La bataille préliminaire
Référence : 71684
7 avis
Date de parution : 20 juillet 2016
Éditeur : CHIRE (EDITIONS DE)
Collection : LES MAITRES DE LA CONTREREVOLUTION
EAN 13 : 9782851901989
Nb de pages : 32
7.00 €
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Description
Sommaire :
Jean Vaquié (1911-1992) par Christian Lagrave
Une heureuse réédition par A. C. dans "Veritas Liberabit"
Introduction
I. La bataille inférieure
1) Le dynamisme réactionnaire fondamental
2) La mauvaise position juridique
3) La veilleuse à entretenir
4) Une stratégie de prudence
Conclusion
II La bataille supérieure
1) Un double objectif
-Le petit nombre
- Un miracie de résurrection
2) Les quatre phases de la résurrection de Lazare
- Première phase
- Deuxième phase
- Troisième phase
-Quatrième phase
3) Les quatre phases de la Restauration.
- Ego credidi
- Tollite lapidem
- Lazare veni foras
- Solvite eum
III La bataille préliminaire
Bibliographie
Table des matières
Jean Vaquié (1911-1992) par Christian Lagrave
Une heureuse réédition par A. C. dans "Veritas Liberabit"
Introduction
I. La bataille inférieure
1) Le dynamisme réactionnaire fondamental
2) La mauvaise position juridique
3) La veilleuse à entretenir
4) Une stratégie de prudence
Conclusion
II La bataille supérieure
1) Un double objectif
-Le petit nombre
- Un miracie de résurrection
2) Les quatre phases de la résurrection de Lazare
- Première phase
- Deuxième phase
- Troisième phase
-Quatrième phase
3) Les quatre phases de la Restauration.
- Ego credidi
- Tollite lapidem
- Lazare veni foras
- Solvite eum
III La bataille préliminaire
Bibliographie
Table des matières
Titre | La bataille préliminaire |
Auteur | VAQUIE (Jean) |
Éditeur | CHIRE (EDITIONS DE) |
Date de parution | 20 juillet 2016 |
Nb de pages | 32 |
Collection | LES MAITRES DE LA CONTREREVOLUTION |
EAN 13 | 9782851901989 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 3 |
Largeur (en mm) | 145 |
Hauteur (en mm) | 204 |
Poids (en Kg) | 0.04 |
Biographie
Jean VAQUIE (1911-1992) Jean Vaquié est né à Bordeaux, le 11 novembre 1911 et très vite (dès les années 30) il s'intéressa aux questions qu'il devait traiter ensuite avec la plus grande aisance, grâce à des connaissances très étendues. Voir plus
Critique du libraire
Ce texte daté par l'auteur de novembre 1989 à été publié pour la première fois dans le numéro 155 de Lecture et Tradition (janvier 1990). L'éditeur à la demande de l'auteur a permis la réédition par la revue " De Rome et d'ailleurs " et comme cette revue ne paraissait plus à l'époque , plusieus confrères ont repris ce texte sans tenir compte de notre antériorité ! cela donne une impression de grande diffusion mais ce n'est pas certain car de ce fait aucun éditeur ne s'est battu au sens commercial et pratique du terme et nous-même avons été paralysé ! Dans le but de donner le plus d'audience possible à ce texte majeur et de le placer dans son contexte, les Editions de Chiré proposent maintenant une réédition largement augmentée d'une présentation de l'auteur par Christian Lagrave (5 p), une note publiée par "Veritas Liberabit" à l'occasion de la 2è édition en 2008 (2 p), une bibliographie non exhaustive de plus de 70 livres ou articles de Lecture et Tradition, Bulletin d'études de la Société Augustin Barruel, De Rome et d'ailleurs, Cahiers de Chiré (5 p). Jean Vaquié analyse trois batailles, qui, si les mêmes soldats en sont les acteurs, n'ont pas les mêmes objectifs, ni les mêmes stratégies. La bataille inférieure, celle de la maintenance ; la bataille préliminaire, celle de la supplication et enfin la bataille supérieure, celle de la mutation, qui vise l'objectif principal et qui est de compétence exclusivement divine.
Les avis clients
Avec mes excuses .
5/5 Ambroise - 86
Je viens d'acheter cette brochure chez l'un de vos confrères à la suite d'un groupage de plusieurs titres ;, et surprise : ce n'est pas votre édition qui m'a été envoyée ! Je le dis très franchement, c'est malhonnête d'éditer ainsi ; depuis au moins 30 ans j'achète ce titre chez vous dont vous avez été l'éditeur initial et , sauf erreur qui était publié dans votre revue Lecture et tradition . Ce vendeur et l'éditeur n'auront plus ma clientèle .
Riche et dense .
5/5 Altaïr .
.----. Une petite brochure théorique, au contenu riche et dense, qui sera fort utile au militant. L'auteur distingue deux types de combat politique : le premier niveau, la bataille inférieur, qui consiste à défendre les ultimes positions traditionnelles de nos sociétés : combat contre l'avortement, pour l'école libre, la presse non-conformiste, les chapelles et monastères traditionalistes... Et la bataille supérieur, celle dont l'objectif plus lointain est l'extirpation du pouvoir de Satan ; la restauration de la monarchie ( en France ) et l'instauration du règne du Christ-Roi. Si ces deux combats sont menés par les mêmes personnes, le " petit reste " dont parle l'Ecriture, ils requièrent une stratégie différente, la part de Dieu étant plus décisive que celle de l'homme pour la bataille supérieure. Il faut donc être homme de prière autant qu'homme d'action, et mener par l'oraison ce que l'auteur appelle " La bataille préliminaire ". Clair et convaincant! [ Altaïr, poésie et tradition, périodique trimestriel édité par Jean-Pierre Hamblenne ( BP 19 - B - Braine l'Alleud Belgique . Vous pouvez demander une documentation de la part de " Chiré ]
Donc œuvrer pour la bataille inférieure
5/5 Contrerévolution .
