Témoignage poignant !
5/5 La Lorraine royaliste
.----. Il y a 40 ans, fin avril 1975, le Sud-Vietnam tombait face à une armée sur équipée, alors
qu'il a été laissé à l'abandon par les Américains. Les troupes sud-vietnamiennes se battent
courageusement jusqu'au bout, jusqu'au dernier jour et même après... Alain Sanders se
souvient, et s'il n'était pas présent à la chute de la capitale, il était présent quelques jours
auparavant à Da-Nang où il a aidé à essayer de sauver les Français présents de la barbarie
communiste.
Témoignage poignant, très bien écrit avec ses tripes, Alain ne nous déçoit pas et nous
aide à nous souvenir des toutes ces populations, de tous ces soldats morts pour notre
liberté.
Livre à acheter, à lire et à diffuser pour le souvenir mais aussi pour l'avenir. [ Signé : Jean Nedischer dans " La Lorraine royaliste ", n° 317, été 2015 ]
Témoin essentiel !
5/5 Le Casoar .
.----. Alain Sanders est un écrivain et un journaliste totalement atypique. Mais il est aussi un
témoin essentiel. Il a vécu les derniers jours du Sud-Vietnam libre, immergé dans
l’immense chaos d’une débâcle totale des forces armées et de la panique des
populations. De Hué à Saigon en passant par Danang (notre ancien Tourane).
Avec son style sans fioriture, l’auteur livre son témoignage. Il est au cœur de l’action et
même plus puisqu’il quitte Danang au dernier moment accroché aux patins d’un
hélicoptère américain.
Ce livre fait le constat de la lâcheté des grandes puissances qui livrent aux rouges toute
l’Indochine. Il rapporte aussi les souffrances des humbles, le désespoir des âmes et les
gestes héroïques désespérés.
Algérie, Vietnam, Irak, Afghanistan, l’histoire n’en finit pas de se répéter... [ Patrick du Reau (65-67) dans " Le Casoar ", n° 219, octobre 2015 ]
Inoubliable Saïgon
3/5 Politique Magazine .
.----. Un petit livre qui se lit, les larmes aux yeux. Pour ceux qui se souviennent et qui ont un
peu de cœur. Notre ami Alain Sanders, journaliste de toujours et donc de Présent,
rapporte des souvenirs qui sont, en fait, de vrais reportages. Adjoint au Centre culturel
français de Danang, il a tout vu et vécu de la prise de Danang par le Vietcong en 1975,
tout su auparavant de la chute de Hué, plus tard vu encore la chute de Saïgon, puis tout
su de la prise de Phnom-Penh.
Enfer, pillage, tueries, abandon des pauvres populations
affolées, enfants, femmes massacrés. Les Américains quittent comme les Français
l'avaient fait, après avoir fait croire... Ainsi, partout dans le monde. Personne pour
dénoncer l'atroce esclavage communiste écrasant ces pays tant aimés par tous ceux qui en
avaient goûté les charmes envoûtants. Les titres de la presse, ignobles comme toujours,
Le Monde en particulier, annonçant la libération de Phnom-Penh et la victoire des
armées communistes ! Honte à jamais. Comme d'avoir livré sciemment à leurs
bourreaux les personnes qui s'étaient réfugiées dans notre ambassade.
Et, à Paris,
pendant ce temps-là, les bourgeois s'amusaient, les Hollande commençaient leur
carrière. L'horreur que subissaient tant d'amis de nos anciennes colonies et de nos si
vieux protectorats n'intéressaient pas les politiciens ni les média français. Merci, Alain,
de nous rappeler... Comme tu nous as rappelé récemment les héros du Mexique
catholique, oubliés par l'Eglise elle-même. Ainsi va le monde. D'un côté les carriéristes
sans souci, de l'autre les petits, livrés sans merci. Un temps viendra où les choses
changeront ; ce sera justice. Enfin ! [ Signé : Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine, n° 141, juin 2015 ]