Editorial Pour la première fois, cette année, DPF tenait sa réunion dans une France occupée. Pour la première fois, la France socialo-communiste servait de toile de fond à notre rassemblement contrerévolutionnaire. Coïncidence ! Notre journée a connu une affluence record. Beaucoup de nouveaux venus et parmi eux des familles inquiètes pour l'avenir de notre pays, de nos enfants, de nos dernières libertés. Inquiétude, mais aussi, enthousisme et résolution. Car, à ces inquiétudes, nous répondons à Chiré par la continuité, continuité dans l'action, dans la réflexion et dans la prière. La première réponse que nous avons offerte a été la messe, la Sainte Messe traditionnelle latine et grégorienne selon le missel romain de Saint Pie V. Elle a commencé notre journée grâce à notre cher abbé Cottard et a inspiré et éclairé nos militants et les nombreux auteurs et journalistes qui nous ont fait l'amitié de leur présence. Jean Vaquié, Philbert Dorégraslin, Yann Moncomble, Lucien-Jean Bord, Henri Servien, Claude Mouton, Francis Bergeron, Georges Racineux, Michel Dugast-Ruille, Henry Charbonneau, Jean-François Peroteau, Madame Beau de Loménie... Elle a aussi inspiré le talent oratoire de Roland Gaucher, de François Brigneau et de Jacques Meunier. Elle a également conforté nos résolutions. Pas plus que nous n'avons cédé aux mirages du libéralisme faisandé d'un Giscard, nous n'avaliserons la démagogie de la gauche socialo-communiste. (...)