Christian Vanneste a été cloué au pilori par la presse comme par ses "amis" politiques. Accusé de tenir des propos "homophobes" alors que la justice l'a blanchi de ces accusations. Suspecté d'être un véritable négationniste pour avoir contesté, à juste raison, la légende de la déportation des homosexuels en France durant la Seconde guerre mondiale. Alors que les faits sont là, indiscutables, alors que Serge Klarsfeld, "chasseur de nazis" et spécialiste de la cause des déportés, lui a donné raison, Christian Vanneste a été traîné dans la boue par la quasi totalité des journalistes, lâché par son propre parti, trahi par les députés de la "Droite populaire", son courant au sein de l'UMP, le coup de grâce étant porté par Nicolas Sarkozy en personne.
Dans ce petit pamphlet, Christian Vanneste revient sur cette mise à mort. Il nous dévoile les dessous de cette véritable exécution. Les lâchetés des uns et des autres. Le poids, la puissance du lobby gay dans les médias comme dans son propre parti. Les ravages du politiquement correct, et pas seulement à gauche. Trente petites pages qui font froid dans le dos. Trente pages d'un rare, d'un vrai courage.
Trente pages sur une défaite annoncée tant, comme il le dit, le lobby est puissant...
Christian Vanneste, né le 14 juillet 1947 à Tourcoing, est un homme politique français, ancien membre du RPR puis de l'UMP, député de la dixième circonscription du Nord de 1993 à 1997, puis de 2002 à 2012. Il est président du RPF depuis 2012, après avoir quitté l'UMP à la suite de propos sur "la légende de la déportation des homosexuels durant la Seconde Guerre mondiale".