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Réchauffement climatique - Enquête sur une manipulation mondiale

Référence : 123525
2 avis
Date de parution : 1 juin 2022
Éditeur : PARDES (EDITIONS)
EAN 13 : 9782867145933
Nb de pages : 262
20.00
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Description
Cette enquête implacable sur un scandale mondial, appelé "réchauffement climatique" et dont les hommes seraient responsables, contient des révélations documentées effrayantes.
L'auteur dévoile, l'un après l'autre, les mensonges élaborés pour faire croire à une catastrophe planétaire imminente. Il ne se contente pas d'en tirer les fils, il en explique, comme dans un roman policier, les "clés", c'est-à-dire les mobiles : en agitant des peurs et des angoisses, dont le symbole emblématique est une adolescente suédoise du nom de Greta Thunberg, les responsables de cette manipulation unique en son genre sont progressivement démasqués.
Comme une illustration de ce nouveau monde angoissant, se prépare et s'opère le remplacement des populations enracinées et des peuples millénaires par de nouveaux occupants déplacés, sous le vocable scandaleux et mensonger de "migrants climatiques".
Alban d'Arguin lève le voile sur les organisateurs et les complices de cette grande peur d'une mort imminente et collective, agitée comme un spectre, que ce soit par des organismes internationaux, des organisations non gouvernementales (ONG), ou par l'Église catholique elle-même. 
À la lecture de ce livre, le parallèle entre cette manipulation climatique et celle de l'épidémie de grippe de Wu Huan de 2019 (Covid 19) apparaît sans ambiguïté. Partant d'un fait réel, on invente des mesures coercitives et quasi dictatoriales applicables au monde entier. Pour bientôt le confinement climatique, le port du masque anti-CO2, l'interdiction de circuler sans "passeport climatique", etc. ?
Mais, à l'heure ou la folie des hommes conduit à l'ouverture d'un conflit dramatique entre l'Occident et la Russie, le Réchauffement climatique, cette enquête sur une manipulation mondiale, prend une tournure prémonitoire et éclairante. L'auteur y présente toutes les "clés" permettant d'interpréter cette manipulation du climat. Parmi ces dernières, figure le risque d'une guerre géostratégique pour neutraliser les pays détenant aujourd'hui les plus grandes ressources mondiales fossiles (pétrole, gaz et charbon) et les ressources minières, notamment les terres rares indispensables à la dictature numérique. C'est le cas de la Russie, qui voit dans le réchauffement climatique naturel actuel une opportunité d'améliorer les conditions d'exploitation de ses immenses ressources, y compris agricoles.
La guerre déclenchée en février 2022 entre l'Ukraine et la Russie pourrait hélas! être aussi interprétée comme une volonté de faire s'enliser le conflit pour freiner l'expansionnisme économique russe, amoindrir sa souveraineté nationale et, enfin, partager ses richesses entre des intérêts privés apatrides. 
Alban d'Arguin est titulaire d'un DEA de droit public, d'un DEA d'histoire du droit, a poursuvi des études d'actuariat (ISUP Paris). Il a déjà publié Éoliennes : un scandale d'État (éditions Synthèse nationale, 2017), qui a fait de lui l'un des pionniers de la lutte contre les éoliennes en France.
TitreRéchauffement climatique - Enquête sur une manipulation mondiale
Auteur ARGUIN (Alban d')
ÉditeurPARDES (EDITIONS)
Date de parution1 juin 2022
Nb de pages262
EAN 139782867145933
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)15
Largeur (en mm)155
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.40
Critique du libraire
"Son ouvrage, hostile aux prédictions apocalyptiques annoncées par des « prophètes de malheur », aborde les faits d'un point de vue scientifique tout en s'inscrivant explicitement dans une perspective catholique."
