Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Un samouraï d´Occident - Le Bréviaire des insoumis

Référence : 75835
4 avis
Date de parution : 27 juin 2013
Collection : PGDR EDITIONS
EAN 13 : 9782363710734
Nb de pages : 320
23.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Epuisé chez l'Editeur
Voir la disponibilité en magasin

Description
"Nous avons le confort, le savoir, l'opulence. Mais nos villes ne sont plus des villes et nos anciennes patries ne sont plus ce qu'elles étaient. L'excitation des caprices les plus fous fait imploser notre civilité. L'argent est devenu l'étalon exclusif de toute valeur. Sous les apparences de la démocratie, nous ne sommes pas libres.
Les causes remontent loin. Mais l'histoire n'est jamais immobile. Le moment est venu pour les Français et les Européens de se réveiller et de se libérer. Comment ? Certainement pas en replâtrant ce qui nous a conduits où nous sommes. A défaut de posséder une religion à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une riche mémoire occultée, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance.
Devant le vide sous nos pieds, la voracité démente du système financier, les menaces d'un conflit de civilisation sur notre sol, ce "bréviaire" propose de réveiller notre mémoire et d'ouvrir des pistes neuves pour penser, vivre et agir autrement, permettre à chacun de se reconstruire dans la fidélité à des modèles supérieurs."
TitreUn samouraï d´Occident - Le Bréviaire des insoumis
Auteur VENNER (Dominique)
ÉditeurPIERRE GUILLAUME DE ROUX (EDITIONS) (PGDR)
Date de parution27 juin 2013
Nb de pages320
CollectionPGDR EDITIONS
EAN 139782363710734
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)25
Largeur (en mm)124
Hauteur (en mm)195
Poids (en Kg)0.33
Biographie
Critique du libraire
Le livre posthume de Dominique Venner, dédié à son épouse : son testament. Il avait livré, à son éditeur, ce manuscrit quelques temps avant son suicide. Nous prévenons nos lecteurs que ce dernier ouvrage est tout particulièrement virulent contre l'Eglise. Cependant, on trouve dans le combat de Venner, dans ses analyses et dans ses arguments des choses très intéressantes. A ne pas metre entre toutes les mains, mais à étudier comme source de documentation.
Les avis clients
Dominique Venner Présent
5/5 Jacques
Pour bien comprendre Venner, il convient de lire aussi l'ouvrage collectif que lui a consacré Synthèse nationale "Dominique Venner Présent". Une douzaine de témoignages à lire.
Son testament, sa vision de l'histoire
5/5 Présent N°7899 Samedi 20 juillet 2013
Dominique Venner publie à titre posthume un livre intitulé Un samouraï d'Occident, sous-titré Le bréviaire des insoumis. Ce bréviaire n'a rien de catholique, autant vous le dire d'entrée de jeu. Il est même la charge la plus solide que Venner ai jamais écrite contre notre religion... Je ne peux plus lui répondre ni discuter avec lui comme je le faisais dans mon émission de Radio Courtoisie ou après, au cours d'un bon déjeuner. Mais je vais continuer cette conversation. L'écrivain nous livre son testament, sa vision de l'histoire, du "désordre épouvantable" créé par le christianisme dans un monde antique parfait, ses héros tous païens à quelques exceptions près, qui se sont souvent suicidés, son amour pour Homère, l'écrivain total qui a tout dit, tout compris de l'homme, qu'on doit suivre à la lettre comme le Coran, et ses conseils aux jeunes Européens, d'excellents conseils d'ailleurs. L'écriture est très belle, l'érudition impressionnante pour ceux qui ne croient pas au ciel mais pour les autres le charme ne passe plus. Des violences et des incohérences se cachent trop nombreuses derrière le masque du sage stoïcien : le monde de l'Antiquité était noble et vertueux, le christianisme aurait tout gâché. Les Carthaginois massacrés lors des guerres puniques jusqu'au dernier apprécieront. Les Romains ont élevé des montagnes de leurs crânes comme Flaubert le raconte dans Salammbô. Pas la peine de s'offusquer que Berlin ait été anéantie ! Les Alliés avaient un modèle. Le christianisme a persécuté les païens, éradiquant leur culte et remplaçant leurs dieux et déesses par nos saints. J'ai ouï dire que les Vikings déferlant sur l'embouchure de la Seine ne se comportèrent pas délicatement et massacrèrent des monastères entiers. Puis ils épousèrent les autochtones qu'ils avaient enlevées, lesquelles les ont civilisés. Le chef des Francs qui déferlèrent sur la France épousa Clotilde dont le Dieu lui donna la