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N°142 Déc 1988 - T de Saint-Just : la royauté sociale de NSJC, E Couvert, général Jouhaud

Référence : 64867
Date de parution : 1 décembre 1988
EAN 13 : 00003620
Nb de pages : 32
3.50
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Description
Sommaire : 
  • Editorial : Demain l'Europe d'Assise, par J.-B. Geffroy  
  • La royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus-Christ d'après le
  • cardinal Pie, du Père T. de Saint-Just, par J.-B. Geffroy  
  • Lumière sur Kerlivit de M. Renouard, par Geneviève Renard  
  • Le pasteur frappé et les brebis dispersées.parJêan Vaquié  
  • En revivant le combat pour l'Algérie Française avec le général Jouhaud et son livre "O mon pays perdu", par P.A.  
  • "De la gnose à l'oecuménisme", Etienne Couvert répond à ses lecteurs 
  • Entretien avec Claude Peignot au sujet de son étude : "Le Nombre, langage de Dieu"  
  • "Le Monde" ébranlé, par Pierre-Marie Argouarc'h  
  • Le cinéma et les enseignements pontificaux, par Valérie Aubreuil 
  • Bulletin d'abonnement et de commande des numéros disponibles
  • TitreN°142 Déc 1988 - T de Saint-Just : la royauté sociale de NSJC, E Couvert, général Jouhaud
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 décembre 1988
    Nb de pages32
    EAN 1300003620
    Épaisseur (en mm)3
    Largeur (en mm)150
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.05
    Critique du libraire
    Editorial : Demain l'Europe d'Assise A Strasbourg, Jean-Paul II a parlé de l'Europe, un peu comme Paul VI parlait du monde devant l'ONU. C'est dire ce qu'a pu être, derrière la suavité de la rhétorique, l'utopisme et les équivoques de son propos. On peut encore excuser les allusions "intégrationnistes" de l'allocution pontificale. Et l'on peut supposer que le Pape ignore tout des dangers que recèlent les progrès de la supranationalité. Plus inquiétant apparaît l'avenir que Jean-Paul II paraît tracer de l'Europe chrétienne. Soigneusement ajusté aux "sensibilités" intellectuelles pour le moins bariolées de cette insignifiante assemblée, le discours du Pape a bien sagement restreint l'héritage chrétien de l'Europe aux dimensions peu compromettantes de la culture et de l'éthique, ces deux mots-clés du neutralisme pastoral qui constitue le fond de la dialectique pontificale. Je ne doute pas (et je ne veux pas douter) qu'au plus profond de lui-même, Jean-Paul II ne chérisse la mémoire de saint Benoît. Force est cependant de constater qu'elle était manifestement absente du pensum infligé à un cénacle plus enclin à savourer l'hommage appuyé adressé à "sa sensibilité accrue aux droits de l'homme et à la valeur de la démocratie" qu'à frétiller d'aise à l'évocation de Benoît de Nursie, père de l'Europe. On se demande ainsi ce qui permet au Pape d'affirmer que "l'Europe est de plus en plus intensément à la recherche de son âme et d'un souffle capable d'assurer sa cohésion spirituelle"