Les avis clients
Une manipulation mondiale protéiforme…
5/5 https://www.leforumcatholique.org/
.----. Alban d'Arguin déjà bien connu pour son livre Eoliennes - Un scandale d'Etat et son combat sur le terrain contre les éoliennes s'attaque ici à forte partie ! Réchauffemnt climatique, enquête sur une manipulation mondiale. Homme de conviction, il connait son sujet, expose brillamment arguments et preuves de cette longue et périlleuse enquête. Ce livre démontre implacablement et froidement ce qui apparaît de plus en plus comme une manipulation mondiale protéiforme… Une belle partie du livre concerne l’Eglise, avec des révélations, sourcées, terribles… Une lecture passionnante et aisée : “Pour “exciter la curiosité du lecteur, j’ai choisi une forme qui ressemble à celle d’un roman policier, avec une enquête objective, des pièces versées au dossier, des témoins à charge et à décharge, des complicités, la qualifications des faits criminels, une instruction aboutissant aux quatre faits criminels ce ce qui paraît une incroyable mascarade s’il ne s’agissait pas de l’avenir de la terre et es hommes qui la peuplent aujourd’hui !” ( Alban d’Arguin ) [ Signé Anne-Charlotte LUNDI le 30 août 2022 ] PS : Le Forum a pour vocation la mise en commun de réflexions de Catholiques à la recherche de la Vérité. La participation à ce Forum suppose le respect des fidèles catholiques attachés au missel de 1962..----.
Une manipulation mondiale protéiforme
5/5 https://www.polemia.com/
.----. Alban d’Arguin – qui a notamment publié Éoliennes : un scandale d’État – publie un nouvel essai coup de poing : Réchauffement climatique – Enquête sur une manipulation mondiale. Dans cet ouvrage, Alban d’Arguin s’efforce dans de « démonter rigoureusement, implacablement et froidement ce qui apparaît de plus en plus comme une manipulation mondiale protéiforme », à savoir la thèse largement répandue du réchauffement climatique anthropique (du fait de l’homme). Son ouvrage, hostile aux prédictions apocalyptiques annoncées par des « prophètes de malheur », aborde les faits d’un point de vue scientifique tout en s’inscrivant explicitement dans une perspective catholique. Le climat change depuis la nuit des temps Vers – 75 000 ans, l’éruption d’un volcan en Indonésie actuelle est à l’origine d’un hiver volcanique d’une dizaine d’années, suivi d’un fort refroidissement global durant un millénaire environ. Dans les années – 20 000, la calotte glaciaire septentrionale descend jusqu’au nord de ce qui deviendra Londres, avant de se rétracter vers – 13 000 aux environs de ce qui sera Stockholm et Helsinki. Au début de l’Holocène, vers – 9 000, le climat change brutalement à l’échelle du monde, transformant l’actuelle Angleterre en île et entraînant de multiples conséquences sur la faune et la flore. L’itinéraire de la Terre autour du Soleil est souvent en cause dans ces bouleversements du fait des variations de l’activité magnétique solaire. Une alternance de périodes chaudes et froides durant notre ère Comme le précise l’historien Emmanuel Le Roy Ladurie, « Nous vivons dans un climat stable depuis une dizaine de milliers d’années, mais ce climat est sujet à des fluctuations ». Ces variations de faibles amplitudes connaissent des alternances où une phase de douceur climatique (qualifiée d’« optimum ») peut durer un ou plusieurs siècles. Se succèdent ainsi un optimum entre 1 500 et 1 000 avant J.-C., un petit âge glaciaire modéré de 900 à 400 avant J.-C., un optimum de 200 avant J.-C. à 200 après J.