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Sociologie du hardeur - Pour une résistance à la pornographie

Référence : 106799
Date de parution : 1 janvier 2018
EAN 13 : 9782367251325
Nb de pages : 182
14.00
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Description
À l'aube de leurs trente ans, deux camarades se revoient autour d'un sujet qui a vampirisé leur vie d'adolescent : la pornographie. Au collège, Cyril était celui qui, ayant accès à la collection de cassettes porno de son père, organisait des séances de cinéma un peu particulières... Entre confessions et interrogations, les deux protagonistes explorent leur relation à la pornographie : rejet, dégoût, attirance, addiction même... et analysent un phénomène qui avec Internet est de plus en plus répandu, et accessible à des consommateurs de plus en plus jeunes.
Représentations biaisées de la femme, "performances" jetées à la face de jeunes qui ont de moins en moins accès à l'amour, pauvre substitut d'une sexualité de plus en plus agressive, mais également substitut du pauvre, dont le pouvoir d'achat et de séduction le réduit à ne pouvoir plus être que le spectateur de la consommation, la pornographie, pourvoyeuse aussi bien du fantasme que de son assouvissement insatisfait, engendre frustration et mal-être dans un cycle sans fin.
Il est temps alors pour nos deux amis en cours de guérison de faire le bilan. Humain, social, psychologique, mais aussi dans sa brutalité marchande : qui produit ? où va l'argent ? dans quel but laisse-t-on ainsi la laideur envahir l'imaginaire ? Quel rapport avec le métissage voulu de l'homme occidental ? avec la "société ouverte", le "progrès", le libéralisme ? Cet avilissement de l'homme, en même temps que celui de la femme, est-il un moyen de son asservissement ? Une étape dans sa disparition programmée ? 
Lounès Darbois est né en 1982 en région parisienne. Entre études inachevées, petits boulots, débrouille et voyages, il a connu la pauvreté et la solitude. Mais ayant pu côtoyer, dans sa famille, les "derniers feux de la bourgeoisie classique", il était suffisamment armé intellectuellement pour ne pas assister passivement à son propre déclin et entreprendre, non seulement sa rédemption, mais également la mise en perspective de cette arme de destruction massive, ayant pris conscience, avec Soljenitsyne, qu' "on asservit les peuples plus facilement avec la pornographie qu'avec des miradors".
TitreSociologie du hardeur - Pour une résistance à la pornographie
Auteur DARBOIS (Lounès)
ÉditeurKONTRE KULTURE (EDITIONS)
Date de parution1 janvier 2018
Nb de pages182
EAN 139782367251325
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)17
Largeur (en mm)130
Hauteur (en mm)190
Poids (en Kg)0.20
Critique du libraire
« La pornographie est assurément devenu un des fléaux les plus odieux qui soient aujourd'hui. Elle touche et surtout contamine toutes les couches de la population, provoquant des dégâts considérables, qui peuvent même être parfois irréparables, chez les jeunes générations. Et cette lèpre se répand à grande vitesse sans que le moindre frein, le moindre empêchement y soient mis de la part des responsables publics de la cité, de la part même des dirigeants politiques qui se complaisent dans un silence complice ! Notre ami François Marie Algoud l'avait déjà dénoncé il y a vingt-sept ans (en 1992) dans un livre " tonitruant ", La Marée noire de la pornographie. Un fléau aux origines et aux conséquences mal connues (publié par nos Éditions de Chiré). Il fut assurément un pionnier en ce domaine, mais ne se trouve, hélas, plus de notre monde pour poursuivre ses mises en garde. Grâce à Dieu, ce précurseur a fait des émules. Parmi eux figure Lounès Darbois qui vient de publier un livre accablant contre les malfaiteurs et les pourrisseurs de la jeunesse : Sociologie du hardeur. Pour une résistance à la pornographie, dans lequel il " dresse le constat glaçant de l'ampleur du drame, de la profondeur du mal, la pornographie de masse ayant peu à peu colonisé l'imaginaire occidental, devenant la drogue dure de toujours plus d'individus accrocs à une " virtualité " toxique " (Livr'arbitres, n° 27). Un lecture roborative et stimulante sur un sujet particulièrement délicat à aborder ». Jérôme Seguin, dans Lectures Françaises n° 745 (mai 2019)