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N°389/390 Juil/Août 2009 - Le règne des Pharisiens les pseudo-catholiques

Référence : 65062
Date de parution : 1 juillet 2009
EAN 13 : 00111090
Nb de pages : 40
3.50
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Description
SOMMAIRE
Le règne des Pharisiens : les pseudo-catholiques, par le R.P. G.G
- Les agents de la contre-Eglise
- Un catholicisme hybride et libéral
- Le Moyen-Age : "Une chrétienté infantile" ?
- Un processus de manipulation mentale
- Les utopies des "se-croyant catholiques"
- Une manoeuvre de diversion
- Un catholicisme affadi par l'esprit libéral
- Le ralliement à la révolution
- Trois laboratoires d'expérimentation (Le libéralisme américain, le collectivisme soviétique, la sociale démocratie européenne)
- Conclusion : un orgueil aveuglant
On a enlevé le Grand Chance lier de la Lég ion d'Honneur, par Claude Mouton-Raimbault
- Les aveux des ravisseurs
- La légitimité
- Qui était le général Charles Brécard ?
- L'Arrêt du Conseil d'Etat
- Désinformation et silence
TitreN°389/390 Juil/Août 2009 - Le règne des Pharisiens les pseudo-catholiques
Auteur LECTURE ET TRADITION
ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution1 juillet 2009
Nb de pages40
EAN 1300111090
Épaisseur (en mm)3
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.06
Critique du libraire
Le règne des Pharisiens : les pseudo-catholiques En ouvrant les yeux sur le spectacle du monde, il n'est ni bon de n'y relever que les désordres, les insuffisances, les plaies, les injustices, etc., ni recommandé de n'en retenir que les beaux et bons aspects. La première disposition d'esprit, à conditionnement pessimiste, engendre la tristesse, l'indignation et le désespoir. La seconde, à conditionnement optimiste, conduit à l'échec dans les décisions à prendre par irréalisme béat. Ni l'une, ni l'autre ne répondent à l'exigence de tout savoir requis pour assurer et justifier de saines et fécondes démarches : l'observation attentive du réel et de toutes ses composantes. Or, ce qui cause les omissions que commettent les deux dispositions (prédispositions, devrions-nous dire), c'est l'intervention de la volonté dans le processus naturel de l'intelligence. Ce qui contrarie, ou gêne, ou déplaît, etc. est soustrait à l'enregistrement. On ne voit plus ce qui est bon, on s'aveugle volontairement sur ce qui n'est pas agréé. On ne respecte plus l'exercice naturel de l'intellect. On y tripote. On y mutile, ou bien on y ajoute même et parfois jusqu'à se persuader qu'on y a vu telle ou telle chose, alors qu'elles n'y étaient pas. Les agents de la contre-église Ce volontarisme, corrupteur de la connaissance, n'est pas nouveau. Luther l'a pratiqué. Il l'a même qualifié de "foi". Ce qui n'est plus la Foi, don surnaturel. Il s'agit d'une construction de l'esprit qui s'auto-persuade. Or, cette presque autosuggestion ne parvient pas à convaincre l'esprit et lorsque celui-ci perçoit cette absence d'évidence, il trébuche, doute et tombe dans le désespoir, lequel conduit, soit à l'effondrement, soit à la révolte. Notre propos, ici, se limitera - si nous en sommes capables - à mettre en évidence les pseudo-catholiques.(...)