Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

N°191 Janvier 1993 - 1793-1993 : un régicide maçonnique (1re partie)

Référence : 64909
Date de parution : 1 janvier 1993
EAN 13 : 0000000038133
Nb de pages : 36
3.50
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 2 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
Sommaire :
Editorial : En France, le roi est mort une fois, par Jean-Baptiste Geffroy 
  • Pourquoi le régicide ? par Christian Lagrave 
  • La condamnation maçonnique de Louis XVI, par Michel Canet
  • - Louis-Sébastien Mercier, prophète de la Révolution
    - Trois témoignages allemands
    - Deux évêques racontent
    - À l'Orient de Besançon
    - Les pérégrinations maçonniques du Franc-maçon de Raymond
    - Les loges de Francfort
    - Le baron von Dittfurth, templier et illuminé
    - Le convent de Wilhelmsbad et l'Éclectisme
    - L'Éclectisme, surgeon de l'Illuminisme
    - Le témoignage du R.P. Abel
    - Le complot permanent
    Critique du libraire
    Editorial (extrait) : L'anecdote est connue de tous les historiens. Lorsque, le 14 février 1610, on ramena au Louvre le corps sans vie de Henri IV Marie de Médicis se répandit en lamentations bruyantes en criant : "Est-ce possible ? Le roi est mort!". Mais le chancelier de Sillery qui se trouvait présent et tenait le jeune Louis XIll par la main lui répondit : "Madame, les rois ne meurent point en France. Voici le roi vivant." Pourtant, le roi est mort en France; une seule fois, le 21 janvier 1793, et le destin de la France, et peut être la face du monde, en ont été changés. On a souvent comparé la mort de Louis XVI avec celle de Charles 1er d'Angleterre dont l'exécution contée par Alexandre Dumas dans Vingt Ans après a tant ému nos lectures de jeunesse. Le fait est que si la mort de Charles Stuart fut noble et courageuse, elle n'a pas pris à l'époque la signification particulière que prendra celle de Louis XVI (1). Même si on ne peut négliger l'importance du conflit qui opposait les sectes covenantaires et le Roi anglican dans le déclenchement de la Révolution de 1649 et l'exécution du souverain, on ne saurait en aucune manière la comparer à celle du fils aîné de l'Eglise qui revêt une portée toute spéciale. D'ailleurs, le bicentenaire de 1793 a été, d'une manière générale, assez abondamment évoqué, et paradoxalement bon nombre de chroniqueurs en ont souligné, certes maladroitement, mais avec une intuition inattendue la signification symbolique. Jean-Baptiste Geffroy.