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Une famille aux petits oignons - Histoires des Jean-quelque chose

Référence : 6095
5 avis
Date de parution : 1 mai 2015
EAN 13 : 9782070660490
Nb de pages : 448
18.90
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Description
Quand on est une famille de six garçons, impossible de s'ennuyer un seul instant. Surtout avec Jean-A. qui veut toujours être le chef, le club des agents secrets de Jean-B., Jean-C. qui ne comprend jamais rien, Jean-D. alias Jean-Dégâts, les poissons rouges de Jean-E. et le bébé Jean-F. qui n'arrête pas de pleurer... sans parler du déménagement, des bagarres avec la bande des Castors et des cousins Fougasse aux oreilles décollées... Heureusement que papa est un as du bricolage et que maman est très organisée ! 

Comprend : L´omelette au sucre - Le camembert volant - La soupe de poissons rouges - Des vacances en chocolat - La cerise sur le gâteau !
TitreUne famille aux petits oignons - Histoires des Jean-quelque chose
Auteur ARROU-VIGNOD (Jean-Philippe)
ÉditeurGALLIMARD-JEUNESSE (EDITIONS)
Date de parution1 mai 2015
Nb de pages448
EAN 139782070660490
Épaisseur (en mm)35
Largeur (en mm)156
Hauteur (en mm)225
Poids (en Kg)0.65
Critique du libraire
Les Cadeaux de Tante Anne (Lecture et Tradition n° 44) Voici un livre dédié aux enfants et aux parents. Dans cet ouvrage bien épais, vous découvrirez la vie d'une famille composée de six garçons qui ont l'originalité de tous s'appeler Jean. Ainsi pour les différencier, leur père a eu la malicieuse idée de faire suivre leur prénom d'une lettre. L'aîné s'appeelle Jean-A alors que l'on nomme le petit dernier Jean-F .A travers ce recueil de cinq grands récits, le cadet, Jean-B, nous raconte toutes les aventures qu'il vit avec ses frères et ses parents. Et l'on voit dès le début qu'il s'en passe des choses dans cette famille ! Six garçons, ça en fait des bêtises ! Des histoires vraiment drôles et pourtant si banales, qui rapelleront certainement beaucoup de souvenirs aux parents ( ou grands-parents ). Un livre également très intéressant historiquement parlant puisque son auteur, Jean-Philippe Arrou-Vignod, ayant lui-même été élevé dans un foyer de six garçons dans les années 1970, s'inspire en grande partie de ses souvenirs de jeunesse. Il nous dépeint toute cette époque avec ses hauts et ses bas, à partir du point de vue d'un garçon d'une dizaine d'années. Quant aux enfants qui liront ce livre, ils se retrouveront certainement à travers cette famille nombreuse, dans l'un des Jean-quelque chose. Cette oeuvre se lit très rapidement tant les personnages y sont attachants et amusants ! Une lecture idéale pour les vacances ( à partir de neuf ans ).. . . ( Vous pouvez commander ce numéro : c'est le n° 44 de Lecture et Tradition de décembre 2014)
Les avis clients
Difficultés ?
5/5 Jean Auguy.
Pendant 50 ans, j'ai eu pour rôle de choisir et de vous conseiller pour l'achat de vos livres et comme il est impossible de tout lire je me suis assez souvent trouvé face à des avis divergents et même quelquefois diamétralement opposés ! . Il suffit de lire l'avis de notre rédactrice dans la chronique de Tante Anne ( voir la critique du libraire ) et je dois dire que j'ai totalement confiance dans ses analyses et celle de notre correspondante Germaine qui nous donne son avis très bien explicité pour constater que sur le même livre on peut avoir des conclusions divergentes ! Voilà l'énorme utilité de ces avis de la presse et des lecteurs, même si je trouve qu'ils ne sont pas assez nombreux ! Ils permettent de mieux valider les choix qui ne sont pas toujours faciles !
La morale est toujours sauve.
