Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

Reconquérir le sacré

Référence : 128567
3 avis
Date de parution : 8 mars 2023
Auteur : MABROUK (Sonia)
EAN 13 : 9791032924518
Nb de pages : 144
19.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 1 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
Entre témoignage intime et pamphlet sur nos sociétés désenchantées, le nouveau livre de Sonia Mabrouk invite le lecteur à s'ouvrir pleinement au monde, et à ne plus refuser ce qu'il ne comprend pas.
"Ma conversion au sacré s'est faite en plusieurs étapes. Ce ne fut pas une révélation brutale et soudaine ; plutôt une succession de moments à la fois intimes et universels, un cheminement dans le temps vers des fragments de sacré, une compréhension de quelque chose qui nous précède et qui nous suit, qui en tout cas nous dépasse.
Je dirais aussi que, dans mon cas, j'ai reçu le sacré comme on reçoit la foi. A un moment précis, le sacré a fini par s'imposer dans mon existence. Etait-ce le fruit du hasard, ou était-ce un événement déjà inscrit en moi ? Impossible à dire. Une chose est sûre : la vie s'en est mêlée, et depuis, tout a changé."  
Journaliste politique, Sonia Mabrouk est l'auteur de plusieurs essais, dont Douce France, où est (passé) ton bon sens ?, et Insoumission française.
TitreReconquérir le sacré
Auteur MABROUK (Sonia)
ÉditeurL'OBSERVATOIRE (EDITIONS)
Date de parution8 mars 2023
Nb de pages144
EAN 139791032924518
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)13
Largeur (en mm)132
Hauteur (en mm)198
Poids (en Kg)0.17
Critique du libraire
"Je l'ai lu avec un immense bonheur. Elle nous livre ici un livre magnifique, qui prend à la fois la forme d'une méditation tout à la fois philosophique et existentielle. Il en annonce, j'en suis certain, plusieurs autres." (Mathieu Bock-Côté)
Les avis clients
Place à l’intériorité !
5/5 https://www.bvoltaire.fr/
.----. Le sujet était inattendu. Beaucoup connaissent la journaliste Sonia Mabrouk qui officie sur CNews et Europe 1. En publiant Reconquérir le sacré (Éditions de l’Observatoire), Sonia Mabrouk nous réinvite, dans un monde rongé par le matérialisme et l’obsession du contrôle, à laisser davantage de place à l’intériorité. De la cathédrale Saint-Louis de Tunis aux souvenirs d’enfance, la journaliste interroge sur ce que nous sommes et ce dont nous avons besoin. [ Signé : Marc Eynaud le 8 avril 2023 ] P.S. : BOULEVARD VOLTAIRE c'est : œuvrer, petit à petit, à restaurer le vrai débat d'idées qui manque tant dans notre pays ; Donner la parole aux experts ou aux personnalités militantes qui s'opposent à la pensée unique et sont bannis des plateaux télé ou des émissions de radio ; Maintenir un espace de liberté d'expression et d'opinion, sur Internet, qui échappe à la censure du « médiatiquement correct » ; Continuer à diffuser sans relâche l'information alternative qu'on ne trouve pas dans les grands médias.
Contre nos sociétés modernes !
