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Comment on relève un État

Référence : 113569
7 avis
Date de parution : 17 juin 2020
Collection : LES MAITRES DE LA CONTREREVOLUTION
EAN 13 : 9782851902689
Nb de pages : 112
14.00
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Description

Par son Excellence le Président, professeur docteur Oliveira Salazar, Chef du Gouvernement Portugais.

Dix ans après la révolution nationale (1926), Salazar publie une sorte de compte-rendu, de bilan de sa politique. Il ne faudrait pas croire que l'intérêt de cet ouvrage se limite au seul Portugal. Loin de là ! L'intelligence, la doctrine et la Foi du président Salazar, qui lui ont permis de mener à bien son programme, devraient animer toutes les instances gouvernementales de tous pays ! Si elles l'avaient lu, elles y auraient toutes les réponses nécessaires à la crise actuelle ! Découvrez ce chef-d'oeuvre de politique réaliste qui saura nous être utile si nous devions un jour reconstruire un ordre nouveau...
"La révolution nationale, qui a eu son début le 28 mai 1926 et s'est développée presque aussitôt sous la haute direction du Président de la République, ne serait ni explicable ni défendable si elle n'était pas profonde dans ses objectifs, honnête dans ses procédés, essentiellement populaire. Elle devait encore assurer à l'âme nationale la continuité de notre mission historique..." (Extrait de l'ouvrage)
Dernier né d'une famille catholique modeste, Antonio de Oliveira Salazar est né le 28 avril 1889 à Vimieiro, au nord du Portugal. Professeur d'économie de l'université de Coimbra, il devient, en 1928 (après le coup d'Etat du 28 mai 1926), ministre des Finances. En 1932, il devient Président du Conseil et instaure une nouvelle constitution : c'est l' "Estado Novo" (Etat Nouveau). En août 1968, victime d'un accident vasculaire cérébral, Salazar est remplacé par Marcelo Caetano, alors ministre des Colonies. Il meurt le 27 juillet 1970 à Lisbonne. En 1967, Jacques Ploncard d'Assac (1910-2005), qui fut un de ses conseillers et collaborateur de Chiré, publie sa biographie (Éditions de la Table Ronde, rééditée et augmentée par l'auteur aux Éditions Dominique Martin Morin en 1983, puis en 2015).

TitreComment on relève un État
Auteur SALAZAR (Dr Antonio Oliveira)
ÉditeurCHIRE (EDITIONS DE)
Date de parution17 juin 2020
Nb de pages112
CollectionLES MAITRES DE LA CONTREREVOLUTION
EAN 139782851902689
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)130
Hauteur (en mm)230
Poids (en Kg)0.15
Biographie
Critique du libraire

La politique n’est pas seulement une science ou des principes. Elle est d’abord un art, une pratique. Salazar, au gouvernail du Portugal pendant plus de quarante ans, nous livre ici le bilan qu’il dressa, au commencement de son action à la tête du gouvernement, lorsqu’il provoqua le sursaut de sa patrie qui menaçait ruine. Une leçon de sagesse politique. 

Table des matières : 

Chapitre Premier : Révolution Nationale I - Le désordre établi II- La révolution portugaise III - Solution politique préalable IV - L'assainissement financier V - La réforme économique Chapitre 2 : Principe d'Un ordre Nouveau I - Sincérité du pouvoir II - Principes de la nouvelle Constitution III - L'État portugais n'est pas fasciste IV - Renforcement du pouvoir exécutif V - Coordination sociale : La Nation dans l'État Chapitre 3 : Le Nouvel État I - La représentation nationale II - L'école, la vie et la nation III - L'armée IV - La politique coloniale Chapitre 4 : L'Économie Corporative I - La crise de la pensée économique II - Nouveaux principes économiques III - L'organisation corporative Conclusion : Après dix ans : 1926-1936