3/5 https://123loisirs.com/
.----. Présentation de l'édition de 2009, 336 pages. Âge: 11/12 ans (6 ème / 5ème) Thèmes : Aventure, Famille Genre : Garçons, Roman Les trois volumes de «L' omelette au sucre », du « Camembert volant » et de « La soupe de poissons rouges », sont ici réunis en un seul ouvrage, agrémenté d'un inédit, « Des vacances en chocolat ». Jean-Philippe Arrou-Vignod parle d'expérience et cela se sent : ses héros, les six Jean-Quelque-Chose (de Jean A à Jean F), aussi bagarreurs que drôles et attachants, sont croqués sur le vif. Ils ont un papa bricoleur et médecin dans la marine, une maman très organisée, des cousins Fougasse aux oreilles décollées, papy Jean et mamie Jeannette ; ils partent en camp scout ou en vacances, déménagent, font leur rentrée au collège' non sans quelques mésaventures qui raviront autant qu'elles rassureront les familles de garçons : eh oui ! C'est bien la même chose dans toutes les familles ! Bien sûr, ils ne sont pas forcément à prendre en exemple, mais la morale est toujours sauve. A la manière du Petit Nicolas, l'auteur nous brosse le portrait d'une fratrie pleine de vie, où internet et les jeux vidéo n'ont pas encore élu domicile. Les dessins de Dominique Corbasson, qui parsèment le livre, parfaitement dans le ton, ajoutent encore au plaisir.
L'omelette au sucre .
3/5 Chouette un livre !
.----. Antiquaires, brocanteurs et autres récupérateurs vous le diront mieux que moi, les années 1960 reviennent à la mode… Pour nos jeunes lecteurs, les années 1960, c’est le Moyen Age, ou presque. L’époque lointaine où leurs grands-parents allaient à l’école – sauf le jeudi. L’époque où ils partageaient, où nous partagions les jeux du Petit Nicolas… 2010 = 1960 + 50, c’est arithmétique. « Presque » cinquante ans plus tard, donc, comment expliquer qu’une famille nombreuse et provinciale de 1967 n’avait même pas la télévision ? Que les garçons lisaient Spirou et Langelot, qu’ils faisaient du vélo sans casque et chahutaient du haut de leurs lits superposés ? Qu’ils avaient pour trésors une lampe de poche et, parfois, un cochon d’Inde ? Que maman cuisinait des gougères et que papa avait la main plutôt leste ? Laissons tomber les explications sur le thème « raconte-nous grand-mère », et plongeons-nous dans la lecture hilarante de cette Omelette au sucre ! Suivons les aventures des cinq Jean – de Jean A à Jean E – qui attendent avec impatience la naissance de… chut, l’échographie n’existait pas non plus, en 1967 ! Vous n’aurez de cesse de déguster aussi La Soupe de poissons rouges, Le Camembert volant, et Des Vacances en chocolat ! Soit à la carte, en volumes séparés, soit en commandant le menu complet : Une famille aux petits oignons ! A consommer chapitre après chapitre, sans modération et en toute complicité. [ Publié le 8 septembre 2010 ]
je ne le recommande pas
2/5 Germaine
Ce récit, ouvertement inspiré de l'enfance de l'auteur (dédicace du livre à sa famille, analogie des prénoms doubles et même fratrie de 6 garçons) retrace la vie d'une famille nombreuse française de classe moyenne pendant la fin des années 60. Il est composé de 5 épisodes édités chez Gallimard Jeunesse entre 1999 et 2013 : L'omelette au sucre Le camembert volant La soupe de poissons rouges Des vacances en chocolat La cerise sur le gâteau L'édition de 2016 regroupe tous ces épisodes sous le titre : Une famille aux petits oignons Le narrateur est un garçon d'une dizaine d'années, Jean-B, le second des six enfants. A travers son regard nous suivons au fil des épisodes les événements vécus par cette famille pendant environ trois ans (attente et arrivée d'un petit frère, périodes et événements scolaires, vacances, déménagement de Caen à Toulon, nouveau carde de vie etc.). L'auteur ne cherche pas à produire un ouvrage littéraire. Il a choisi le mode de la dérision. Le style est vivant, facile à lire, toujours en langage parlé très familier car les dialogues entre frères prennent une place importante. Les chapitres courts permettent une lecture rapide et donnent une impression