-C., un petit âge glaciaire entre 270 et 600, un petit optimum de 900 à 1300 (les températures y sont plus élevées qu’à notre époque : au Xe siècle, les Vikings découvrent un paysage couvert de pâturages au Groenland), un petit âge glaciaire entre 1300 et 1860 (surtout au XIVe siècle). Depuis cent soixante-dix ans, le climat se réchauffe, marqué par le recul des glaciers alpins. Ce petit optimum contemporain est émaillé de périodes chaudes et froides. En France, les hivers 1879 (- 33° le 10 décembre à Langres), 1956 et 1969 sont particulièrement froids, tandis que les étés sont torrides en 1893, 1911 (38° à Bordeaux et à Lyon alors qu’il a neigé début avril à Perpignan), 1914, 1933 (plus de 40° à Poitiers), 1976 (l’armée intervient pour aider les agriculteurs), 2003 (avec son cortège de funérailles) et 2022 (ce que l’auteur ignorait au moment de la rédaction de l’ouvrage). Des données controversées voire carrément manipulées ! Un physicien américain, Richard Lindzen, dénonce l’alarmisme en matière de réchauffement climatique et critique les pressions politiques exercées sur les climatologues pour les conformer à ce qu’il appelle « l’alarmisme climatique » : « Quand je parle à un auditoire de non-experts (…), quelles que soient les preuves avancées selon lesquelles il ne s’agit pas d’une catastrophe (…), on me demande comment c’est possible puisque 97 % des scientifiques sont d’accord (…), puisque toutes sortes d’événements météorologiques extrêmes sont devenus plus fréquents, puisque les ours blancs sont en voie de disparition, tout comme la banquise arctique, etc. (…). J’étais moi-même plutôt surpris que l’on puisse admettre ces affirmations sans fondement réel et parfois même tout à fait malhonnêtes. » Pour l’anecdote, la célèbre photo du malheureux ours blanc « dérivant » sur un « petit glaçon » de banquise relève, selon tous les spécialistes, d’un montage photographique, sans parler du fait que l’ours polaire peut nager sur de très longues distances. En accord avec cette conception « climatosceptique » de l’éminent physicien, Alban d’Arguin se livre à une critique argumentée des affirmations émises par le scientifique américain Robert Kandel (auteur d’un « Que sais-je » sur le « Réchauffement climatique »), dont les démonstrations s’appuient sur des courbes qui « mélangent joyeusement des “estimations” non scientifiques et dont les sources ne sont même pas établies, à des données plus récentes, supposées recueillies rigoureusement ». La controverse se poursuit contre le professeur américain Michael Mann, qui affirme avoir illustré le lien entre les activités humaines et le climat par le biais du fameux graphique en forme de « crosse de hockey » issu du traitement de données paléoclimatiques et d’enregistrements thermométriques. Selon le Suisse Jean-Claude Pont, mathématicien et historien des sciences : « Mann s’est bel et bien livré à des manipulations que la morale statistique réprouve. » ! Par ailleurs, des falsifications scandaleuses sont avérées au sein du GIEC, qui n’est pas un groupe d’experts contrairement à ce que laisse à penser la traduction française de cet acronyme, mais un organisme supranational de nature politique qui recueille et sélectionne des contributions scientifiques. En 1995, des chercheurs ont ainsi découvert avec surprise que la rédaction finale de leur rapport indiquait que le réchauffement climatique global « constaté » par le GIEC était d’origine humaine. En revanche, quelques années après cette manipulation, une pétition dite « Oregon Petition » recueillant 31 000 signatures de scientifiques, dont 30 % de docteurs ès sciences, contestait fermement la thèse anthropique. C’est la faute au réchauffement ! Les politiques publiques sont de plus en plus orientées vers des dépenses considérables pour lutter contre la croissance de CO2, alors que celles-ci n’ont quasiment pas d’effets si ce n’est sur le gaspillage considérable d’argent de la collectivité. Aucun grand chef d’entreprise, ni aucun conseil d’administration, ne pourraient prendre le risque d’émettre une quelconque réserve sur cette question, d’autant que les normes internationales et européennes promeuvent des indicateurs de suivi de la « décarbonisation ». En majeure partie, les efforts environnementaux des entreprises se réduisent pourtant à une série d’actions de marketing et d’images. Critiquer publiquement ces politiques, abondamment relayées de façon anxiogène par les médias, coûte très cher. En 2015, Philippe Verdier, animateur