N°285 Nov 2000 - XXXèmes Journées Chouannes samedi 2 septembre

Foi et patrie, les deux piliers de l'espérance Il y a quelques jours, dans un super-marché Leclerc, un de mes amis a découvert une bande dessinée intitulée "666", mélangée parmi les autres titres du rayon de livres pour enfants. Cette bande dessinée est constituée de six albums qui contiennent blasphèmes, pornographie, enseignement des vices, charges contre l'Eglise et son histoire, critiques infâmes contre le pape (il est d'ailleurs très frappant de constater que le portrait du Souverain Pontife représenté dans ces dessins ressemble à celui de saint Pie X) . Les violences sont extrêmes, l'ignominie sans nom, les propos prononcés par une petite fille sont effarants. Il faut donc ne pas se voiler la face : le satanisme est actuellement en pleine expansion. Il est aussi caractéristique de constater que dans cette BD apparaissent les noms de trois sociétés multinationales très connues. La conclusion qui ressort de ces volumes c'est que l'ordre ancien doit être remplacé par l'ordre nouveau, celui de Lilith, la fille de Lucifer, cette femme qui se manifeste par des vices dans une luxure débridée. Le satanisme fait bon ménage avec la pornographie. Parallèlement à ceci, viennent de paraître également sept autres albums sous le titre Le Triangle secret, réalisés par un scénariste franc-maçon affiché. Voici le résumé et la conclusion de cette série : Jésus n'est pas mort sur la Croix, mais est à l'origine de la première loge maçonnique ! Les "crimes" commis par l'Eglise à l'encontre des hérésies en tous genres visent à défendre ces secrets de l'Eglise et les francs-maçons sont les véritables héritiers du Christ ! Parallèlement, s'est tenu il y a quelques jours à Avignon, un colloque de la Libre Pensée sur le thème : "Non, Jésus-Christ n'a pas existé". Avec ce commentaire : "Contre 2000 ans d'obscurantisme et de réaction, la Pensée libre, une chance pour l'humanité". Si le satanisme existe de tout temps, il ne s'est jamais aussi ouvertement manifesté qu'actuellement. (...) François Marie Algoud.