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Portraits de soldats de la Grande Guerre

Référence : 8241
1 avis
Date de parution : 10 mars 2005
EAN 13 : 9782909034515
Nb de pages : 224
20.00
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Description
Avec le XXe siècle finissant, la Grande Guerre, qui en avait marqué l'avènement, revient dans la roue de l'histoire, d'où l'intérêt pour ceux qui en furent les acteurs, les soldats. De l'humble combattant, Pierre-Aimable Jourdan, archétype du mobilisé de base qui a subi la guerre, à l'officier général Charles Lanrezac, qui a influé sur son cours, ce livre rassemble les portraits de sept soldats français de la Grande Guerre. L'âme du soldat de 14-18 se réfléchit au miroir de leurs combats militaires ou intérieurs, qui ne laissent intact aucun d'entre eux.
Le soldat Pierre-Aimable Jourdan par Pierre Robin
Le caporal Jean Galtier-Boissière par Pierre Robin
Le lieutenant Jacques d'Arnoux par Bernard Marc
Le capitaine Marcel Clavel par Jean Bastier
Le lieutenant-colonel Emile Driant par Henri Ortholan
Le général Jean-Baptiste Estienne par Bernard Marc
Le général Charles Lanrezac par Henri Ortholan.
TitrePortraits de soldats de la Grande Guerre
Auteur BASTIER (Jean) , ROBIN (Pierre) , BERNARD (Marc)
ÉditeurGIOVANANGELI BERNARD (EDITIONS)
Date de parution10 mars 2005
Nb de pages224
EAN 139782909034515
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)18
Largeur (en mm)139
Hauteur (en mm)224
Poids (en Kg)0.30
Critique du libraire
Pierre-Aimable Jourdan et Jean Galtier-Boissière par Pierre Robin, Jacques d´Arnoux et Jean-Baptiste Estienne par Bernard Marc, Marcel Clavel par Jean Bastier, Emile Driant et Charles Lanrezac par Henri Ortholan.
Les avis clients
Précision sur Jacques d'Arnoux et R.Dorgelès .
3/5 Dédicace de Jean Bastié .
Dans son long article sur Jacques d'Arnoux (p.78 à 111) Bernard Marc parle de " Jean Norton Cru qlui a reproché ses outrances, disant que d'Arnoux était selon lui " une nature à la fois mystique, exaltée, fervente, plus que cela : frénétique ". Aux yeux du médecin et de l'humaniste, il fut un jeune homme croyant qui dut mener soixante mois une guerre où il était seul face à sa maladie, puisant sa force dans l'exaltation et affrontant des " heures livides " où son " ciel est bas ". Jean Bastié répond ainsi dans sa dédicace à Jean Auguy, très lié à Jacques d'Arnoux dont il avait été le dernier éditeur : A Jean Auguy avec ma fidèle amitié J.B. Note : jean Norton Cru, qui a critiqué Jacques d'Arnoux, a aussi attaqué Dorgelès ( voir mon chapitre dans Ecrivains Combattants de la Grande Guerre ).Avec mon bon et respectueux souvenir à madame Auguy .