Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

N°253 Mars 1998 - Deux prélats condamnent très sévèrement la révolution de 1789

Référence : 64948
Date de parution : 1 mars 1998
EAN 13 : 00003725
Nb de pages : 28
3.50
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 2 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
SOMMAIRE
- Editorial : Lettre ouverte à Michel Benoist, président du Secours Catholique, par François Marie Algoud.
- La Révolution fustigée par deux grands prélats français du XIXè siècle, par Jérôme Seguin.
La Révolution expliquée aux jeunes gens (par Mgr de Ségur).
La Révolution française... A propos du centenaire de 1789 (par Mgr Freppel).
- Valeur de l'assemblée qui prononça la peine de mort contre Notre Seigneur Jésus-Christ, d'Augustin et Joseph Lémann, par D. Raffard de Brienne.
- Opération James Bond, de Christopher Creighton par le Lt.-Cl. Chabeuil (c.r.).
- Un cistercien admirable : dom Godefroid Bélorgey (l880-1964), par Jean Bastier.
- Veilleur avant l'aube : le père Eugène de Villeurbanne, d'Yves Chiron, par D. Raffard de Brienne.
- Jeunes Saints, Jeunes Témoins : sainte Solange, par François Marie Algoud.
- Nous avons reçu.
- La Contre-Encyclopédie (P. Lucas de la Championnière ; L. de Barral ; L. Lhuillier), par H. Servien
TitreN°253 Mars 1998 - Deux prélats condamnent très sévèrement la révolution de 1789
Auteur LECTURE ET TRADITION
ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution1 mars 1998
Nb de pages28
EAN 1300003725
Épaisseur (en mm)3
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.05
Critique du libraire
Editorial Lettre ouverte à Michel Benoist, président du Secours Catholique Monsieur le Président, J'ai eu la triste occasion le 23 novembre 1995, de vous faire part de ma stupéfaction de vous voir être cosignataire d'un appel en faveur de la Bosnie, aux côtés du MRAP (qui se bat pour l'avortement, la contraception, le "collage" des homosexuels et contre tout ce qui est chrétien), de l'Alliance des Femmes pour la Démocratie, de la Fédération internationale des Droits de l'homme (création de la Franc-maçonnerie...), etc... Puis le 15 mai 1996, je me suis fort étonné que feu Jean Monnet ait été présenté comme une "figure de charité" dans la rubrique portant ce titre. Votre "justification" par votre lettre du 28 mai a été assez étonnante : "Il aura permis, écrivez-vous, que les années qui ont immédiatement suivi la guerre, soient moins lourdes de "restrictions"". Dans "Messages du Secours Catholique", n° 504 de juin 1997, votre publication présente cette fois - toujours dans la même rubrique - le père Lebret. Mais enfin, souvenons-nous : le mouvement "Economie et Humanisme", dont vous faites état, fut fondé conjointement par le père Lebret et le père Deroches, un autre dominicain qui avait quitté l'habit religieux pour se faire résolument marxiste. Rappelons encore que le père Lage, à Ferros, au Brésil, avait fondé une cellule d'"Economie et Humanisme", et ce père était en train d'enseigner le marxisme aux garçons qui lui avaient été envoyés pour qu'ils persévèrent ou renaissent dans le christianisme ! Il y a eu ainsi une évolution de prêtres qui troquaient la Communion des Saints contre le Parti communiste. C'est ainsi que le père Lage accorda un entretien à la revue "Manchete" : il y parlait du christianisme social et osait dire que "cette histoire d'administrer les sacrements" lui paraissait sans avenir ! (...)