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Romans - T02 - Northanger Abbey. Mansfield Park. Persuasion. Les Watson. Sanditon

Référence : 35563
2 avis
Date de parution : 7 novembre 1996
Auteur : AUSTEN (Jane)
Éditeur : OMNIBUS (EDITIONS)
EAN 13 : 9782258045415
Nb de pages : 1024
27.00
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Description

"Personne ayant jamais vu Catherine Morland dans son enfance ne l'eût supposée née pour être une héroïne. Sa situation dans l'existence, le caractère de son père et celui de sa mère, sa propre personne et son tempérament, tout s'opposait également à ce qu'elle en fut une un jour".
L'héroïne de Northanger Abey, qui aimait tant les romans - "ces ouvrages où se manifestaient les plus grands talents de l'esprit, où la profonde connaissance de la nature humaine, la plus heureuse peinture de sa complexité, les plus vives effusions d'esprit et d'humour sont livrées au public dans un langage choisi" - nous ouvre ici le monde de Jane Austen et nous entraîne à sa suite dans cet univers créé il y a deux cents ans et dont le charme, la présence, l'actualité ont survécu intacts aux bouleversements de l'Histoire, des modes et des goûts.
Par quel mystère et quelle magie ? Vladimir Nabokov, dans un cours de littérature qu'il donna sur Mansfield Park et qui est reproduit en fin de volume, tente de comprendre ce "quelque chose de merveilleusement génial" qui fait l'enchantement.
Persuasion, le dernier roman de l'auteur, souvent le préféré des admirateurs les plus fervents, et deux œuvres inachevées, Les Watson et Sanditon, complètent cette édition intégrale des romans de Jane Austen.

TitreRomans - T02 - Northanger Abbey. Mansfield Park. Persuasion. Les Watson. Sanditon
Auteur AUSTEN (Jane)
ÉditeurOMNIBUS (EDITIONS)
Date de parution7 novembre 1996
Nb de pages1024
EAN 139782258045415
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)36
Largeur (en mm)131
Hauteur (en mm)199
Poids (en Kg)0.74
Critique du libraire
Northanger Abbey. Mansfield Park. Persuasion. Les Watson. Sanditon.
Les avis clients
Persuasion : Ce dernier roman est un des plus accomplis !
5/5 https://leslivresdantoine.com/
.----. Anne Elliot « avait été une très jolie fille, mais son éclat s’était évanoui de bonne heure ». Il y a une raison à cela. Amoureuse d’un officier de marine désargenté mais sûr de son avenir, elle s’est laissée « persuader » de ne pas l’épouser. Sa mère est morte, son père affligeant (« La vanité était le commencement et la fin du caractère de Sir Walter Elliot. ») et ses deux sœurs « de valeur bien inférieure ». Elle s’en était remise au jugement de Lady Russel, qui fut une grande amie de sa mère. Consciente de la valeur morale et intellectuelle d’Anne, elle jugea qu’un meilleur mariage serait un jour possible. Huit années ont passé et, à 29 ans, Anne cache sa mélancolie par un comportement gai, irréprochable et dévoué à une famille peu aimante. La vie se passe au château, entre petites mondanités et souci d’argent liés à la mauvaise gestion paternelle. La situation devient critique, il faut louer le château et s’installer à Bath dans des conditions plus modestes mais dans une ville très bien fréquentée. C’est alors que l’ancien fiancé revient. Le capitaine Wentworth a fort bien réussi mais regarde Anne avec rancœur. La jeune femme s’efforce d’oublier ses sentiments. Puis un cousin arrive, Sir William Elliot, le futur héritier du château. Il est riche, d’une exquise politesse et fait une cour pleine d’à propos à Anne. Lady Russel verrait ce mariage d’un bon œil. Un troisième homme semble également s’immiscer dans la vie de la jeune femme, le capitaine Benwick. Officier de marine également, il apprend la mort de sa fiancée au retour d’un long voyage. Inconsolable, il trouve en Anne une oreille attentive et passe de longs moments avec elle à parler de la souffrance. La station balnéaire bruisse de rumeurs Ce dernier roman de Jane Austen (sa parution fut posthume) est un des plus accomplis. La peinture sociale qui lui est si chère alterne avec bonheur entre sensibilité et ironie mordante : « Ce n’était qu’une soirée de jeu, où se côtoyaient des gens qui ne s’étaient jamais vus et des gens qui ne se voyaient que trop…une réunion banale, trop nombreuse pour être intime, trop restreinte pour être variée. » Les personnages sont toujours campés en quelques traits précis, puis leur comportement, amoureux ou social, décrit avec beaucoup de finesse et de profondeur. Il faut savourer au calme les romans de Jane Austen car chaque phrase compte. Le cinéma s’est un peu trop emparé de son œuvre et lui fait souvent perdre une partie de sa subtilité. Comme pour Le Guépard, Autant en Emporte le Vent ou Le Docteur Jivago, un retour à la source s’impose. [ Signé Antoine de Lacoste le 06/09/2020 ]
Complément :
5/5 XXXXX.
La notice publiée sur le tome un porte sur les deux ouvrages .