Nos aspirations profondes .
5/5 Lecture et Tradition
.----. Son contenu est sans équivoque : il rappelle tout naturellement ce que doit être la place de la femme dans le mariage, le foyer et la société. " Il s'agit, dit C. Miriano, de revenir à notre vraie nature, à ce pourquoi nous sommes faites et d'admettre que lorsque nous allons contre nos aspirations profondes, nous sommes malheureuses et inquiètes ". Vous comprenez bien que cela n'est pas du goût des " pétroleuses " qui peuplent ou ont peuplé les allées gouvernementales ( Marisol Touraine, Roselyne Bachelot, Christine Taubira, et tant d'autres... ) tout en manipulant d'innombrables émules en pâmoison d'admiration devant de tels exemples ! [ Note de lecture de Jérôme Seguin dans le numéro 70-nouvelle série de " Lecture et Tradition ", février 2017 -- ( notre revue propose sur ce site tous ses numéros encore disponibles ) ]
Les pieds dans le plat
5/5 Lecture et Tradition .
.----. Un livre paru en fin d'année 2015 a été victime d'un sévère ostracisme de la part de la " mediasphère branchée " et pour cause ! Il suffit de prendre connaissance de son titre pour comprendre immédiatement de quoi il retourne et il semble que son auteur ou son éditeur ait délibérément et malicieusement voulu de la sorte provoquer les " bien pensants " : Marie-toi et sois soumise. Pratique extrême pour femmes ardentes ! Son auteur, Costanza Miriano ( journaliste italienne ) met délibérément les pieds dans le plat pour s'en prendre sans faux fuyant au féminisme, tellement prisé, dans nos sociétés d'Europe occidentales décadentes ( émancipation, contraception, liberté sexuelle, vagabondage charnel et tant d'autres dérives ... ), tout en rappelant l'enseignement immuable de l'Eglise au sujet du mariage. ( suite ... )
Titre provocateur ?
5/5 Famille d'abord.
.----. Avec son titre volontiers provocateur, l'ouvrage de la journaliste italienne Costanza Miriano déchaîne les passions en Italie, en Espagne et maintenant en France. Son mérite : " mettre les pieds dans le plat " en dénonçant fortement et avec humour les erreurs féministes ( émancipation, contraception etc. ) et en rappelant la vérité de l'Eglise au sujet du mariage. Cet ouvrage peut être un bon moyen d'engager la conversation avec des personnes éloignées de la Tradition. [ Commentaire de la rédaction de " Famille d'abord " numéro 29 - mars 2016 ]
L'information sur un site assez loin de nos choix !
4/5 https://www.actualitte.com/
.----. Costanza Miriano occupe une place à part dans l’édition italienne. L’auteure de Sposati et sii sottomessa (Marie-toi et sois soumise : si, si une maison l’a traduite, Le Centurion) a écoulé 150.000 exemplaires en Italie. Puis elle a récidivé avec Sposala et muori per lei (Épouse-la et meurs pour elle, chez le même éditeur). Deux ouvrages dont la littérature mondiale n’aurait su se passer, évidemment, et qui provoquent des fous rires, chez les plus cyniques... Il suffisait d'attendre les interventions de l'auteure pour s'étrangler de rire.
La journaliste, depuis 2011, poursuit une belle carrière d’auteure : véritables best-sellers, ses ouvrages n’ont aucun recul. Pratique extrême pour femmes ardentes, dévoile le premier quand le second assure : Des hommes vrais pour des femmes sans peur?! Tout un programme, qu’une pétition proposait de faire cesser, tant la mascarade virait au grotesque.
L'activisme catholique intégriste en action
Si près de 23.500 personnes ont signé, l’auteure n’en poursuit pas moins son bonhomme de chemin. Journaliste, certes, mais avant toute chose catholique activiste très impliquée, Miriano a fait des siennes à l’occasion de la Family Day, en Italie. C’est que la famille, affirme-t-elle, est un concept que l’on ne négocie pas : « C’est un concept préchrétien, qui se compose d’un homme et d’une femme, d’ancêtres et d’enfants. » Bien sûr, il existe des couples qui ne peuvent pas avoir d’enfants, mais ces derniers restent l’essentiel de la famille.
Et elle poursuit : « Les couples homosexuels ne peuvent pas avoir d’enfants. S’ils y parviennent, ils modifient la réalité et renversent le droit. À ce moment, nous devons protéger les enfants. » Seule la mère, en bonne et due forme, et après fécondation dans le cadre des liens sacrés du mariage – et uniquement en dehors des horaires de travail ! – peut porter et donner la vie.
« L’amour appartient aussi aux gays. Mais la famille, jamais », embraye-t-elle : un couple homo ne pourra jamais garantir la sérénité à des enfants. Quand ces derniers découvrent la vérité, « cela provoque des dommages et des souffrances ». Tout cela est connu, on retrouve ce type de déclarations chez les opposants au Mariage pour tous, mais Costanza va franchir le mur du son.
Si la mère est la conceptrice – allons-y, la matrice... – elle n’est pas « un concept anthropologique », réfute la journaliste, qui serait variable selon les cultures. Et dans la bataille pour l’accès à l’adoption, les couples homosexuels, hommes, évidemment, ne cherchent en réalité qu’à être considérés comme les autres membres de la société, estime Costanza.
Conclusion : les couples gays s’appuieraient sur l’adoption, entre autres, pour entrer dans une certaine normalité.