Sommaire : M. Bleustein-Blanchet et son groupe Nos publications La politique et les affaires L'aristocratique belle-famille de M. Defferre Autour d'une intervention chirurgicale Histoire de la collaboration Salons, partis et journaux... Allo ! Allo ! Quelles nouvelles ? Les livres dont on parle Echos et rumeurs
Critique du libraire
Voici le lobby Defferre.
Les avis clients
Suite dans le numéro 164 décembre 1970 .
5/5 " Chiré "
.----. " Poitiers-Université " (B. P. 172, 86 - Poitiers ) constate que la rentrée universitaire se fait " sous le signe de la décadence " : " Nous ne cesserons dans Poitiers-Université et les facultés, de récuser la loi Edgar Faure, destructrice de l'Université et complice de la subversion. Nous voulons rebâtir des Universités libres, décentralisées et débarrassées de toute idéologie, pour se consacrer à la formation des futurs cadres de la Nation conformément aux principes de libertés de notre civilisation occidentale. Nous voulons pouvoir travailler dans un milieu purgé des incessantes discussions politiques et philosophico-sociologiques pour nous consacrer à bâtir un avenir professionnel sans haine et sans folie. " ( numéro 164 - décembre 1970 de Lectures Françaises ).
"Poitiers Université"
5/5 " Chiré "
C'est dans ce numéro 86 qu'est signalé la première activité " presse " de ce qui devait devenir l'équipe de " Chiré " : " La Fédération Générale des Etudiants de Poitiers publie depuis mars un journal : "Poitiers Université". C'est donc ce numéro 86 qu' Henry Coston avait choisi pour signaler ce petit journal du département de la Vienne ( 86 ). Qui pouvait prévoir que par la suite cette équipe éditerait Lectures Françaises ? Pour être plus précis il faut dire qu'en réalité il y avait eu d'autres titres pendant la crise algérienne mais sans suite au-delà de 2 ou 3 numéros ronéotypés et que "Poitiers Université" devait paraître pendant 14 ans !