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René Bousquet face à l´acharnement

Référence : 55230
1 avis
Auteur : CAZAUX (Yves)
EAN 13 : 00106003
9.50
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Description
Cri d'indignation devant l'acharnement qui conduisit à l'assassinat de René Bousquet autant que défense de celui-ci, ce livre dénonce sans fard de flagrantes impostures et rectifie de graves iniquités. L'auteur est un résistant aux mérites indiscutables et un témoin devenu historien : il ne saurait donc être suspecté de sympathie envers le régime de Vichy, ni a fortiori de complaisance pour la Collaboration. Avec courage et lucidité, documents et références à l'appui, Yves Cazaux relève les calomnies et les mensonges dont René Bousquet finit par être la vitime. Plus largement, cet ouvrage rappelle aux lecteurs d'aujourd'hui ce que fut l'Occupation, la difficulté qu'il y eut à vivre alors entre une patrie outragée et la réaction pétainiste, entre les multiples factions de la Collaboration et les différents groupes de la Résistance ; bref, à rester un homme d'honneur dans ces années de deuil et d'agonie. Article d'occasion, vendu dans la limite des stocks disponibles.
TitreRené Bousquet face à l´acharnement
Auteur CAZAUX (Yves)
ÉditeurJEAN PICOLLEC (EDITIONS)
EAN 1300106003
Poids (en Kg)0.30
Critique du libraire
Ed. Picollec, 1995 - 14 x 21 - 352 p. dont environ 80 p. de documents. L´auteur, résistant, fut également préfet (notamment de la Nièvre), fut Président de la Société des Gens de lettres de France et Président de la Société de l'Histoire de France . . Couverture rayée, salie et défraîchie.
Les avis clients
La France paiera !
5/5 Lucie-Olivier Glaenzer.
.----. Quelques réflexions jetées au crayon en marge, au fur et à mesure de la lecture de ce livre écrit par Monsieur Yves Cazaux. Il en ressort que la Première Partie, comme l'Introduction, m'ont fait bondir. Il n'y aurait que les Résistants, de tout bord, communistes, gauchistes, gaullistes, arrivistes d'outre-Atlantique, d'outre-Manche, soviétophiles et qui seraient "patriotes" parce que anti-allemand ? Il faut approfondir l'Histoire, remonter dans le temps, les yeux grands ouverts et les facultés cérébrales réceptives. Il faut même avoir vécu l'Histoire et l'avoir subie, par soi-même ou par ses parents et amis. Je ne suis pas démocrate. Je suis catholique de tradition et pratiquante avec une Foi que rien ne peut troubler. J'aime mon pays et regrette la brillante France que j'ai connue ; l'Empire Français rayonnant, bienfaisant. Et je ne peux que haïr ceux qui nous ont laissé un simple hexagone déchiré par des demandes d'indépendance des campagnes et des villes ; des îles proches ou lointaines qui se croient libres par le bulletin de vote, la loi du nombre. Clovis, Saint-Louis, Jeanne d'Arc où êtes-vous ? Je vagabonde. La France c'est 1789 ! Eh bien ! Je ne l'accepte pas . Je veux retrouver pour mon pays la grandeur, la justice, la beauté. Je veux une France forte alliée à une Allemagne forte. Nous sommes voisins et nous nous complétons. Tout ceci pour vous dire, Monsieur Cazaux, que des vrais Français il y en avait aussi et beaucoup dans la France du Maréchal Pétain. Alors ne salissez pas Vichy. Nous lui devons notre survie. Ne restons pas dans le sillage de ceux qui n'accepteront jamais ce bloc. Je suis d'accord avec vous en ce qui concerne René Bousquet . C'était à sa façon un excellent français. Son assassinat reste pour moi un mystère. Qui l'a assassiné ? Sur ordre de qui ? Une vengeance de milicien ? NON. Une vengeance des juifs , Pourquoi ? Puisqu'elle se traduit devant les tribunaux - alors qu'il était de leur bord. Je pense que l'acharnement en "justice" était un moyen dilatoire pour arriver in fine à faire admettre que : "La France paiera". Il faut bien "inonder" Israël puisque l'Allemagne ne paie plus. [ 7 mai 1996 ]