4/5 https://lincorrect.org/
.----. Sonia Mabrouk par Mathieu Bock-Côté Avec Reconquérir le sacré (L’Observatoire), Sonia Mabrouk livre une réflexion surprenante entre quête intime et pamphlet contre nos sociétés modernes. Mathieu Bock-Côté, ami de la journaliste et co-intervieweur le dimanche dans Le Grand Rendez-vous (CNews/Europe1) l’a lu. Verdict. J’étais très heureux qu’Arthur de Watrigant me demande de faire un petit portrait de Sonia Mabrouk pour L’Incorrect. Tous ceux qui me connaissent savent l’estime que j’ai pour elle, l’amitié, aussi, si je puis me permettre cette confession. Arthur a pris la peine d’ajouter : « Je ne te demande pas une chronique sur son livre, Reconquérir le sacré, je sais que tu la réserves pour le Figaro. Je veux que tu nous en dises un peu plus, toutefois, sur ce qui l’a conduit vers ce thème, le sacré. » Ce qui me convenait parfaitement. Certains se sont étonnés, peut-être, de la voir l’embrasser.Sur les réseaux sociaux, les débiles habituels et les mondains « républicains » s’en sont offusqués, d’ailleurs. Ils voient le sacré comme un résidu appartenant aux périodes antérieures de l’humanité, dont l’émancipation moderne devrait nous délivrer. Ou alors, comme le font les sociologues, ils voient le sacré comme le simple résultat d’un processus de sacralisation qui peut se porter sur n’importe quel objet. C’est ce qu’on appellera le sacré des modernes. Mais ils n’ont pas l’idée d’y voir un substrat, une réalité ayant sa consistance propre, le sacré d’Eliade et de Caillois, autrement dit, que l’homme cherche ensuite à capter et à ritualiser, à travers le travail des religions, mais aussi des idéologies, qui tendent toutefois à le falsifier. C’est pourtant ce sacré là que recherche Sonia Mabrouk, et cela, depuis son premier livre. D’abord lors de ses conversations avec sa grand-mère, Le monde ne tourne pas rond ma petite-fille. Mais plus encore dans son très beau roman Dans son cœur sommeille la vengeance, où la quête de rédemption du personnage principal croisait une quête spirituelle culminant à la dernière page dans ce que je n’ose appeler une conversion. Car la conversion relève de l’intimité des âmes, à tout le moins dans le monde chrétien. Mais il y avait néanmoins dans ce roman le portrait d’une conversion au noyau spirituel de l’Occident. On pourrait dire les choses autrement : nous savons assez spontanément ce contre quoi nous nous battons dans l’espace public, mais plus rarement sommes-nous capables de nommer ce qui nous pousse vers les barricades. Certes, il y a le bon sens, auquel Sonia a déjà consacré un ouvrage piquant. Mais le sens commun finit par s’effondrer s’il ne tient pas sur autre chose que lui-même. Sonia Mabrouk ose ainsi nous rappeler qu’au cœur d’une civilisation, on ne trouve pas qu’une règle de droit ou des principes universels, mais un être-au-monde, une transcendance qu’aucune culture ne saurait renier sans se dessécher. Autrement dit, une conception du sacré qui féconde la vie. Elle ne me l’a pas dit, mais je suis persuadé qu’elle n’est jamais aussi heureuse que lorsqu’elle prend la plume Qu’on me permette maintenant quelques mots sur Sonia. C’est, je crois, la meilleure intervieweuse à œuvrer au cœur de l’espace public français. Les politiques aiment se présenter à son micro alors qu’elle ne leur fait pas de cadeau, et sait les pousser élégamment au cœur de leurs contradictions. Mais elle leur offre la possibilité d’aller au fond des choses. De ne pas se contenter de surfer sur l’actualité du jour, à travers les formules convenues engendrées par une société médiatique qui appauvrit le domaine de la pensée. Elle leur permet de dire le fond de leur pensée, s’ils en ont une. Elle n’est toutefois jamais aussi heureuse que lorsqu’elle interviewe un grand intellectuel. Sonia est une (remarquable) journaliste de profession et une intellectuelle de vocation. Ce qui nous ramène à son livre. Elle ne me l’a pas dit, mais je suis persuadé qu’elle n’est jamais aussi heureuse que lorsqu’elle prend la plume. Elle se place alors sur une autre tonalité. Je me permettrai même de faire de la psycho de comptoir en disant que c’est alors qu’elle peut pleinement devenir celle qu’elle veut être. Ce livre joue un rôle très particulier dans son parcours, et cela, pas seulement à cause des pages très personnelles qu’on y trouve à propos de sa mère, qui prennent au ventre, qui frappent au cœur. C’est le livre où elle fait le pari d’aller jusqu’au bout de sa vocation, de l’assumer, en quelque sorte. Je l’ai lu avec un immense bonheur. Elle nous livre ici un livre magnifique, qui prend à la fois la forme d’une méditation tout à la fois philosophique et existentielle. Il en annonce, j’en suis certain, plusieurs autres. [ Signé : Mathieu Bock-Côté et publié le 15 mars 2023] P.S. : L'Incorrect est un magazine mensuel français dont le positionnement se situe entre la droite et l'extrême-droite, fondé par Jacques de Guillebon, Laurent Meeschaert, Benoit Dumoulin et Arthur de Watrigant. (Wikipédia)