générale de mouvement. Ce qui est intéressant dans ce livre est la durée qui correspond à l'évolution des enfants, de l'enfance à l'adolescence et le comportement des parents face à ces changements. En effet, sous le biais d'un récit enfantin ou qui se veut tel, toujours écrit d'un ton joyeux, l'auteur porte un regard critique et moqueur sur l'éducation qu'il a reçue, et règle ainsi gentiment ses comptes avec ses parents. Quant au lecteur, il peut mesurer à travers une famille de « Français Moyens » les changements profonds qui ont affecté la France en mai 68 et leurs conséquences, en particulier en matière d'éducation. C'est ainsi que nous voyons des parents dont les principes éducatifs s'érodent au fil des années et qui voient leurs adolescents changer de manière imprévue (mixité au lycée, premières amourettes, arrivée des chanteurs rock ... Dans le dernier épisode, ils assistent, manifestement dépassés par les événements, à l’anniversaire de leur fils aîné, sous forme de « boum » organisée dans la chambre avec lumières éteintes et musique mise à fond. Que penser de ce livre ? Il est très intéressant au point de vue sociologique car il montre la ras de marée culturel et éducatif des années post-68. Les parents sont bien représentatifs de la plupart des parents de l'époque. Désemparés, ils pensent qu'ils doivent accepter tous ces changements. A la fin du livre on les voit chercher de l'aide dans les livres de psychologie. Ce livre est-il pour les enfants ? Contrairement à son classement dans la collection « Gallimard Jeunesse », ce n'est pas un livre pour enfant Voici pourquoi : Le style est pauvre et en mauvais français (langage parlé), il n'apporte rien au point de vue littéraire. L'humour est un humour d'adulte et beaucoup de plaisanteries sous-jacentes ne sont pas à la portée des enfants. Beaucoup d'éléments sont contre-éducatifs : La dérision est le fil conducteur du livre. Le père de famille est présenté comme un personnage ridicule, quoique très gentil, dont toutes les initiatives se soldent par des échecs. La famille élargie (grands-parents, cousins) n'est pas mieux traitée. Le scoutisme est franchement tourné en dérision. On n'y trouve aucune valeur humaine propre à « tirer les enfants vers le haut », ce qui devrait être un élément majeur dans un livre destiné à la jeunesse. Il n'y a pas de notion de moralité. Les enfants volent. En cachette des parents ils vont au cirque et au cinéma voir un James Bond. Au fil des chapitres, les enfants sont de plus en plus ingouvernables. La religion fait « partie des meubles ». La famille est catholique, car on évoque la messe par deux fois (mais pas le jour de Noël). La seconde fois, au dernier épisode, elle est présentée comme une obligation pour les parents et une corvée pour les enfants. Quelques éléments positifs ? L'atmosphère générale est joyeuse, il n'y a pas de méchanceté entre les frères, même si les bagarres sont nombreuses (l'insulte favorite est « banane »). La mère de famille est respectée, et, d'ailleurs, la seule à échapper à la dérision générale. Cependant on ne la voit jamais dans son rôle d'éducatrice. En conclusion, Je dirais que l'auteur s'est bien amusé en écrivant cet ouvrage. Il porte un regard attendri et protecteur sur ses parents qui tenaient à faire porter des cravates à leurs garçons, les habiller tous de la même manière, mais ont pris de plein fouet la « révolution culturelle » d’après 1968. Et le lecteur, s'amuse-t-il ? Oui au début, mais au fil des chapitres, l'humour étant toujours le même, on se lasse.
Mr
1/5 michel
Mon fils de 9 ans a été particulièrement choqué par certains passages. Le livre est écrit en français parlé très familier, le père de famille est présenté comme un peu attardé. je ne recommande pas ce livre qui n'est absolument pas fait pour un enfant de 9 enfant... Le scoutisme est ridiculisé... j'en passe et des meilleures... Dommage que Chiré présente de ce livre qui se retrouve du coup dans les bibliothèque des écoles même hors-contrat (convient selon Chiré à un enfant de 9ans)