Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

Nous n'expédierons pas de colis du 25 décembre au 1 er janvier. Seule une permanence sera ouverte le 30 et 31 décembre.

N°223/224 Sept/Oct 1995 - XXVème Journée Chouanne

Référence : 64929
Date de parution : 1 septembre 1995
EAN 13 : 00003695
Nb de pages : 56
7.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous 3 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
SOMMAIRE
- Sermon prononcé pendant la messe, par Monsieur l'abbé Cottard.
- Conférence d'introduction, par Jean Auguy.
- La conversion des âmes, par le père Jean-Jacques Marziac.
- Littérature de jeunesse, par Serge Dalens.
- Le petit monde de Don Figueras, par Daniel Raffard de Brienne.
- Les fondement s du Pacte républicain, par Jean-Baptiste Geffroy.
- Message de Jean-François Galvaire.
- Mot spirituel de clôture, par Monsieur l'abbé Lecareux.
- Message de Jacques Ploncard d'Assac.
- Le singe descend de l'homme, de Jean-François Péroteau, par Daniel Raffard de Brienne.
- Le Sacré-Coeur de Montmartre (Hubert Rohault de Fleury), du R.P. van der Brule, par Claude Mouton-Raimbault.
- Franco, de Bartolomé Bennassar, par Bérenger.
- L'Eglise et les religions non chrétiennes au seuil du XXIème siècle, du R.P. van Straelen, par Daniel Raffard de Brienne.
- Dictionnaire de la France médiévale, de Jean Favier, par Ivan Gobry.
- Nous avons reçu.
- La Contre-Encyclopédie (La résistance catholique allemande au national-socialisme, par Joël Pottier).
TitreN°223/224 Sept/Oct 1995 - XXVème Journée Chouanne
Auteur LECTURE ET TRADITION
ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution1 septembre 1995
Nb de pages56
EAN 1300003695
Épaisseur (en mm)3
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.05
Critique du libraire
Sermon prononcé pendant la messe par l'Abbé Cottard Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il. Mes bien chers Frères, vous avez entendu ces paroles de l'Introït d'aujourd'hui : "Souvenez-vous, Seigneur, de vos promesses, n'oubliez pas la vie de vos pauvres." Evidemment, quelquefois, lorsque nous voyons la situation de notre pays, la crise de l' Eglise, nous sommes tentés de dire : "Seigneur, Seigneur, alors qu'en est-il de vos promesses ? Est-ce que, par hasard, vous ne nous oubliez pas ? Où êtes-vous, Seigneur, Vous le tout puissant, Vous qui avez régné bien des fois sur vos ennemis par la force de votre bras, qui avez suscité les saints nécessaires pour nous sortir d'affaires ? Où sont-ils donc tous ceux que, dans les siècles passés, vous avez suscités et aujourd'hui, Seigneur, alors ou en sommes-nous ?" Bien sûr, mes bien chers Frères, ce cri est normal. C'est une prière, c'est un cri de confiance aussi dans le Bon Dieu, car le temps du peuple chrétien, c'est le temps de Dieu. C'est vrai. Mais, peut-être, y a-t-il chez nous une priorité qu'il faudrait remettre si nous voulons vraiment que le Bon Dieu intervienne et, vous le savez, vous l'avez entendu dans l'Oraison, cette priorité c'est la Foi, l'Espérance et la Charité. Non pas que nous manquions de confiance en Dieu - si je vous disais que je n'ai pas confiance en Dieu, vous me diriez : "Mais si." - mais peut-être oubliez-vous que notre vie doit être surnaturelle, que notre intelligence doit voir les choses par la vertu théologale de Foi, que notre volonté doit les désirer dans l'amour de Dieu, que notre sensibilité, notre affectivité doivent vouloir agir pour faire plaisir à Dieu. Car, effectivement, qu'est-ce que notre intelligence sans la foi ? Une torche vacillante dans la nuit qui éclaire un petit peu le monde d'alentour, ce n'est pas grand chose de plus. Qu'est-ce que notre volonté sans la charité ? Un amour défaillant qui ne sait pas sur quoi se fixer. Et qu'est-ce donc que notre affectivité sans la vertu d'Espérance ? Un coeur blessé qui n'est jamais assuré d'être aimé. (...)