victoire et qui le convertit. Ainsi est née la France, petit détail ou importante étape ?... Suit une liste incroyable de faits qui voudraient prouver que non, vraiment, la France n'est pas si catholique à commencer par le roi Louis XIV et son temple païen, Versailles. Vous êtes-vous promené dans le parc et n'avez-vous pas remarqué que la chapelle royale domine le château ? Et puis un peu de logique, s'il faut vénérer, protéger, répandre ses propres traditions, pourquoi se plonger dans la sagesse japonaise et faire de vous un samouraï. Le goût des armes et du combat ne justifie pas tout. Il n'y a pas que l'Orient qui soit compliqué, l'Europe aussi, vous simplifiez à l'extrême, vous caricaturez. Vous n'avez pas trouvé de héros valables dans toute la tradition chrétienne. Dommage ! Votre admiration pour l'Iliade et l'Odyssée, nous la partageons mais restons-en à ces propos de Dostoïevski que vous citez : "Dans l'Iliade, Homère a donné au monde antique une organisation de vie spirituelle et de vie terrestre tout aussi fortement que le Christ au monde nouveau." Vous accusez le christianisme de tous les maux, le premier d'entre eux étant l'universalisme. Je vous répondrais qu'au bout du monde je suis toujours heureuse d'assister à une messe et réciter le Notre père en latin ou non. J'ai des frères partout dans le monde. Et avoir des frères et des soeurs ici bas c'est précieux ! En plein combat de la Manif pour tous et contre tous les Peillon du moment qui veulent éradiquer eux aussi la religion chrétienne, vous lancez votre bombe au milieu de ces jeunes qui, pour la majorité d'entre eux, sont catholiques. D'un côté vous voulez les galvaniser et de l'autre vous les anéantissez en réduisant à rien les soubassements de leur foi. L'ennemi nous fait face : et il se rit de nos divisions entre chrétiens et païens. Benoît XVI et sa leçon de Ratisbonne trouve, seul, grâce à vos yeux : "Au sein de l'Eglise, nul n'avait dit avec autant d'autorité et de force l'antériorité de l'héritage grec, ni à quel point le christianisme européen avait été transformé par la pensée hellénique." Merci pour lui. Votre mère très chrétienne vous a quitté pour le ciel, vous n'étiez qu'un jeune garçon de dix ans. Elle voulait faire de vous un prêtre, vous me l'avez dit. Vous avez été mis dans des pensions catholiques très dures, qui voulaient faire plier votre orgueil. Ils s'y sont mal pris. Ils n'ont réussi qu'à le décupler. Un autre historien, géant spirituel, Soljenitsyne, jeune militant communiste jeté au goulag par ceux qu'ils croyaient ses frères d'armes, a reconnu son erreur et a retrouvé la foi de sa mère. Alexis Carrel dont vous faites un beau portrait a écrit des lignes magnifiques en anglais en 1941 pour le Reader Digest sur les bienfaits de la prière. Grand médecin il avait été frappé de l'efficacité de la prière pour certains malades. Comme il n'aimait pas la traduction qui en avait été faite il le réécrivit. Connaissiez-vous ce texte ? Sans doute pas, on ne peut connaître toutes les richesses de tous les écrivains depuis le début du monde. On peut y trouver ceci : "Comment faut-il prier ? Nous avons appris la technique de la prière des mystiques chrétiens depuis Saint Paul jusqu'à Saint Benoit et à la foule des apôtres anonymes qui, pendant vingt siècles, ont initié les peuples d'Occident à la vie religieuse. Le dieu de Platon était inaccessible dans sa grandeur. Celui d'Epictête se confondait avec l'âme des choses. Jahveh était un despote oriental inspirant la terreur et non l'amour. Le christianisme au contraire a amené Dieu à portée de l'homme... L'homme a besoin de Dieu comme il a besoin d'eau et d'oxygène... Pour prier il faut seulement faire l'effort de se tendre vers Dieu." Cet effort vous le refusiez ou peut-être l'avez-vous fait au dernier moment, en vous ruant à Notre-Dame, aux pieds de la Vierge. La dernière ligne de votre dernier édito dans la Nouvelle Revue d'Histoire dit : "Il ne faut jamais provoquer la colère des mères." Vous avez sûrement dû provoquer celle de la vôtre. Elle vous en parlera. L'Eglise vous a trahi deux fois, dans ces pensions catholiques si sévères et plus tard quand vous étiez en prison et que certains prêtres, porteurs de valises et d'autres, éditorialistes infâmes, choisirent le camp du FLN. Mais l'Eglise est humaine, fragile. Elle a été attaquée par tous ceux que vous considérez comme vos ennemis. Nous avons les mêmes ennemis. Les idées chrétiennes sont devenues folles car elles ont été séparées de