ÉDITORIAL : Les media, caisses de résonance des dictateurs de la pensée unique, voudraient nous imposer de nous couler dans leur société impie, païenne et « mortifère ». Nous avons la témérité de la refuser en nous efforçant d'appartenir à quelques-uns des derniers bastions de résistance à leurs assauts diaboliques. Oui ! Que vous le vouliez ou non, Messieurs, la France est bel et bien la Fille aînée de l'Église, depuis plus de quinze siècles, au moment du baptême de Clovis, en 496. Ce n'était là que la confirmation de la mission divine qui lui avait été confiée, dès le lendemain du supplice de Notre Seigneur Jésus-Christ sur le Calvaire. Immense honneur, mais aussi lourde responsabilité, pour l'accomplir selon les vœux du Ciel. En regardant les faits avec objectivité, tout au long de notre histoire des événements « surnaturels » et miraculeux la jalonnent pour en apporter la confirmation certaine. Une preuve formelle vient de nous en être donnée, une fois encore, avec la parution du livre Cotignac et la mission divine de la France, dont les principales étapes du contenu, depuis les toutes premières années de notre ère chrétienne, sont rappelées au cours de l'entretien que nous a accordé son auteur, Élise Humbert. Vous y constaterez que notre pays n'a cessé d'être béni de Dieu, dès lors que ses responsables ont accepté d'obéir aux demandes d'En-Haut pour recueillir les fruits de cette bénédiction. Tandis que les deux derniers siècles de notre histoire montrent qu'en apostasiant, elle subit un sévère châtiment administré par les suppôts de Satan. Cette mission a suscité en France des saints, des humbles et des personnalités d'un rayonnement exceptionnel, tel saint Hilaire, évêque de Poitiers et pourfendeur de l'arianisme, dont le portrait est présenté dans notre rubrique « La Contre-Encyclopédie » pour marquer l'année du 17e centenaire de sa naissance. Reproduisons, en guise de conclusion, les derniers mots qui terminent le livre d'E. Humbert : « Cotignac, tu es le chantre de l'amour de Dieu pour la France. Chaque page de ton histoire résonne en nous comme un appel : celui de servir la mission divine de ce royaume d'élection ». Jérôme SEGUIN