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Malraux du farfelu au mirobolant

Référence : 19233
2 avis
Date de parution : 10 mars 1997
Auteur : VANDROMME (Pol)
Collection : LA FRONDE
EAN 13 : 9782825109175
Nb de pages : 80
13.00
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Description
Les cendres de Malraux viennent d'être transférées au Panthéon avec la pompe des discours en tenue de cérémonie et l'accompagnement des borniols de la notabilité . Ce que ces fastes ont dissimulé, c'est que Malraux, dans la nécropolede prestige de la république reconnaissante, a rejoint son oeuvre, qui s'y trouvait depuis toujours.
Pol Vandromme répare cet oubli en critique littéraire. Il ose dire que Malraux est un mauvais grand écrivain ; il a même l'effronterie de suggérer pourquoi Ernst von Salomon, Elie Faure, Eisenstein et Sarah Bernardt se proposent de lui réclamer des droits d'auteur à titre posthume.
Bref, il a la candeur de croire à la vertu salutaire du scandale, revanche de la vérité sur l'hypocrisie mondaine. On aura raison de condamner l'impertinence de ce mauvais esprit qui ne caresse pas dans le sens du poil le chat de Malraux et qui pousse l'inconvenance jusqu'à lui réserver un chien de sa chienne. 
Pol Vandromme, né en 1927 à Charleroi, est l'auteur d'une cinquantaine de livres. Il a été consacré en 1984 par le Grand Prix du Rayonnement français et en 1992 par le Grand Prix de la Critique de l'Académie française.
TitreMalraux du farfelu au mirobolant
Auteur VANDROMME (Pol)
ÉditeurL'AGE D'HOMME (EDITIONS)
Date de parution10 mars 1997
Nb de pages80
CollectionLA FRONDE
EAN 139782825109175
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)6
Largeur (en mm)120
Hauteur (en mm)190
Poids (en Kg)0.30
Les avis clients
Suite...
5/5 Lectures Françaises / 1972.
.----. Petit rappel biographique sur le " Brouillon de culture " dont De Gaulle avait fait un ministre ; depuis, il s'est illustré en s'offrant comme volontaire pour le Bengale, malgré quoi le président Nixon a cru devoir prendre son avis sur Mao avant de partir pour Pékin. [ J.B.( Jacques Bordiot ) dans le numéro 181 de "Lectures Françaises" - mai 1972 ]
Le chevalier rouge ( jacques Bordiot )
5/5 Lectures Françaises / 1972 .
.----. " Le 1er novembre 1924, Malraux quitta l'Indochine ( où il avait connu quelques ennuis avec la justice à propos de sa mission au temple d'Ankor ) pour Canton, où il devint Commissaire à la Propagande dans le mouvement communiste chinois. En 1925, il retourna en Indochine comme agent des Chinois rouges, fonda le premier quotidien communiste dans la colonie françaises d'Extrême-Orient et organisa le mouvement de jeunesse communiste " Jeune Annam ". Le Kuomintang chinois, alors dirigé par la Russie, en fit un Commissaire pour l'Indochine. Malraux y rencontra le poète ( et journaliste ) Ilya Ehrenburg, de l'Association Internationale des Ecrivains Communistes, avant d'aller en Espagne commander une escadrille de bombardiers républicains. En avril 1961, lorsque les généraux français se rebellèrent en Algérie, André Malraux harangua les communistes français pour les inciter à descendre dans la rue. Deux mois plus tard, Jackie Kennedy demandait à faire sa connaissance et, le 11 mai 1962, elle donnait, pour cet ex-Commissaire communiste, un dîner officiel à la Maison Blanche " ( H. du Berrier - The Review of the News - 2+9-12-1971 ). ( suite ).