de télévision spécialisé en météorologie et climatologie, a été mis à pied par France 2 après la parution de son livre « Climat Investigation » (Éditions Ring), qui dénonçait les liens entre scientifiques, politiques, lobbies économiques et ONG environnementales en vue de promouvoir une « machine de guerre destinée à nous maintenir dans la peur ». Les incendies de forêt, par exemple, sont nécessairement présentés par les médias comme la conséquence du réchauffement climatique, en omettant le plus souvent leurs origines réelles : actes criminels, imprudences, urbanisation croissante proche des forêts, déforestation sauvage, remplacement du pin par l’eucalyptus, etc. Les buts réels de la manipulation climatique Dès les années 1960, les médias ont diffusé largement les rapports alarmants du Club de Rome. Par la suite, l’action des ONG, dont les financements sont peu contrôlables et la réelle gouvernance opaque, a largement été favorisée par l’ONU qui leur a assuré une légitimité internationale. Cette manipulation gigantesque trouve son origine dans une lutte mondiale pour l’approvisionnement énergétique, en lien direct avec la souveraineté des États. La « guerre climatique » engagée sous la tutelle de l’ONU et sous l’influence américaine (hors la parenthèse Trump) a pour but de renforcer la mondialisation et l’interdépendance des États pour mieux maîtriser les échanges d’un « libre » marché planétaire. Tout en préservant les intérêts énergétiques des États-Unis, l’objectif recherché consiste notamment à désorganiser les modèles énergétiques des pays concurrents, même s’ils sont réputés alliés, afin de les rendre vulnérables. La France, où les factures ont augmenté en moyenne de 45 % en moins de dix ans à cause des taxes prélevées pour financer les consortiums éoliens et solaires, subit une pression continue pour le démantèlement complet de son modèle énergétique. Dans cette logique, la Commission européenne cherche à ce que nous vendions nos activités hydroélectriques à des intérêts privés. Pendant ce temps, les États-Unis exploitent tranquillement leurs ressources pétrolières et leur gaz de schiste. De son côté, Vladimir Poutine a ouvertement exprimé sa sympathie pour le réchauffement climatique, considéré comme susceptible d’entraîner des effets bénéfiques pour son pays. Arguant de ce qui est présenté comme un danger mondial, les tenants et les dupes de cette manipulation affirment la nécessité d’une prise de décision par des cercles mondialistes et des experts. L’auteur souligne que ce qui est en jeu, « c’est la prise en mains des destinées du monde, à l’insu des peuples, par une poignée d’hommes travaillant pour une dictature mondiale qui se prétendra une démocratie universelle (…) » et qui « s’appropriera les richesses et les sources d’énergie mondiales ». Les instances internationales soutiennent également la création du premier impôt mondial levé sous l’égide de l’ONU sous la forme d’une « taxe carbone ». Une religion planétaire : l’écologisme Après l’effondrement du communisme et le déclin de l’Église en Europe, cette pseudo-religion à vocation universelle a tout pour séduire les ex-marxistes et les nouveaux prêtres mondialistes, d’autant qu’elle croise opportunément la préoccupation légitime de la préservation de l’environnement dans les pays occidentaux. Au-delà d’une nouvelle idéologie matérialiste, Alban d’Arguin n’hésite pas à affirmer l’existence d’un « plan mondial de subversion » dont même le pape, devenu de fait « l’aumônier des Nations Unies », est partie prenante. Le Saint-Père parle ainsi de l’obligation de recevoir les « migrant-s climatiques » dont le nombre, selon l’ONU, devrait s’élever à un milliard d’ici 2050 ! [ Signé : Johan Hardoy le 15/08/2022 ] PS : Pourquoi Polémia ? Parce que dans un monde en proie au chaos et de plus en plus dominé par le choc des civilisations, il faut avoir le courage de déceler les nouvelles lignes de fracture et de discerner les conflits à venir pour mieux les prévenir.