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Y a-t-il un enfer ? (2 volumes)

Référence : 42589
2 avis
Date de parution : 25 février 2019
EAN 13 : 9782851902580
Nb de pages : 84
9.50
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Description
Au portail de nos églises, qui porte encore attention aux représentations du Jugement dernier ? Que signifie pour nous et nos contemporains ce grand partage de l'humanité en deux camps, celui des élus et celui des réprouvés ? Ces damnés précipités dans un feu gigantesque et inextinguible, ces armées de démons qui les tourmentent pour l'éternité, sont-ce là en tout et pour tout des épouvantails sortis de l'imagination des prêtres ? Il n'y a pas d'Enfer : c'est ce que veut croire une humanité désormais libre à ses yeux d'agir sans plus se préoccuper de l'observation d'une loi divine.
Oui mais il y a un Enfer. C'est ce que don Tomaselli vient rappeler à ses lecteurs. Il le rappelle d'abord aux chrétiens : par la bouche de ses prophètes et par la parole du Christ, Dieu a abondamment révélé l'existence de l'Enfer. Il est également des témoignages anciens ou récents, relatifs au sort des âmes défuntes : des damnés ont parlé ; des démons se sont exprimés lors des exorcismes ; des âmes privilégiées ont reçu des lumières particulières au sujet de l'Enfer. Ces témoignages sont dignes de foi. Ils ont pu frapper même des incrédules. Et si l'auteur nous donne tous les motifs pour lesquels il nous faut craindre le juste jugement de Dieu, il ne manque pas de nous donner aussi les puissantes raisons qu'il y a d'espérer en la miséricorde divine. 
Don Joseph Tomaselli (1902-1989), prêtre salésien, demeure bien connu dans son Italie natale, en tant qu'auteur d'une centaine d'ouvrages destinés à l'évangélisation du plus grand nombre. Il fut également exorciste.
TitreY a-t-il un enfer ? (2 volumes)
Auteur TOMASELLI (Don Joseph)
ÉditeurCHIRE (EDITIONS DE)
Date de parution25 février 2019
N° Tome2
Nb de pages84
EAN 139782851902580
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)5
Largeur (en mm)148
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.12
Critique du libraire
Réédition de 1965. Par la bouche de ses prophètes et par la parole du Christ, Dieu a abondamment révélé l'existence de l'Enfer. Don Tomaselli (1902-1989) nous en donne les principales citations en émaillant son argumentation de nombreuses révélations de damnés et de démons même.
Les avis clients
Des expériences concrètes !
5/5 https://www.vexilla-galliae.fr/
.----. CE ¨MËME TEXTE A ETE PUBLIé SUR LA FICHE DES DEUX TITRES : Don Joseph Tomaselli, Y-a-t-il un enfer ?, 1ère et 2e parties, éd. de Chiré, Chiré-en-Montreuil, 2019. Id., L’âme droite au confessionnal, éd. de Chiré, Chiré-en-Montreuil, 2019. Ces trois petits fascicules vous seront d’une grande aide pour méditer les vérités révélées sur l’enfer, surtout si vous avez des journées bien occupées. Plus qu’un traité théologique, don Tomaselli présente dans Y-a-t-il un enfer ? des expériences concrètes, dont l’apparition d’une âme tombée en enfer. L’âme droite expose quant à elle la confession d’un homme se décidant à se laver l’âme après de nombreuses années sans le sacrement de réconciliation, donnant l’occasion d’un petit résumé et de suggestions pour un bon examen de conscience. Nous savons bien que notre temps pêche par une absence trop grande des prédications sur les fins dernières, malgré leur importance fondamentale ! Controns donc cette carence en nous imprégnant bien de cette vérité essentielle qu’est l’enfer. L’enfer se définit avant tout par la peine du dam, qui se traduit par l’absence de Dieu, conséquence directe et logique du refus de Dieu. C’est la pire des souffrances. Pour mieux imaginer cette souffrance, l’auteur la compare à la souffrance éprouvée à la mort d’un être cher : Dieu étant le plus aimable de tous les êtres, la souffrance due à son absence ne peut être qu’infinie — pour notre malheur, nous ne pouvons qu’imaginer cette souffrance, car sur cette terre, Dieu est présent en tout temps, même pour le pire des pêcheurs et des impies. On ne peut donc se rendre compte de la gravité de l’absence de Dieu que lorsqu’il est trop tard. Alors, imaginons ! Et ne nous endormons pas dans le confort et dans les choses terrestres. « Une seule chose aurait pu briser mon obstination : une longue et profonde douleur. Mais cette douleur n’est pas venue ! Comprends-tu ce que veut dire : « Dieu châtie ceux qu’Il aime » ? »[1] Une belle vérité que cette phrase : les souffrances et les épreuves qui nous sont données sur cette terre sont une grande chance et une grande grâce de Notre Seigneur. Ces épreuves et ces souffrances nous donnent l’occasion de nous convertir, et donc de nous sauver. Les plus à plaindre sont ceux qui n’ont pas la chance d’être tirés de leur torpeur, agréable mais tout à fait dangereuse. « Qui aime bien châtie bien », nous dit le dicton ! Craignons donc cette peine du dam, même si nous ne pouvons pas la comprendre : « Tant que le couteau reste immobile sur la