N° 3-4 (nouvelle série), juillet-août 2011 : Entretien avec Jean Auguy

ÉDITORIAL : Nous ne cachons pas ici notre déception, voire notre désappointement devant les quelques critiques (heureusement assez peu nombreuses) qui ont été exprimées après la parution des deux premiers numéros de notre nouvelle série. Il faudrait sans cesse marteler, répéter et seriner l'ancestrale formule de Boileau : la crititique est aisée mais l'art est difficile ! et passer le relais de temps à autre aux mécontents afin qu'ils démontrent qu'ils sont en mesure de mieux faire que nous pour rédiger Lecture et Tradition... Oui, nous avons eu des reproches sur le contenu des deux précédents numéros. Nous voulons bien admettre qu'ils puissent être en partie justifiés, mais nous tenons à rappeler que nous sommes actuellement dans une période de transition entre la façon avec laquelle Jean Auguy a travaillé pendant plus de quarante ans et les options qui vont être prises et mises en place par son successeur dans les mois et les années à venir. Après un flottement inquiétant nous avons remis à flot Lecture et Tradition qui tanguait dangereusement et durant cette entreprise de renflouage nous avons besoin de l'aide, de la compréhension et du soutien de tous nos amis. La critique est négative et stérile. les encouragements sont positifs et enrichissants. Accordez-nous quelques mois de patience avant de parvenir au but fixé qui consiste à retrouver un rythme de croisière. Ce n'est qu'avec votre aide et votre soutien que nous y parviendrons. Nous vous demandons d'y songer et de l'appliquer et vous en remercions d'avance. La rédaction de Lecture et Tradition P.S. Nous n'avons rien à cacher (contrairement à ce que prétendent certains) : la situation générale de DPF était extrêmement précaire en 2010 et il est très probable que si François-Xavier d'Hautefeuille n'avait pas pris la décision très courageuse, déterminée et même héroïque de la redresser, nous aurions été amenés à « mettre la clef sous la porte ». dans ces conditions il est préférable de maintenir DPF en vie, même avec quelques défauts, plutôt que de la voir disparaître ! Alors nous demandons aux mécontents de taire leurs critiques !