Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Une histoire des antigaullismes des origines à nos jours

Référence : 59061
2 avis
EAN 13 : 00111972
28.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié aujourd'hui
Voir la disponibilité en magasin

Description
Ed. Bartillat, 2007 - 14 x 22,5 - 640 p. Neuf. Article d'occasion, vendu dans la limite des stocks disponibles.
TitreUne histoire des antigaullismes des origines à nos jours
Auteur BROCHE (François)
ÉditeurBARTILLAT (EDITIONS)
EAN 1300111972
Poids (en Kg)0.60
Critique du libraire
L'antigaullisme, comme une ombre, accompagne le gaullisme, tant Charles De Gaulle a pratiqué l'art de se faire des ennemis. Le livre de François Broche est une plongée exhaustive dans les abîmes de la passion. ( En bref : Famille Chrétienne , numéro 1565 du 12 au 18 janvier 2008 )
L'auteur a connu Jean Auguy, le fondateur de Chiré ; ils militaient l'un et l'autre à la FNEF, le syndicat étudiant dans les années 1964-1968. Il le présente ainsi : Jean Auguy, né en 1942, proche du colonel Château-Jobert, de Robert Martel et des milieux catholiques traditionalistes, est le fondateur du cercle Maxime Weygand et l'animateur du mensuel Lecture et Tradition. Diffusion de la pensée française disposerait d'un catalogue de 9000 titres et publie entre autres auteurs contre-révolutionnaires et antigaullistes les ouvrages de François Brigneau, Henry Coston, André Figueras, Jean Madiran, Jacques Ploncard d'Assac, Jean Ousset et Emmanuel Ratier, qui écrit : " Malgré sa modestie et son souhait de ne jamais apparaître au premier plan, il aura joué un rôle majeur durant la "traversée du désert" des idées nationalistes comme véritable phare au milieu de la tempête et les aura largement accompagnées durant les vingt années d'essor du front national. (Encyclopédie politique française, II, Faits et Documents, 2005, p. 51). Mais curieusement il ne dit rien de plus sur la FNEF !
Les avis clients
LES PIEDS-NOIRS ET DE GAULLE - AUX ALSACIENS PRÉVOYANTS
3/5 http://popodoran.canalblog.com/
.----. Dans Valeurs Actuelles du 31 décembre, M. François Broche, historien de bien mineure réputation s’en prend très vivement au fils du général Zeller et à tous ceux qui sont censés avoir haï « le plus illustre de tous les Français » ! Qu’on permette à un pied-noir d’honneur (selon le site algérien nationaliste Algérie patriotique) et à un défenseur historique de la communauté harkie, de réagir très brièvement, dans un premier temps aux élucucubrations de François Broche ! FB : « Contrairement à ce que prétend M. Zeller, de Gaulle n’a pas livré l’Algérie aux chefs terroristes. » Ferhat Abbas, ancien président du FLN et du GPRA, lui répond indirectement : « La France a commis un crime. Elle a livré le peuple algérien aux tueurs et aux assassins » (cité entre autre, par mon ami Maurice Calmein, Les français d’Algérie, édition Atlantis). FB, toujours, qui évoque : « Une situation inextricable dont les premiers responsables sont les pieds-noirs, qui ont toujours refusé de prendre en compte la réalité démographique,… ». Ah ! Ces foutus pieds-noirs qui aujourd’hui encore refusent de s’incliner sur la tombe de Qui-Vous-Savez à Colom-bey-les-Deux-Mosquées ! Chers compatriotes Alsaciens, ne faites pas comme eux et prenez donc acte dès aujourd’hui de la situation et des réalités démographiques de 2021 ! Relevé de l’état civil paru dans les Dernières Nouvelles d’Alsace du 6 janvier : Parmi les 7 naissances enregistrées à Colmar du 30 décembre au 3 janvier, 4 ont pour prénom (turc): Esma, Yanice, Ensar et Ayline. Soyons donc prévoyants et planifions dès aujourd’hui la construction des édifices cultuels et culturels qui s’imposent ! Jean-Michel Weissgerber Colmarien de naissance (Colmar, le 6 janvier 2021 sur le blog de popodoran )
Les antigaullistes vus par un gaulliste ! !
3/5 Réseau Regain .
.----. Pour la première fois, paraît une histoire des antigaullismes, synthèse complète qui recense tous les courants opposés d’une manière ou d’une autre à l’action du général De Gaulle. Voici un regard sur l’histoire politique de la France au XXe siècle qui s’appuie sur les oppositions au gaullisme. En se fondant sur une immense documentation, qui renouvelle et enrichit un sujet qui n’avait jamais été exploré en tant que tel, l’étude de François Broche couvre tous les aspects, des domaines politique, militaire et économique jusqu’aux sphères médiatique, culturelle et intellectuelle. L’antigaullisme précède le gaullisme, tant il est vrai que, très tôt, Charles De Gaulle a pratiqué l’art de se faire des ennemis. Dès son plus jeune âge, l’homme de l’appel de 1940 se révèle un non-conformiste résolu, croyant en son étoile, dédaigneux des critiques, n’hésitant jamais à s’en prendre aux élites. L’appel du 18 juin fédère les antigaullismes de l’époque: des partisans du maréchal Pétain et de la collaboration aux communistes, en passant par les grands corps (administration, justice, armée, Église…), les résistants de l’intérieur, les émigrés en Angleterre et aux États-Unis, et les partisans du général Giraud. Puis, l’avènement de la IVe République annonce les années de la «traversée du désert». Dès son retour au pouvoir, en 1958, De Gaulle est à nouveau la cible d’une coalition allant des communistes à l’extrême droite, qui n’ont jamais baissé pavillon. Durant quatre ans, l’affaire algérienne alimentera les haines et les hostilités. Mai 68 annonce la fin du règne. Le coup de grâce est donné en avril 1969 avec l’échec du référendum, qui marque la victoire des antigaullistes de tous les bords. S’ouvre alors une période dominée à la fois par la grande ombre du Commandeur (mort en 1970), toujours présent dans le débat politique et dans l’imaginaire des Français, et par un éloignement plus ou moins marqué à l’égard de son héritage, qu’illustrent, chacun à leur façon, les successeurs de Charles De Gaulle à la présidence de la République. L’auteur se place dans une perspective a priori fertile, consistant à regarder l’histoire contemporaine de la France sous l’angle inverse de celui du roman national. L’ouvrage est documenté, construit et écrit de façon suffisamment limpide pour une lecture agréable. Il soulève toutefois une question fondamentale sur la démarche intellectuelle de l’auteur. Si son objet d’étude est à l’évidence riche (quoique très étendu), son approche intrigue. Car il aurait fallu un auteur qui ne soit ni antigaulliste, ni surtout gaulliste! Or, François Broche semble tellement admirer le Général qu’il en perd cette faculté à comprendre les logiques de ses opposants. Pierre Mendès France devient gaulliste dans son antigaullisme, François Mitterrand bafouille avant de parler en tribune, le jour de l’investiture parlementaire de De Gaulle (lequel n’a jamais éternué, postillonné ni baillé en une quelconque occasion), les écrivains réfugiés à New York (Maurois, Romains) deviennent des résistants de salon, gonflés de gloire, de vanité et d’antigaullisme… Bref, la galerie de portraits propose des personnages respectables, mais qui n’ont pas compris pourquoi il fallait être gaulliste. Curieuse démarche d’historien… encore trop de passion peut-être! [ Notes de lectures de Georges Leroy des mois de septembre-octobre 2007 sur le site " Réseau Regain " ]