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N° 299 Mars 1982 - 25ème anniversaire (mars 1957-mars 1982)

Référence : 64269
2 avis
Date de parution : 1 mars 1982
EAN 13 : 00003308
Nb de pages : 48
6.50
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Description
Sommaire :
Un homme curieux, par Jacques Ploncard d'Assac
Le souvenir de Pierre-Antoine Cousteau
Lectures Françaises a 25 ans, par Jacques Bordiot
Les libres propos de Henry Coston
Au fil des jours... par Pierre Romain
Le mondialisme en marche... ou histoires de "famille", par Yann Moncomble
Les hommes de la situation, par Pierre Romain
Marxisme et agriculture, par Jean-Clair Davesnes
Le capital, le pouvoir et la presse, par Pierre Romain
Les ancêtres aristocratiques de François Mitterrand
Tribune libre : Claude Adam et Jean Auguy
Partis et journaux
La criminalité en France, par Henry Coston
Echos et rumeurs
Obéissez, sinon...
Liberté de la presse ? par Jérôme Seguin
Décès de Job de Roincé
Décès du Bachaga Saïd Boualam
Allo ! Allo ! Quelles nouvelles ?
Les livres dont on parle
TitreN° 299 Mars 1982 - 25ème anniversaire (mars 1957-mars 1982)
Auteur LECTURES FRANÇAISES
ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution1 mars 1982
Nb de pages48
EAN 1300003308
Épaisseur (en mm)4
Largeur (en mm)160
Hauteur (en mm)240
Poids (en Kg)0.11
Les avis clients
Relevé sur " manifpn2012 "
5/5 Chiré
.----. Saïd Benaisse BOUALAM dit le Bachaga BOUALAM 1906-1982 Né le 2 octobre 1906 à Souk-Ahras (Bône) Au cours de la seconde guerre mondiale, il obtient le grade de colonel En 1945, il devient caïd (notable qui cumule des fonctions administratives, judiciaires, financières et parfois de chef de tribu) de 24 tribus des Beni-Boudouanne de l’Ouarsenis En 1955, il est nommé agha (de l’Arabe chef, maître, seigneur titre d’un officier civil ou militaire) Lors de combats contre le FLN, il perd 17 membres de sa famille, dont un de ses fils Abdelkader En juin 1956, le bachaga Boualam prend le commandement de la harka de l’Ouarsenis. Après le coup d’état du 13 mai 1958, il se rallie au général de Gaulle qui lui promet : « Bachaga (Boualam), il n’est pas question d’abandonner l’Algérie … L’Algérie restera française. » Le 30 novembre 1958, il est élu député (Unité de la République) dans la 5ème circonscription (Orléansville) Il est élu vice-président de l’Assemblée Nationale. En 1959, il est élu maire de la commune de Beni-Bedouanne. Le 26 septembre 1959, à Orléansville, il est victime d’une tentative de meurtre. Le 16 juin 1960, à Alger, naissance du Front Algérie Française (FAF) .. Son comité directeur est présidé par le Bachaga Boualem, ce dernier retenu à Paris où il préside l’Assemblée. Le 12 juillet 1960, le Bachaga Boualem annonce 900 000 adhérents au FAF, dont 120 000 musulmans. En mars 1962, est créé au sud-ouest d’Alger le maquis le plus important, celui de l’Ouarsenis : dans son fief du douar des Beni-Boudouanne, le bachaga Boualam, qui s'est toujours conduit en partisan de l'Algérie française, dispose de 200 à 300 harkis modestement armés. L'idée est lancée d'ancrer un pôle « Algérie française » dans son fief pour affirmer la volonté des Français et des musulmans de vivre ensemble. A cet effet, Salan envoie Gardes, Branca, Montagnon, Pouilloux, Bernard, les lieutenants Prohom et Poste, les sous-lieutenants Delhomme, Holstein, Castillo et Madaoui (musulman) à la tête d’un commando de 80 hommes qui quitte clandestinement Alger par le train, dans la nuit du 27 au 28 mars. Débarqué dans la région de Miliana, le commando intègre un petit maquis local. Puis, la nuit suivante, il gagne Lamartine, le PC du bachaga. Le 18 mai 1962, il quitte l’Algérie pour s’établir en Camargue, au Mas-Thibert. Il reste député jusqu’au 3 juillet 1962 En février 1963, à Saint-Maixent, deux stagiaires d’origine algérienne, les lieutenants Yves Boualam (neveu du bachaga) et Nadjib Karbouch, sont rayés de l’Ecole sans préavis, sur ordre du ministère de la Défense … Décédé le 6 février 1982 à Mas-Thibert (13) Son fils Ali a épousé Emmanuelle Perez, la fille du docteur Jean-Claude Perez, un des chefs de l’OAS. On doit au bachaga 3 ouvrages : Mon pays, la France aux éditions France Empire en 1962 Les harkis au service de la France aux éditions France Empire en 1963 L’Algérie sans la France aux éditions France Empire en 1964 [ Posté par manifpn2012 à 21:24 - le 26 juin 2013 . ]
Boualam ?
5/5 Anne
Qui est ce Bachaga Boualam dont vous signalez le décès ? Je sais bien qu'à mon age je ne sais rien ! ! ! mais je n'ai jamais entendu ce nom !