (en mm) | 218 |
Poids (en Kg) | 0.30 |
Biographie
Louis SALLERON (1905-1992)
Critique du libraire
Tous les arguments expliquant en quoi cette messe est déplaisante pour Dieu. Deuxième édition revue et augmentée.
Les avis clients
Christian Marquant ( extraits d'un entretien )
5/5 Paix liturgique .
.----. Mais vous avez trouvé des éléments qui ont ensuite soutenu la réaction d’« instinct de la foi » ?
Les voix théologiques autorisées furent nombreuses. C’est la publication, en 1970, de l’ouvrage de Louis Salleron, La nouvelle messe, aux Nouvelles éditions latines, dans la collection « Itinéraires », qui nous fit comprendre avec clarté et précision le caractère véritablement révolutionnaire de cette nouvelle liturgie et les raisons de ne pas y adhérer. La lecture de ce livre constitua pour nous pendant plusieurs années une étape essentielle dans la réflexion qui nous fit évoluer vers la messe traditionnelle. Ce combat liturgique, en 1970, n’était pas encore prioritaire pour tous. Par exemple, l’assemblée des « Silencieux de l’Eglise », de Pierre Debray, qui se tint à Versailles les 7 et 8 novembre 1970, s’était donné pour objet la résistance au nouveau catéchisme, mais ne parlait à propos de la messe que des abus qui scandalisaient le peuple de Dieu. D’ailleurs, la messe célébrée au Palais des Congrès pour les silencieux était selon le nouvel Ordo missæ…
Cependant, vous n’aviez pas encore fait le choix de la messe traditionnelle ?
C’est vrai. Cela peut paraitre étrange aujourd’hui, mais il nous était le plus souvent impossible, à l’époque, d’assister à d’autres messes que la messe nouvelle. Il se trouvait bien ici ou là quelques prêtres résistants, mais qui souvent célébraient en cachette, parfois sans fidèles ! De fait, nous avons-nous-même continué à assister pendant plusieurs années à la nouvelle messe célébré par l’Abbé Jean-François Guérin. [ La Lettre de Paix liturgique ; lettre 683 du 19 Février 2019 ]