la transcendance. Merci pour le texte de Céline terriblement accusateur du christianisme. Je ne le connaissais pas. Sa violence sur le mal fait "aux races viriles devenues mendigots, sous-hommes dès le berceau par la littérature christique" ne traduit que la violence de sa douleur et votre choix de la citer souligne aussi la vôtre. La violence de Céline est née de sa terrible clairvoyance, l'Europe s'engageait dans une seconde guerre civile après le premier suicide de la guerre de 14-18. Mais sont-ce vraiment les chrétiens qui ont préparé ces guerres ? Qui furent envoyés au front pour mourir, dès 1914, en première ligne ? Les paysans bretons, catholiques, les officiers français catholiques et le premier d'entre eux, Péguy. Idem pour la guerre de 40. Qui a été éliminé en 1945 ? Une grande partie des élites catholiques. N'est ce pas l'éternelle guerre contre les catholiques qui continuait. Il faudrait peut-être dire le nom des vrais responsables... La France catholique saine et combattante, et virile, que vous auriez pu aimer a été décapitée en 14-18 et de 1940 à 1945 avec la guerre et l'épuration. Etonnez-vous après, que la démocratie chrétienne avec son idéologie, ses lâchetés, sa traîtrise, se soit propagée comme une traînée de poudre. La violence de Céline, je le répète, est la vôtre. Votre pays se meurt et vous ne le supportez pas. Nous ne le supportons pas non plus mais nous n'accusons pas les mêmes personnes. Et sont-ils vraiment des sous-hommes, les Godefroy de Bouillon qui sont allés délivrer le tombeau du Christ ? les Rois catholiques qui ont libéré l'Espagne de l'occupation musulmane ? Et tous ces jeunes qui se dressent devant le pouvoir aujourd'hui ? J'aurais dû vous dire ce que Gustave Thibon disait de Nietzche : "L'homme qui, toute sa vie, batailla fiévreusement contre Dieu n'est guère autorisé à déclarer qu'il n'y attachait pas d'importance et qu'il ne perdit jamais son temps à s'en occuper ; on prend toujours au sérieux l'adversaire qu'on défie à mort." Quittez ce petit sourire ironique du chevalier de Dürer que vous aviez plaqué sur votre visage. Etrange et signifiant d'ailleurs cette admiration pour ce tableau sinistre de Dürer, Le chevalier, la mort et le diable. Le diable existait donc bien pour vous ! Laissez-vous enfin pénétrer de la grâce divine. Nous étions dans la peine de votre mort. Ce livre ajoute la colère à la peine. Discuter sur l'agora signifiait-il mépriser et injurier l'autre ? <p align="right">Anne Brassié <a href= http://www.present.fr/ target=_blank>www.present.fr</a>
Pour se libérer
5/5 Minute N° 2622 - 3 juillet 2013
Dominique Venner, qui s'est donné la mort devant l'autel à Notre-Dame de Paris, n'avait pas dit son dernier mot. Il nous laissait un ouvrage testamentaire, qui vient de paraître. On peut dire qu'il s'y confesse, qu'il s'y met à nu. Il apparaît tel qu'en lui-même, avec sa grandeur et ses failles. Parce qu'il ne triche pas avec nous, et cela même quand il triche avec lui-même. D'où l'intérêt exceptionnel de cet opus, à déconseiller vigoureusement à tous ceux qui voient la vie en noir et blanc. C'est en tant que prêtre que j'ai voulu lire ce Bréviaire des insoumis, curieusement intitulé Un samouraï d'Occident. Alors que le système accroît son emprise déconstructrice, délocalisatrice, démoralisatrice, et qu'on mesure chaque jour un peu plus son poids sur nos vies, il est urgent de devenir intérieurement des insoumis. Ce livre, Dominique Venner l'a écrit pour tous ceux qui aspirent à se libérer. C'est une initiation à la liberté intérieure. On ne sort pas indemne de sa lecture. Son premier mot d'ordre (p. 25) : "Mystique d'abord !" Mais quelle mystique direz-vous ? Il nous répond comme si la chose allait de soi : "Celle du clan bien sûr." J'ai envie d'avoir la curiosité de lui demander sérieusement : quel clan ? Mais là, au moins p. 25, il esquive et laisse la parole à Martin Heidegger : "Toute chose essentielle et grande a pu naître parce que l'homme avait une patrie et était enraciné dans une tradition". La Tradition, drôle de clan ! Au fond, parce qu'il n'y a plus de clan, dans nos sociétés hyperindividualistes, c'est à une plongée dans l'épaisseur historique de l'humanité, dans la tradition, que Dominique Venner nous invite. <p align="right">Abbé Guillaume de Tanoüarn <a href= http://www.minute-hebdo.fr/ target=_blank>www.minute-hebdo.fr</a>
Question?
1/5 Jean Saumur 49
Pourquoi laissez-vous 5 étoiles sur ce remarquable texte d'Anne Brassié ? Lisez sa conclusion.