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Petit dictionnaire des idées mal reçues

Référence : 18401
1 avis
Date de parution : 25 septembre 2007
EAN 13 : 9782916727165
Nb de pages : 180
20.50
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Description
Pour fustiger le prêt à penser contemporain, voici un catalogue "anti-bobo" des idées mal reçues. Avec le sens aigu de la formule chic et choc, et le beau style qui le caractérise, Ghislain de Diesbach, en héritier de Voltaire autant que de Rivarol, nous invite à cueillir les fruits acidulés de son jardin des lettres. De A comme... Abrutissement, Amour ou Aide Humanitaire à Z comme... Zidane, Zen, ZAC ou Zone d'animation, il ravive la flamme de l'esprit critique et du bon goût, celui de l'esprit français.  

Historien renommé, biographe et essayiste, l'auteur a publié une vingtaine d'ouvrages parmi lesquels Une éducation manquée (Perrin, 2006). Grand prix de la biographie de l'Académie française pour son Proust en 1992, il signe ici son premier dictionnaire de gentilhomme excentrique à contre-courant. 
TitrePetit dictionnaire des idées mal reçues
Auteur DIESBACH (Ghislain de)
ÉditeurVIA ROMANA (EDITIONS)
Date de parution25 septembre 2007
Nb de pages180
EAN 139782916727165
PrésentationBroché
Largeur (en mm)160
Hauteur (en mm)240
Poids (en Kg)0.10
Les avis clients
" Ridicule, dit-il, ne tue plus "
5/5 Politique magazine
.----. C’est un plaisir. Il est bon à prendre. Diesbach, l’historien tout en finesse, le biographe distingué, nuancé et subtil, se révèle en fait – ce que l’on savait – un bretteur et qui connaît son monde. Il a la plume qu’il faut pour ferrailler contre toutes les sottises qui font vivre tous les sots de notre temps, les sots savants et les sots ignorants, les premiers étant, comme le remarquait déjà Molière, plus sots que les seconds. L’escrime est aussi rapide qu’élégante et il allonge la botte toujours au bon endroit. C’est qu’il convient de faire vite pour pointer toutes les sottises de A à Z qui prospèrent dans l’univers mental et moral de notre lourde, vilaine et inculte République. Diesbach comme tous les bons esprits qui ont de l’esprit – ce qui devient rare –, n’est pas républicain pour un sou. Incompatibilité d’humeur ! Tout ce fatras d’idées qui encombre la société française, excite son ironie comme il y a deux cents ans déjà ce même fatras excitait la verve d’un Rivarol ou d’un Mirabeau-Tonneau. Hélas, le ridicule ne tue plus chez le peuple qui se vantait d’être le plus spirituel de la terre. « Ridicule, dit-il, ne tue plus, et depuis longtemps, car sans cela le pays serait singulièrement dépeuplé. » Cependant comment rester dupe de cette société dite démocratique qui accumule tous les vices en les ornant des plus hypocrites privilèges ? Il est temps d’arracher les masques. Diesbach s’en donne à cœur joie. Et nous, avec lui ! [ Signé : H. de C. dans Politique magazine, n° 56, octobre 2007 [