Les avis clients
Renaissance moderniste à Lisbonne
5/5 https://serielimitee.lesechos.fr/
.----. L'hôtel Ritz Four Seasons qui domine la capitale portugaise vient d'être rénové par le duo d'architectes d'intérieur Oitoemponto. Une réinterprétation du style fin années 1950 menée avec autant d'amour que de goût. Ce qui frappe c'est l'espace. Les volumes des parties communes, les larges couloirs des étages, les paliers aménagés comme des salons, une immense salle de bal. Et partout des tapisseries et des sculptures représentatives de l'époque de sa création. Cet hôtel ouvert en 1959 est né de la volonté du chef d'Etat Antonio de Oliveira Salazar de créer un établissement à la hauteur des exigences du tourisme international, capable de faire rayonner la ville de Lisbonne dans le monde entier. Financée par l'homme d'affaires Pedro Queiroz Pereira, dont la famille est toujours propriétaire de l'établissement, l'architecture du bâtiment est confiée à Porfirio Pardal Monteiro. [ Extrait d'un article Signé : Frédérique Dedet le 5 mai 2022 ]
Four Seasons Hotel Ritz Lisbon
5/5 https://www.tendancehotellerie.fr/
.----. Le 14 juin 2021, extrait du communiqué de presse : Le Four Seasons Hotel Ritz Lisbon est né d’une idée d’António de Oliveira Salazar en 1952. En contactant Ricardo Espírito Santo Silva, un véritable croisé moderne qui se consacrait à la promotion et à la préservation du patrimoine artistique et culturel portugais, Salazar a exprimé son désir de construire un hôtel à la hauteur des exigences du tourisme international après la Seconde Guerre mondiale - un hôtel dont Lisbonne, et le Portugal, pourraient être fiers. Les dix entrepreneurs portugais choisis pour donner vie à la vision de Salazar ont formé la Sociedade de Investimentos Imobiliários (SODIM) le 28 août 1953. Les décès prématurés du visionnaire Ricardo Espírito Santo Silva en 1955, et de l’architecte au style original Porfírio Pardal Monteiro en 1956 n’ont pas réussi à freiner l’enthousiasme créatif du groupe. C’est à cette époque que Queiroz Pereira, leader naturel depuis le début, s’est assuré la position de directeur principal du groupe. Dans les années qui ont suivi, c’est sous la direction et le leadership légendaire de Queiroz Pereira que « l’idée originelle de créer un établissement faisant rayonner la ville de Lisbonne », s’est épanouie pour devenir l’hôtel que nous voyons aujourd’hui.
Discours de la méthode
5/5 Politique Magazine
.----. Les éditions de Chiré rééditent Comment on relève un État du Docteur Antonio de Oliveira Salazar (1889-1970). Cet ouvrage, édifiant sous bien des aspects, fut pour la première fois publié en 1936, soit dix ans après le coup d'État du 28 mai 1926 et l'avènement de la dictature nationale qui annonce l'Estado Novo, régime autoritaire lusitanien de 1933 à 1974 marqué par la figure de Salazar. Le chef de gouvernement portugais élabore ainsi un bilan-programme du pays. Dans cet ouvrage, Salazar ne dresse pas seulement un projet intellectuel, ce n'est pas seulement une doctrine, mais l'explication claire et simple du fonctionnement de l'État. Étudiant et explicitant les pans essentiel, les entités régaliennes du pouvoir, il détaille tour à tour les finances, l'économie (son domaine de prédilection), le travail, l'éducation, l'armée ou la question coloniale, il réussit, en seulement une centaine de pages, à synthétiser toute la philosophie politique de l'Estado Novo. Anti-libéral, anti-démocrate et anti-parlementaire, le docteur Salazar exhorte à un modèle national spécifiquement portugais, fustigeant un système britannique inapplicable à son pays. Un système qui, se considérant comme seul bon, est amené à réduire les libertés locales. Sa clairvoyance lui permet d'être visionnaire sur le sort de l'Occident ravagé par le despotisme de l'argent et le développement des philosophies matérialistes qui proscrivent toute idée de transcendance. Contre ces maux, il en appelle au corporatisme, qui incarne les paroles et le pouvoir de décision. Le président du Conseil des ministres expose sa vision de la chose publique et de l'État. Sur la question constitutionnelle, il avance chercher l'harmonie entre un « prestige législatif » (selon ses propres termes) et un pouvoir exécutif stable, indépendant et responsable de l'honneur et de l'existence de la Nation. Livre pratique et facile d'accès grâce à sa construction