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Mexique - De l´indépendance aux Cristeros 200 ans de haine anticatholique

Référence : 1080
4 avis
Date de parution : 10 novembre 2014
Auteur : SANDERS (Alain)
Collection : GO WEST
EAN 13 : 9782357910638
Nb de pages : 104
12.00
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Description
Dans l'imaginaire populaire, le Mexique est perçu - à juste titre - comme un pays profondément catholique : la Vierge de Guadalupe, apparue en 1531 à un jeune Indien, Juan de Diego, la Constitution d'Apatzigan qui, en 1814, proclama le catholicisme comme seule religion mexicaine, le pays consacré au Coeur Sacré de Jésus et le proclamant Roi du Mexique le 6 janvier 1914 , etc.
Mais il y a aussi un « autre » Mexique. Sanglant. Farouchement anticatholique. Le massacre des Cristeros est un exemple de cette haine. Mais les Cristeros eurent des prédécesseurs, à commencer par les Religionarios qui se soulevèrent en 1874 au cri de « Vive la religion ! Mort au mauvais gouvernement ! »
C'est cette histoire tragique, souvent absente des guides touristiques, que raconte ce petit livre de mémoire. L'histoire d'un peuple catholique confronté à une Révolution qui, pendant plus de deux cents ans, a persécuté les croyants. L'histoire, aussi d'une résistance pour défendre - au prix du martyre - la seule vraie religion.
TitreMexique - De l´indépendance aux Cristeros 200 ans de haine anticatholique
Auteur SANDERS (Alain)
ÉditeurATELIER FOL'FER (EDITIONS)
Date de parution10 novembre 2014
Nb de pages104
CollectionGO WEST
EAN 139782357910638
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)9
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)200
Poids (en Kg)0.14
Les avis clients
L'indochine ; le Mexique...
5/5 Présent.
.----. Avec Sanders, de l’Indo… L’Indochine : sans jamais y être allés (au moins pour beaucoup d’entre nous), nous avons tous au coeur le refrain de Marie-Dominique, l’inoubliable chanson de Mac Orlan, ou des images du Crabe-Tambour. Bien assez pour nous donner à tous une petite pointe de « mal jaune ». Et ce n’est pas la lecture du dernier ouvrage d’Alain Sanders qui va nous en guérir. Sanders conte ses souvenirs avec le talent du romancier. Le lecteur part avec lui à la recherche de son ami Sean, l’Irlandais fou ; il se retrouve, en mars 1975, enfermé avec lui dans Danang cerné par les Viets. Cette panique, qu’il décrit, de la population de villes entières devant l’avancée des Rouges rappelle celle des chrétiens d’Orient devant l’avancée des djihadistes : même fuite éperdue à la pensée du sort atroce réservé à ceux qui seront pris dans la nasse. Sanders, dont on connaît la passion pour l’Amérique et les Américains, n’hésite pas à rapporter les paroles désenchantées d’un médecin vietnamien : « C’est la fin. S’ils arrivent à Saïgon je me suiciderai avec ma famille. Nous avons fui le Tonkin en 1954. Pourquoi avoir fait tuer tant de soldats américains pour en arriver là ? Il aurait mieux valu nous livrer aux communistes tout de suite. Ou nous laisser nous débrouiller seuls. Le Vietnam restera le péché mortel des Américains. Ce qu’ils font aujourd’hui est la pire des lâchetés. Ils ont tellement promis. Tellement… » Il rappelle aussi la geste de Jean Dyrac, ambassadeur de France au Cambodge, livrant Ung Boun Hor, président de l’Assemblée nationale cambodgienne, et le prince Sirik Matak, venus chercher refuge à l’ambassade, aux Kmers rouges, qui les assassinent immédiatement. Pendant ce temps, les Français professeurs de gauche s’empressent de prendre l’avion pour ne pas expérimenter le paradis de l’oncle Ho, qu’ils appelaient pourtant de leurs voeux. Vivre une telle expérience empêche de se faire trop d’illusions sur la nature humaine. Mais 40 ans plus tard, Sanders tient à témoigner. Et ce témoignage va droit au coeur. … au Mexique Les cristeros sont revenus sur le devant de la scène avec le film récent qui leur a été consacré, en faveur duquel Présent a mené une véritable campagne. Mais pour comprendre le combat de ces « chouans mexicains », il convient de remonter à l’époque de l’indépendance du Mexique, en 1821, et de redécouvrir la tentative de Napoléon III de mettre sur le trône du pays Maximilien, le frère de François-Joseph alors empereur d’Autriche, en 1861. Les cristeros, soldats du Christ, dans leur combat qui dure de 1926 à 1930, se voient opposer de véritables « colonnes infernales », en tout point semblables à celles qui écrasèrent les Vendéens. Là encore, Sanders ne cache pas le rôle peu glorieux du gouvernement américain de l’époque, conduit par l’appât du gain et, surtout, par les directives des loges. Deux ouvrages vivants, bien documentés, qui peuvent « accrocher » de jeunes lecteurs et leur ouvrir l’esprit. Deux excellentes lectures de vacances. [ Signé : Anne Le Pape dans " Présent ", n° 8373 du 12 juin 2015 ]
Crimes maçonniques ?
5/5 Le Sel de la Terre .
.----. Une longue suite de crimes maçonniques jalonne l'histoire du Mexique avant même la tyrannie de Callès (1924-1934) et le martyre des Cristeros. Alain Sanders l'avait retracée en feuilleton il y a une quinzaine d'années (dans Présent du 19 au 29 juillet 2000), sous le titre expressif : La Preuve par le Mexique. Augmentée de plusieurs annexes (sur Camerone ; la mort de l'empereur Maximilien ; le Père Pio ; etc.), cette série d'articles vient d'être rééditée en une brochure d'une centaine de pages. Outre la vibrante épopée des Français au Mexique, les jeunes gens (et les adultes) y découvriront les œuvres sanglantes de la maçonnerie. « Arrachez-lui son masque » disait de cette secte le pape Léon XIII. A travers l'exemple mexicain, c'est ici fait de main de maître Il suffit d'ajouter que l'on retrouve les mêmes crimes maçonniques au Portugal (ex. : Sidonio Païs), en Equateur (Garcia Moreno), en Italie (le comte Rossi) et, bien sûr, en France ! [ Le Sel de la Terre, n° 92, printemps 2015 ]
Non !
5/5 Jean Saumur 49 .
Non, vous êtes dans l'erreur, plus il y a de livres divers plus il y a de lecteurs. Chaque titre touche des personnes différentes le plus souvent. C'est à vous de choisir en fonction de vos goûts, de vos auteurs préférés ... etc - Pour moi le numéro de " Lecture et Tradition " reste le meilleur sur ce sujet !
Pourquoi ?
3/5 Mexicain de coeur.
Pourquoi ce nouveau livre sur ce sujet ? J'ai déjà Keraly, Meyer,et le numéro de "Lecture et Tradition" . Sanders apporte-t-il du nouveau ? Que faut-il faire pour enrayer la surproduction nuisible aux bons livres ? Je ne dis pas que celui-ci est mauvais mais les choix sont trop difficiles !