table, on reste indifférent. On voit bien qu’il est affilé, mais on éprouve aucune crainte. Mais qu’il pénètre la chair, et tu te tordras de douleurs ! C’est maintenant que nous éprouvons la perte de Dieu, avant nous y pensions seulement. »[2] Évidemment, les peines du sens sont plus facilement appréhendables — et devraient nous faire réfléchir aux peines éternelles avec un peu plus d’inquiétude. En attendant, la justice divine s’étend jusqu’à l’enfer, et chacun aura le sort qu’il mérite, avec exactitude : « Toutes les âmes ne souffrent pas dans la même mesure. D’autant plus malicieusement et plus systématiquement quelqu’un aura péché, d’autant plus lourdement pèsera sur lui la perte de Dieu, et d’autant plus le suffoquera la créature dont il aura abusé. Les catholiques damnés souffrent davantage que ceux des autres religions, parce que, le plus souvent, ils ont reçu et méprisé plus de grâces et de lumières. Celui qui savait plus souffre plus durement que celui qui savait moins. Celui qui a péché par malice, pâtit plus cruellement que celui qui est tombé par faiblesse. Mais personne ne souffre au-delà de ce qu’il mérite. Oh ! si seulement cela n’était pas vrai ! J’aurais alors une raison de haïr ! » Oui, aux tréfonds de l’enfer, nous avons les plus coupables, soit des papes, des rois, des chefs, des prêtres, des clercs, des chrétiens, qui savaient et ont fait le contraire de ce qu’ils devaient faire. Ils devaient éclairer et ont obscurci. Comme d’ailleurs, tout en haut du Ciel, il y a les plus méritants, les grands saints, les grands papes, les grands rois… Et ne croyons pas pouvoir nous échapper : il faudra payer ce que nous devons, que ce soit au purgatoire ou, terrible vision, en enfer. Qui peut prétendre arriver directement au ciel sans passer au purgatoire, à part les martyrs ? Si peu… Soyons donc heureux d’être petits, pauvres, humbles : notre responsabilité, moindre, est une bénédiction nous facilitant le salut. En revanche, les chefs, les pères et les mères de familles, les clercs, les rois, les riches et les puissants doivent craindre pour leurs âmes, car leurs grandes responsabilités exigent d’eux une grande sainteté. Leur mérite, de même, n’en sera que plus grand, et leur place au Ciel plus haute s’ils remplissent leur devoir avec foi et ferveur. N’oublions pas une vérité importante : toutes les épreuves et toutes les responsabilités données par Dieu ne le sont qu’à des personnes ayant le pouvoir de surmonter ces épreuves et d’accomplir ses devoirs, à condition qu’elles se confies tout entières à Dieu, dans l’imitation de Jésus-Christ. « Vous devez prier dans vos nécessités. S’il vous semble que Dieu ne vous écoute pas, c’est parce que vous manquez de foi, ou bien que vous êtes trop adonné au péché. C’est ainsi que vous vous rendez indigne de son secours et de sa grâce. »[3] Nous sommes sur cette terre pour combattre, ne l’oublions pas : « Celui qui voudrait transformer la croix en parties de plaisir, périrait pour l’éternité. »[4] Notre histoire nous l’apprend, nos rois l’ont montré, nos saints nous l’enseignent par leur vie, alors travaillons et combattons à notre humble niveau, pour la conversion, pour vivre toujours de la grâce, et toujours plus dans des œuvres sanctifiées ! Rémi Martin Pour Dieu, pour le Roi, pour la France ! [1] Don Joseph Tomaselli, Y-a-t-il un enfer ?, op. cit., partie II, p. 12. [2] Ibid., p. 16 [3] Don Joseph Tomaselli, L’âme droite au confessionnal, op. cit., p. 15. [4] Ibid., p. 26. [ Publié le 9 décembre 2021 par Vexilla Galliae ] P.S. : Vexilla Galliae est et se veut un média Internet totalement indépendant.Plus qu’un simple vecteur d’information, l’équipe de Vexilla Galliae entend apporter un éclairage iconoclaste sur l’actualité que diffusent les grands médias.
Un livre intéressant sur l'Enfer
4/5 Jean
Dans ce livre,l'auteur retrace les preuves de l'existence de l'Enfer en se fondant sur la raison mais en se basant aussi la révélation.L'auteur indique les différentes spécificités de l'Enfer et quels sont les types de péchés qui envoient les âmes en Enfer.L'Enfer est bel et bien la punition des mauvais qui vivent dans la jouissance des biens matériels et qui sont en révolte contre Dieu.L'auteur nous indique les moyens que nous avons pour nous sauver et sauver les autres.Un passage du livre sur la miséricorde divine nous rappelle malgré tout que Jésus fait tout pour sauver les âmes des feux de l'Enfer et que celles qui se damnent se damnent par leur propre faute.Un livre intéressant qui a le mérite de faire intelligemment le tour de la question.Pour ne plus dire:"je ne savais pas". La deuxième partie du livre est une lettre venant d'une damnée qui s'était éloignée de plus en plus de Dieu et avait fui dans les mondanités.Elle non plus ne croyait pas en l'existence de l'Enfer mais la réalité l'a rattrapée.Un livre hautement recommandable,d'autant plus que les livres qui osent parler de l'Enfer sont rares sur le marché donc profitons-en.A lire et faire lire avant que l'Antéchrist ne l'interdise de vente.