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Voyage au bout des ruines libérales libertaires

Référence : 107130
1 avis
Date de parution : 17 janvier 2019
Collection : PGDR EDITIONS
EAN 13 : 9782363712783
Nb de pages : 240
17.00
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Description
Un pamphlet qui ne mâche pas ses mots. Où l'on découvre le gouffre abyssal entre les idéaux tout faits, venus d'en haut et la réalité à terre, "notre" réalité de plus en plus pauvre, isolée, moribonde.  
Matthieu Baumier est l'auteur de plusieurs essais, dont La Démocratie totalitaire (Presses de la Renaissance/Plon), de romans comme Le Manuscrit Louise B. (Les Belles Lettres) ou Les Apôtres du néant (Flammarion) et d'ouvrages de poésie. Il a contribué à diverses revues intellectuelles et politiques (Immédiatement ; La Soeur de l'ange ; La Nef ; L'Atelier du roman ; La Revue des Deux Mondes ; Recours au poème ; L'Incorrect...).
TitreVoyage au bout des ruines libérales libertaires
Auteur BAUMIER (Matthieu)
ÉditeurPIERRE GUILLAUME DE ROUX (EDITIONS) (PGDR)
Date de parution17 janvier 2019
Nb de pages240
CollectionPGDR EDITIONS
EAN 139782363712783
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)18
Largeur (en mm)105
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.22
Critique du libraire
" Matthieu Baumier s'en prend dans ce nouveau livre aux « déconstructeurs », principalement dans la version macronienne et mondialiste qui règne sans partage aujourd'hui. "
Les avis clients
Déconstructeurs Macroniens et mondialistes !
4/5 L'homme nouveau .
.----. À la jointure de l’essai polémique et de la réflexion philosophique, Matthieu Baumier s’en prend dans ce nouveau livre aux « déconstructeurs », principalement dans la version macronienne et mondialiste qui règne sans partage aujourd’hui. Avec le talent qu’on lui connaît – et qui s’épanouit dans plusieurs revues et publications, globalement conservatrices –, Baumier tire à jet continu contre cette société moderne dont il montre, derrière Zygmunt Bauman, qu’elle n’est qu’une « société liquide », s’appuyant elle-même sur une « pensée liquide ». Au cœur des ruines qu’il constate et qu’il dénonce : « L’absence absolutisée de la Limite. » Les grands prêtres de cette pensée magique, Baumier les recouvre non seulement de son mépris mais aussi d’une étiquette. Qui sont exac­tement les tenants du courant « libéral-libertaire » ? Tout simplement les partisans du néo-libéralisme économique et ceux de la libéralisation absolue des mœurs. Mais notre auteur ne se contente pas de déconstruire les « déconstructeurs », de montrer l’inanité de leur modèle, la prétention de leurs ego ou leur simplisme abyssale. Tout en gardant son ton de hussard au grand galop contre les idées faibles, il lance, ici ou là, quelques formules, afin d’indiquer la voie d’une reconstruction. Plutôt qu’anti-moderne, Baumier se voit en « contre-moderne » et, plagiant de manière revendiquée Joseph de Maistre, explique que c’est au sens, non d’une modernité contraire, mais du contraire de la modernité. Le « nouveau monde » n’a qu’à bien se tenir. À défaut d’être abattu, il est au moins démasqué [ Rédigé par Philippe Maxence le 28 mai 2019 dans " L'homme nouveau " ]