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N°183 Mai 1992 - Jésus trahi par les siens (abbé Coache), Indochine

Référence : 64903
Date de parution : 1 mai 1992
EAN 13 : 00003672
Nb de pages : 32
3.50
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Description
Sommaire :
Non ! par la rédaction de Lecture et Tradition 
  • Editorial : Les tournées du Saint Suaire, par J.B. Geffroy 
  • Un combattant de la Foi, l'abbé Louis Coache, par J.C. Davesnes  
  • Jésus trahi par les siens de l'abbé Coache, par C. Mouton-Raimbault  
  • Les armées catholiques et royales au nord de la Loire, par Henri Servien  
  • L'heure de Dieu sur le Nouveau Monde de Jean Dumont (Lectures de D. Raffard de Brienne et H. Servien)  
  • La dimension oecuménique de la réforme liturgique de G. Célier, par C. Mouton-Raimbault  
  • Révélations sur le camp de Boudarel, Livres sur l'Indochine, par J. Bastier  
  • Nouvelles de l'A.D.J., par Pierre Ceisson 
  • Nous avons reçu, par J. Auguy 
  • La Contre-Encyclopédie (Baudry d'Asson; La Rocambole des Journaux; Le Journal politique national)
  • TitreN°183 Mai 1992 - Jésus trahi par les siens (abbé Coache), Indochine
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 mai 1992
    Nb de pages32
    EAN 1300003672
    Épaisseur (en mm)3
    Largeur (en mm)150
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.05
    Critique du libraire
    Introduction (extrait) : Ce sera NON ! A la question posée par François Mitterrand, le 20 septembre prochain, il n'y a pas, pour nous contre-révolutionnaires, d'autre réponse que NON. Il n'est pas intellectuellement, moralement possible de ratifier ce texte monstrueux et de consentir ainsi un abandon aussi massif, aussi grave de la souveraineté nationale. Les manuels d'histoire de France, y compris les plus républicains, ont toujours cloué au pilori Isabeau de Bavière pour avoir, avec le Traité de Troyes, soldé la couronne de France au roi d'Angleterre. Mais, tout compte fait, Isabeau était étrangère. L'histoire ne doit pas retenir que notre génération aura entériné sans résistance la dissolution de la Nation française dans une Eurocratie sans âme et sans Dieu. Il ne faut pas seulement répondre NON à la question posée, mais au principe même de la question. Aucune autorité, fut-elle politique ou religieuse d'ailleurs, n'a le pouvoir de demander aux Français s'ils veulent bien accepter de se dessaisir de la souveraineté, non seulement celle dont la constitution de 1958 lui attribue l'exercice, mais plus généralement celle qui appartient à Dieu et dont le peuple, selon la formule de saint Thomas d'Aquin, est le détenteur intermédiaire (omni potestas a Deo per populum). De par sa nature, la souveraineté échappe au régime des lois ordinaires, même constitutionnelles. Dans ce sens, le référendum lui-même est illégitime. Il faut en outre répondre NON en raison du caractère frauduleux, à tout le moins ambigu, de l'opération juridico-diplomatique appelée Maastricht, mise en oeuvre sans consultation parlementaire ni populaire et qui, sans le providentiel refus des Danois, aurait été imposée en catimini, sans que personne n'ait été en mesure de savoir de quoi même il retournait. Il faudra dire NON parce que ce traité est un texte équivoque" voire frauduleux, qui ment sur les intentions véritables de ses auteurs, qui dissimule en fait ce qu'il faut bien appeler un suicide collectif, programmé par le pouvoir socialiste et soutenu par la droite molle. Chacun doit savoir avant de déposer son bulletin de vote que : Maastricht, c'est la France livrée au pouvoir des technocrates et de la haute finance internationale; Maastricht, c'est la fin de nos libertés (ou ce qu'il en reste) économiques et politiques; Maastricht c'est la perte de notre identité culturelle presque deux fois millénaire; c'est aussi à plus ou moins longue échéance, l'altération de notre substance spirituelle.