Ennemi public numéro 1
4/5 https://www.medias-presse.info/
.----. Pour avoir osé défendre le sacré, la tradition et les valeurs chrétiennes qui ont forgé la France, pour avoir osé dénoncer l'attitude déconstructiviste des écologistes radicaux et pour avoir osé réclamer une investigation sur le service public, Sonia Mabrouk est devenue, en quelques minutes, l'ennemi public numéro 1 de l'extrême gauche et de la bien-pensance des médias mainstream. Notre consœur, Clémence de LONGRAYE, journaliste à Boulevard Voltaire, déclare qu'aucun d'eux ne supporte qu'une journaliste d'origine tunisienne aime la France et la défende. Pire encore, il est intolérable pour cette extrême gauche qu'une femme musulmane loue la beauté de la cathédrale Saint-Louis de Carthage en terre d'islam, s'inquiète de la disparation des chrétiens d'Orient et appelle à préserver la messe en latin. À contre-courant de leur logiciel, ces militants déconstructivistes ne parviennent pas à comprendre l'importance d'une « reconquête du sacré ». Invitée de l'émission « Quelle époque ! » (France 2) pour présenter son dernier essai Reconquérir le sacré (L'Observatoire), la journaliste de CNews et Europe 1 a été bousculée par Léa Salamé et sa collègue Élise Lucet. Dans la foulée, sur les réseaux sociaux, elle est devenue la cible des critiques et insultes de l'extrême gauche. D'un côté, il y a ceux qui lui reprochent d'avoir « trahi les siens ». Parce que née en Tunisie et de confession musulmane, Sonia Mabrouk devrait, non pas s'intégrer et aimer la France, mais entretenir une attitude victimaire. À cette première critique qui frôle le racisme identitaire s'ajoute une autre attaque, portée cette fois-ci, en creux, contre son employeur. « Speakerine de Bolloré », « propagandiste », « journaliste d'extrême droite ». Ils sont nombreux à lui reprocher de travailler pour des chaînes et stations du groupe Vivendi, propriété de la famille Bolloré. Ainsi, alors que Sonia Mabrouk conseille à Élise Lucet, à la tête de « Cash Investigation », d'enquêter sur France Télévisions, Julien Pain, fact-checkeur pour France Info, ironise : « Quand une journaliste travaillant pour une chaîne du groupe Bolloré réclame plus d'investigation, c'est assez savoureux. » Et son confrère de Mediapart, Ilyes Ramdani, de compléter : « Deux façons de faire du journalisme : l'investigation et le bavardage. Comme si un saint-nectaire AOP causait fromage avec La Vache qui rit. » Derrière la comparaison fromagère, on déduit, sans trop de difficultés, que le « bavardage » et « La Vache qui rit » renvoient directement à Sonia Mabrouk. Ce panégyrique demande tout de même à être relativisé, car Sonia MABROUK s'entoure cependant d'un ensemble de poncifs de la bien-pensance. Et peut-être pour se protéger aussi de son exposition par trop pour certain réactionnaire, elle n'hésite pas à donner des gages de son attachement à la pensée unique. Mais de voir une journaliste issue de l'immigration musulmane, libérale et il faut le reconnaitre talentueuse, sentir son coeur et son âme attirée par la messe traditionnelle et plus largement la chrétienté, voilà un signe sensible de cette grâce souterraine qui continue d'agir. Le diable peut contrôler la lumière des écrans, Dieu continue d'agir dans le secret du tréfond des coeurs. Sonia Mabrouk ne peut plaire à tous les christianophobes professionnels dont le Service public regorge, surtout quand elle déclare : "Je suis musulmane mais j'adhère pleinement à la civilisation occidentale". Dans un entretien à Causeur.fr, elle ne se cache pas derrière une hypocrisie de bon aloi et répond sans détour et avec clarté à une question difficile : "Quand Michel Houellebecq, dans son dernier roman, parle de soumission, en fait de conversion à l'islam, que lui répondez-vous ?" "Dans mon livre, Amra, l'ex-djihadiste, dit à la journaliste : « Vos églises sont vides. On en arrivera à les récupérer pour les transformer en mosquées, ces mosquées pas assez nombreuses pour nos pratiquants. ». Elle ajoute : « Nous ferons plein d'enfants qui porteront notre religion avec fierté, comme un étendard. » En résumé, elle dit que la civilisation occidentale est foutue." Non, la civilisation chrétienne n'est pas "foutue", si nous refusons qu'elle le soit et si nous acceptons de nous battre pour qu'elle refleurisse et reprenne sa place, la première ! Sources : Boulevard Voltaire / VA TV / Causeur.fr [ Signé : Paul DEROGI le 14 mars 2023 ] P.S. : Médias-Presse-Info est un média original qui vise la vulgarisation de l'information d'une manière délibérément objective, libre et sans concession. Médias-Presse-Info est un site d'information auquel contribuent dans leurs domaines de compétence, des hommes et des femmes de tous horizons et de toutes catégories socio-professionnelles. Dans un marché de l'information toujours plus dense, les atouts sont nombreux.