Mémoires et récits
Référence : 9958
1 avis
23.00 €
+ d'éco-contribution
Tarifs dégressifs
Tarif par lot
- -soit le lot
Description
D'aussi loin qu'il me souvienne, je vois devant mes yeux, au Midi, là-bas, une barre de montagnes dont les mamelons, les rampes, les falaises et les vallons bleuissaient du matin aux vêpres, plus ou moins clairs ou foncés, en hautes ondes. C'est la chaîne des Alpilles, ceinturée d'oliviers comme un massif de roches grecques, un véritable belvédère de gloire et de légendes. F. Mistral.
Né et mort à Maillane, près de Graveson et de Frigolet, entre Avignon et Saint-Rémi-de-Provence, fondateur du Felibrige (association de défense de notre langue d'Oc et de notre culture) en 1854, avec ses six compagnons (Li Primadié), en tête desquels J. Roumanille (1818-1891), il a redonné par ses œuvres, par ses travaux linguistiques, par son action, ses discours, sa vaste correspondance, son Museon Arlaten, ses lettres de noblesse à la langue d'Oc ou provençale en la ramenant, comme autrefois au tout premier rang des plus grandes langues littéraires. Il a publié "Mireille" (1859), "Calendal" (1867), "Les Iles d'Or" (1876), "Nerte" (1884), "Le Trésor du Felibrige" (1886), "La reine Jeanne" (1890), "Le Poème du Rhône" (1897), "Mémoires et Récits" (1906), "Discours e Dicho" (1906), " La Genèse " (1910), "Les Olivades" (1912). Editions Posthumes : "Prose", "Nouvelle", "Dernière prose d'Armana" (1926-30), "Poésies inédites" (1966). Divers volumes de sa "Correspondance" dont celle avec Roumanille qui éclaire les "Mémoires" d'un jour nouveau.
Né et mort à Maillane, près de Graveson et de Frigolet, entre Avignon et Saint-Rémi-de-Provence, fondateur du Felibrige (association de défense de notre langue d'Oc et de notre culture) en 1854, avec ses six compagnons (Li Primadié), en tête desquels J. Roumanille (1818-1891), il a redonné par ses œuvres, par ses travaux linguistiques, par son action, ses discours, sa vaste correspondance, son Museon Arlaten, ses lettres de noblesse à la langue d'Oc ou provençale en la ramenant, comme autrefois au tout premier rang des plus grandes langues littéraires. Il a publié "Mireille" (1859), "Calendal" (1867), "Les Iles d'Or" (1876), "Nerte" (1884), "Le Trésor du Felibrige" (1886), "La reine Jeanne" (1890), "Le Poème du Rhône" (1897), "Mémoires et Récits" (1906), "Discours e Dicho" (1906), " La Genèse " (1910), "Les Olivades" (1912). Editions Posthumes : "Prose", "Nouvelle", "Dernière prose d'Armana" (1926-30), "Poésies inédites" (1966). Divers volumes de sa "Correspondance" dont celle avec Roumanille qui éclaire les "Mémoires" d'un jour nouveau.
Titre | Mémoires et récits |
Auteur | MISTRAL (Frédéric) |
Éditeur | PETIT (Marcel) |
Date de parution | 30 avril 1992 |
Nb de pages | 224 |
EAN 13 | 9782866730987 |
Épaisseur (en mm) | 21 |
Largeur (en mm) | 140 |
Hauteur (en mm) | 183 |
Poids (en Kg) | 0.27 |
Biographie
Frédéric MISTRAL (1830-1914) Frédéric Mistral est l'auteur de Mirèio (1859), de Calendau (1867)... et d'un dictionnaire provençal-français embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne, Lou tresor dou Felibrige. Voir plus
Les avis clients
Délicieusement évoquée et chantée .
5/5 Plaisir de Lire .
.----. ATTENTION : cette notice est rédigée à partir de l'édition de 1979 chez Julliard .
"Tant est beau ce parler de Provence, tant sont douces et saintes les légendes et les contes de ce pays des ancêtres, que Frédéric Mistral consacrera sa vie à les recueillir, mieux, à les faire revivre dans cette langue chantante, équilibrée et imagée, qui l'a charmé dès son enfance . C'est celle-ci qu'ici il nous raconte, ainsi que la naissance du Félibrige . Sur chacun de ses premiers compagnons il nous conte quelques anecdotes, qui nous le dépeignent mieux qu'un long portrait . Toutes la finesse, la délicatesse de cette âme provençale sont sensibles là .
Délicieusement évoquée et chantée, cette Provence si clairement chérie, nous fera regretter de n'être pas tous nés ses enfants .
Quelques photos, très belle couverture rouge et or, en simili cuir, avec jaquette représentant Mistral . Quelques bois gravés en tête de chapitre : c'est un livre cadeau . " [ " Plaisir de Lire " , numéro 46 , grandes vacances 1979 ]