Récemment, le cardinal allemand Hoffner disait :
"Dans le monde d'aujourd'hui, l'influence des hommes dans les positions clés de la presse, de la radio et de la télévision est dans un e large mesure supérieure au pouvoir des parlements. Quelques milliers de ces faiseurs d'opinions décident de ce qui doit être imprimé, programmé. En République fédérale (et dans le monde, Ndlr), soir après soir, 50 millions de personnes s'installent devant leur télévision pour regarder ce que deux cents privilégiés ont choisi pour elles. Ainsi est créée une conformité de pensée sans exemple dans l'histoire."
Cette force extraordinaire, créatrice des courants d'idées parmi les peuples, un groupe d'hommes, plus connus sous la dénomination de "magnats de la finance internationale", en ont saisi très vite toute l'importance et ont organisé cette force à leur profit.
Nous n'irons peut-être pas aussi loin que Frank Sinatra qui disait : "Les journaux ne servent qu'à envelopper le poisson, tapisser le fond de la cage du perroquet ou empêcher le chien de crotter le vestibule", mais nous n'hésiterons pas, après cette étude, à écrire que les trois quarts des journalistes sont une maj orité de petites fripouilles au service d'une minorité de grandes crapules.
Peut-être qu'après avoir lu ce dossier consacré à la Presse, certains liront leur journal quotidien avec un autre esprit, car celle-ci, qui devrait être créatrice de courants d'idées parmi les peuples, a été détournée de cette fonction et ne sert plus de nos jours - sous le fallacieux prétexte de "courant d'opinion" - qu'à exciter et à monter les individus les uns contre les autres, ceci pour le plus grand profit de la Haute finance internationale apatride.
Combien se vérifie alors cette parole d'Isaac Crémieux, président de l'Alliance Israélite Universelle et haut franc-maçon du Rite Ecossais : "Comptez l'argent pour rien, comptez les honneurs pour rien, comptez tout pour rien ; si vous avez la presse vous aurez tout le reste."