Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

N°122 Nov/Déc 1986 - Sa Sainteté Pie XII, Frère Mutien-Marie de Ciney

Référence : 64848
Date de parution : 1 novembre 1986
EAN 13 : 00003603
Nb de pages : 48
5.25
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié aujourd'hui
Voir la disponibilité en magasin

Description
Sommaire
Prière pour obtenir la Béatification de Pie XII  
  • Photos : Pie XII  
  • Le témoignage de Mère Pascalina et de Gertrud von le Fort sur Pie XII : entretien de Henri Servien avec Joël Pottier 
  • Quelques souvenirs sur un Très Grand et Très Saint Pape : Pie XII qui aimait tant notre France par le Marquis de La Franquerie  
  • Pascalina Lehnert : Pie XII : mon privilège fut de le servir (L'osservatore Romano)  
  • Vers la Béatification du Pape Pie XII par Philippe Lasserre 
  • Documents pontificaux de Sa Sainteté Pie XII  
  • A propos d'une nouvelle traduction française des Hymnes à l'Eglise de Gertrud von le Fort par Joël Pottier 
  • La bataille des idées de J. Ploncard d'Assac
  • - Demain la chrétienté
    - Les "Cristeros"
    - La vie prodigieuse du curé d'Ars
    - Pour qu'il règne
    - Les Cavaliers du Veld
    - L'Historien
    - Le taureau par la queue  
  • Un apôtre exceptionnel de la piété mariale : le Frère Mutien-Marie de Ciney par J.P. Hamblenne  
  • Le racisme dans la Bible
  • TitreN°122 Nov/Déc 1986 - Sa Sainteté Pie XII, Frère Mutien-Marie de Ciney
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 novembre 1986
    Nb de pages48
    EAN 1300003603
    Épaisseur (en mm)2
    Largeur (en mm)150
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.07
    Critique du libraire
    Le témoignage de mère Pascalina et de gertrud Von Le Fort Un entretien de Henri Servien avec Joël Pottier (extrait) H.S. - Cher ami , votre traduction des souvenirs de Mère Pascalina (1) a dû être, comme toute traduction, une réécriture. Le lecteur français apprécie ce beau livre, au style très enlevé. Quelles ont été pour vous les principales difficultés ? J.P. - Permettez-moi tout d'abord de dire quel enrichissement intellectuel, quelle grâce aussi ce fut pour le traducteur que de pouvoir ainsi, pendant des mois, vivre en quelque sorte dans l'intimité d'un pontife et d'un homme tel que Pie XII. J'ai découvert aussi l'attachante personnalité de Mère Pascalina : sa vénération pour Pie XII, bien sûr, et son dévouement quasi maternel à son égard, spécialement durant sa maladie, mais aussi sa forte volonté, sa ténacité, son esprit d' initiative (par exemple durant la Seconde Guerre mondiale). Et, couronnant toutes ces qualités, une foi limpide, qui déplaçait des montagnes, usant parfois d'innocentes, mais efficaces ruses, comme celle grâce à laquelle Mère Pascalina finit par obtenir que saint Joseph ait son autel dans la basilique Saint-Pierre ! Mais j'en viens, cher Henri, à votre question. On sait quelle influence peut avoir sur la réception d'une oeuvre étrangère l'exactitude de sa traduction. Et votre question me fait, de façon très personnelle, prendre conscience de l'immense responsabilité qu'est celle du traducteur. Car, de ce que vous appelez "réécriture" à l'infidélité, il n'y a souvent qu'un pas. L'adage italien bien connu parle carrément de trahison ; j'espère sincèrement qu'il ne s'appliquera pas à mon travail...