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N° 747-748 - Juillet-août 2019 : Affaire Vincent Lambert : une euthanasie qui ne veut pas dire son nom

Référence : 109429
Date de parution : 10 juillet 2019
EAN 13 : 0000001094299
Nb de pages : 64
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Description
SOMMAIRE : 

- Éditorial (par Jérôme Seguin) (p. 1)
- Les brèves (p. 3)
- Les dates à retenir (p. 4)  

Actualité
- Affaire Vincent Lambert : une euthanasie qui ne veut pas dire son nom (par le docteur Jean-Pierre Dickès) (p. 5)
- Émois dans les cathédrales (par Pierre Romain) (p. 11)
- Des militants du « bien » pour une épuration estudiantine en Vendée (par Jacques De Kremer) (p. 13)
- Emmanuel Macron est-il criminel ou meurtrier ? (par J. S.) (p. 15)  

Études
- La France face aux dévoiements de la laïcité (par Yves-Marie Adeline) (p. 17) 

*
- Il y a 50 ans... dans Lectures Françaises : M. Pompidou qui êtes-vous ? (n° 147-148 de juillet-août 1969) (par Vincent Chabrol - par intérim) (p. 35) 

*
- Dans notre courrier (par Jean Auguy et J. S.) (p. 38) 
Institut de Formation Politique - La Chine impose sa « patte » sur les vins de Bordeaux ! - La Durbelière (château) - Référendum d'initiative citoyenne - Robert Brasillach - Mirebeau - Hélie de Saint Marc - Le Maine Castay (producteur) - Macron pratique la forfaiture - Le Harfang (revue). 
- Courrier des lecteurs (p. 43)  

Géopolitique
- Élections européennes 2019 : un bilan en demi-teinte (par Olivier Destouches) (p. 45) 

*
- Ils nous ont quittés (par J. S.) (p. 55) 
M. l'abbé Pierre Lourdelet - Maître Yves Grall - M. et Mme André et Jeanne Creva - Pierre Riché - Hubert Monteilhet - Guillaume Faye - Marguerite Lombard - Cardinal Mar Nasrallah Boutros Sfeir - Geoffroy Asselin - Rodolphe Crevelle. 

*
- La vie des livres (par J. S.) (p. 59) 
Les Oppositions au Second Empire, du comte de Chambord à François Mitterrand (sous la direction d'Éric Georgin) - Le Soir approche et déjà le jour baisse (du cardinal Robert Sarah) - Johann Rattenhuber, l'Ange gardien du Führer (de Paul-Louis Beaujour) - Célébrer Salazar en France, 1930-1974. Du philosalazarisme au salazarisme français (d'Olivier Dard et Ana Isabel Sardinha-Desvignes) - Le général Pierre Héring.
Critique du libraire
ÉDITORIAL : Nous l'annoncions dans notre précédent numéro, nous revenons aujourd'hui sur les conclusions à tirer du scrutin des élections européennes, grâce à la bonne analyse établie par notre ami Olivier Destouches (pp. 45 à 53), toujours perspicace et clairvoyant, au jugement lucide qui nous permet de mesurer les résultats avec le regard de l'objectivité, contrairement aux commentaires ineptes répétés à satiété par des media qui ont perdu tout sens de leur vocation d'impartialité. Nous sommes, il faut le reconnaître, complètement ébaubis de constater qu'à la suite de tout scrutin, quel qu'il soit, ce sont toujours les mêmes poncifs qui nous sont assénés. Certains (et même la plupart) s'étonnent de la « dégringolade » des prétendus partis traditionnels qu'ils appellent « de gouvernement » (socialistes et républicains dits « de droite »). Mais il faut tout de même rappeler que ces gens-là, pour notre proche période contemporaine, ont tenu les rênes du pouvoir durant plus de 50 ans, pendant toute la durée de la seconde moitié du XXe siècle : ils avaient donc toutes les cartes en mains pour gagner la partie. Pour quel motif l'ont-ils donc perdue ? La réponse est élémentaire : tout simplement en raison de l'inconséquence avec laquelle ils ont eu la prétention de diriger la France (dès les premiers numéros de notre publication, née en 1957, déjà, Henry Coston, notre fondateur, mettait en garde ses lecteurs contre les graves risques qui nous menaçaient ; c'est bien ce qui en découle aujourd'hui). Mais de cela, tous les « grands media » se sont bien gardés de l'admettre ou de le reconnaître. Et puis, enfin, il faut bien le dire : en quoi les intérêts de la France peuvent-ils trouver un bénéfice dans de telles élections pour désigner quelques centaines d'élus qui n'ont absolument aucune influence sur la politique qui doit être menée dans chacun des Etats dont ils sont issus ? Un tel scrutin n'est que poudre aux yeux, puisque, dès le lendemain, les « politologues » (qui, eux non plus, n'ont rien à faire du bien commun de nos compatriotes) s'interrogent sur les conséquences qu'il pourra avoir pour les prochaines consultations à venir, municipales (en 2020), régionales (2021), puis présidentielles (2022). Cela seulement les intéresse ! Ces « analystes » patentés sont des pantins et des marionnettes qui n'ont que faire de l'avenir de la France, dès lors que leurs prébendes et privilèges restent préservés ! Jérôme SEGUIN