thématique et à la plume allerte de son auteur, il présente deux intérêts. D'abord un intérêt historique pour comprendre l'État Nouveau au XX< siècle, et son étonnante longévité. Mais également un intérêt politique, par la lucidité que révèlent les propos de Salazar sur l'absolue nécessité de gouvernants sérieux et légitimes, d'institutions totalement indépendantes, pérennes qui ne cherchent pas l'enrichissement personnel mais le bien commun. La force du propos réside dans la résonance que ces idées, ces réalités, peuvent avoir à nos oreilles. La conclusion vient résumer la vision salazarienne de l'État portugais : on ne sacrifie ni la patrie, ni la famille, ni le travail - et surtout pas Dieu. Que cet ouvrage, qui trouvera sa place dans toute bonne bibliothèque, serve aujourd'hui, à replacer ces quatre piliers au cœur de notre souci politique. <p align="right">Guillaume Grenouilleau dans Politique Magazine n° 201 de Mars 2021 <a href= http://www.politiquemagazine.fr/ target=_blank>www.politiquemagazine.fr</a>
Au coin du bon sens !
5/5 Altaïr , poésie et tradition .
.----. " Aux âmes déchirées par le doute et le négativisme du siècle, nous avons tenté de restituer le réconfort des grandes certitudes . Nous n'avons pas discuté Dieu et la vertu ; nous n'avons pas discuté la Patrie et son Histoire ; nous n'avons pas discuté l'autorité et son prestige ; nous n'avons pas discuté la famille et sa morale ; nous n'avons pas discuté la gloire du travail et le devoir de travailler ". Dans cet ouvrage, le président du Portugal présentait une sorte de bilan de sa politique . Il nous énonce des principes marqués au coin du bon sens, et qui ont assuré de longues années de prospérité à son pays . Des principes dont les dirigeants d'aujourd'hui sont hélas bien loin de s'inspirer. [ " Altaïr " poésie et tradition - numéro 185 - septembre 2020 .Périodique trimestriel , éditeur responsable Jean Pierre Hamblenne BP 19 - B-1420 - Braine l'Alleud - Belgique .].
S'abreuver à la source même
5/5 Présent
.----. D’autres préféreront aller s’abreuver à la source même et lire la pensée de Salazar telle qu’il la concevait. Comment on relève un Etat nous permet donc de comprendre la voie que s’était tracée Salazar qui affirmait que « la politique est une philosophie en action ». Il ne gouvernait ni au jugé, ni selon son intuition, mais comme un bon commandant de frégate, en suivant une carte préétablie, qu’il pouvait certes adapter au gré des événements, mais qui donnait une ossature à son oeuvre. Ce plan n’était pas secret : il l’avait mis sur papier en 1937. Dans ces pages, qu’on aimerait voir inspirer nos gouvernants qui ne font que réagir aux crises dans l’improvisation la plus totale, s’esquisse une société corporatiste basée sur le redressement moral et sur le triptyque traditionnel de famille, travail et patrie. Inspiré d’un certain maurrassisme, Salazar n’avait rien d’un extrémiste, lui qui rejetait d’ailleurs toute passion. [ Présent n° 9678 du samedi 15 août 2020. ]
Destin hors normes !
5/5 http://synthesenationale.hautetfort.com
.----. Quant au texte de Salazar, Comment on relève un Etat, il s’agit là de la réédition d’un ouvrage publié en 1936. Tout ceci a bien évidemment un intérêt historique, et notre devoir de mémoire nécessite que l’on sache rappeler, arguments à l’appui, le destin hors normes de cet homme d’Etat, et les principes, invariants qui guidaient son action. [ Extrait d'un article de Francis Bergeron que vous pouvez lire en entier sur la fiche de la brochure de Marcel De Corte, Gustave Thibon et Pierre Gaxotte ]
Une pensée profondément originale !
5/5 https://www.les4verites.com/
.----. Tout le monde connaît le nom de Salazar, le chef d’État qui dirigea le Portugal durant une bonne partie du XXème siècle (il devint président du conseil en 1932 et quitta le pouvoir en 1968). En revanche, bien peu de Français connaissent sa pensée politique – et c’est d’autant plus regrettable que cette pensée est profondément originale (et qu’elle fut consciemment et méthodiquement exercée contre l’influence marxiste qui, déjà, gagnait l’Europe). C’est pourquoi il faut remercier les éditions de Chiré de publier ce petit bréviaire de pensée politique, écrit par Salazar lui-même pour expliquer son action – qui vaut bien au-delà du Portugal de cette époque. [ Publié le 28 juillet 2020 par " Les 4 Vérités Hebdo " ]