.----. Tout en nous préparant pour la bataille supérieure, nous ne pouvons donc espérer mener de nous-mêmes que des combats de la bataille inférieure, combats retardateurs, avec parfois de petits succès et souvent d’amères reculs. Cela blesse notre orgueil, et c’est sans doute voulu par le Bon Dieu. Nous devons continuer à « travailler sans chercher le repos, à nous dépenser sans attendre de récompense » ni de grande victoire, tout cela uniquement pour espérer parfois ralentir un peu l’ennemi. Quelle leçon d’humilité ! La bataille inférieure n’est pas négligeable : elle nous permet de faire notre devoir d’état, elle nous prépare pour la bataille supérieure.
Notre devoir est d’agir, pas de gagner. Cela n’empêche pas heureusement d’agir avec énergie, imagination, courage, méthode, enthousiasme, etc. Mais cette action « à notre portée » ne peut avoir que des effets limités, dérisoires par rapport aux enjeux. L’action permet aussi de se préparer au grand combat, lequel se déroulera au moment et de la manière décidée par le Bon Dieu. Dans l’état actuel des choses, il est possible d’imaginer par exemple que les pressions communautaires notamment islamiques aboutissent à un désordre tel que les forces en présence auront à entrer en action.
Notre peu de succès ne doit donc pas nous anesthésier. Au contraire, comprendre la limite de notre action permet de nous libérer de faux scrupules, et de nous éviter tout désespoir : faisons ce que Dieu attend de nous, à notre humble niveau, sans chercher à nous mettre à Sa place [ Publié le 14/02/2011 par le Blog Contrerévolutionnaire ]
Scénario extrême
5/5 Contrerévolution ( suite ... )
.----. Supposons le cas extrême d’optimisation de nos maigres ressources. Supposons que les 200 000 contrerévolutionnaires français finissent par occuper des postes clefs, dans les services de sécurité et de défense notamment. Il restera en face des millions de gens fanatisés par le discours révolutionnaire ambiant, alliés aux pays voisins prêts à leur porter secours, prêts à tous les débordements et à toutes les sauvageries. Il faudrait alors engager un combat total, long, avec une discipline interne très forte, etc. Tout cela semble illusoire à organiser par nous. Seule la pression des événements pourra nous lancer dans la mêlée. Ces événements sont en réalité la marque de la Providence, et ne nous appartiennent pas. Croire que nous pouvons nous-mêmes organiser le combat de la victoire est un leurre.
La victoire n’est pas à notre portée et ne le sera jamais.
5/5 contrerévolution ( suite ... )
.----. La Révolution est maîtresse du terrain. Ses moyens sont énormes : humains, financiers, culturels, etc. Elle ne recule devant rien : la Révolution est un désordre mais elle sait ordonner / organiser sa défense. Elle n’a pas peur de faire couler le sang. Pour gagner, il faudrait être prêts nous aussi à faire une action de force. Or, notre doctrine concernant une telle action de force est très restrictive. Il faut un chef légitime qui décide cette action, il faut une cause juste. Jusqu’ici, pourquoi pas. Mais il faut aussi des chances raisonnables de succès, et une probabilité raisonnable que la situation à venir ne sera pas pire que la situation précédente. Il serait téméraire de dire que ces conditions sont réunies. Donc nous ne prendrons pas l’initiative d’une action de force. Donc nous n’engagerons pas le grand combat. Seul le Bon Dieu peut susciter les conditions de Sa victoire, à laquelle nous aurons bien sûr à participer.
Notre devoir d’état : obligation de moyens et non de résultats
5/5 Contrerévolution ( suite ... )
.----. La (mauvaise) conclusion ci-dessus provient d’une erreur fréquente. Le Bon Dieu nous demande d’agir, à notre place, dans notre état (obligation de moyens). Le Bon Dieu ne nous demande pas de « réussir », de « gagner ». Les hommes d’armes batailleront, et Dieu donnera la victoire (Ste Jeanne d’Arc). Dans une perspective eschatologique, le but n’est pas notre victoire sur terre, mais notre Salut éternel, lié à notre zèle à remplir nos devoirs.
Anesthésiante !
5/5 Contrerévolution .
.----. A propos de "La Bataille préliminaire" de Jean Vaquié
Le livre « La Bataille préliminaire » de Jean Vaquié est souvent présenté comme une
référence. En première lecture, la thèse défendue semble anesthésiante : certes nous pouvons et devons agir pour essayer de ralentir la progression de la Révolution (bataille
inférieure), mais nous ne pouvons que nous préparer à la vraie bataille (bataille
supérieure), laquelle permettra de revenir à la Chrétienté : seul Dieu peut décider de
quand et comment cette vraie bataille aura lieu et Son Règne social sera rétabli.
Anesthésiant, car une conclusion pourrait être : « Dans ce cas, inutile de trop se fatiguer. Nous ne pourrons jamais que mener des actions dérisoires. Le mieux est de faire profil bas et d’attendre le signal divin, la personne providentielle, etc. ( suite ... )