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Lux ex oriente - Ni vers Jérusalem, ni vers la Mecque, mais vers l´Orient

Référence : 98215
1 avis
Date de parution : 16 juillet 2018
EAN 13 : 9782856524046
Nb de pages : 180
14.50
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Description
"Tournons-nous à nouveau vers le Seigneur ! Depuis le jour de son baptême, le chrétien ne connaît qu'une Direction : l'Orient". (Cardinal Robert SARAH, III Sacra Liturgia. Londres, 2016.)
Le soleil se lève à l'est. Le Christ, vraie Lumière, élevé aux cieux à l'orient de la Ville sainte, est pour les chrétiens le véritable Orient. Après son Ascension, ses disciples se tournent vers l'est pour prier. Jusqu'à la fin du Moyen Âge, l'Église manifeste ainsi l'attente de son retour. Avec la naissance de l'humanisme et du protestantisme, pour des considérations profanes, l'orientation géographique des églises est relativisée voire ignorée. L'orientation liturgique est néanmoins respectée jusqu'au concile Vatican II. Dès la fin du Concile, celle-ci est aussi abandonnée pour des célébrations davantage tournées vers l'homme.
Face à cette désorientation de la liturgie, de nombreuses réactions se sont manifestées. Mais la participation à une célébration ad orientem, même dans sa forme traditionnelle, suffit-elle pour exprimer une véritable attente du retour du Christ ? N'est-il pas nécessaire, dans un monde si fasciné par les oeuvres de l'homme, que le chrétien reprenne en compte l'univers créé ? Immergé dans ses relations humaines, confronté aux adeptes d'autres religions, il est vital pour sa Foi qu'il se tourne vers Celui dont le soleil levant est signe et rappel de son Espérance. C'est un geste adéquat à son attente du Seigneur, dès sa prière matinale. 
Le Père Paul Cocard, né en 1953, est Frère de Saint-Jean depuis 1981. Élève de Jean de Viguerie, il a fait sa thèse sur L'Ordre de la Merci dans le royaume de France et a publié une dizaine d'articles sur celui-ci. Licencié de l'Institut Pontifical des Sciences Arabes et Islamiques, il a travaillé au Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux. Il est aussi l'auteur de La Communion sur la langue, une pratique qui s'impose chez DMM.
TitreLux ex oriente - Ni vers Jérusalem, ni vers la Mecque, mais vers l´Orient
Auteur COCARD (Père Paul)
ÉditeurDMM (DOMINIQUE MARTIN MORIN EDITIONS)
Date de parution16 juillet 2018
Nb de pages180
EAN 139782856524046
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)130
Hauteur (en mm)185
Poids (en Kg)0.18
Biographie
Critique du libraire
Préface de l'abbé Claude Barthe.
Les avis clients
Plaidoyer pour guérir de la « mondanité »
5/5 https://lanef.net/
.----. « Il conviendrait de revenir à la liturgie des Pères, “tournés vers le Seigneur”, pour mieux souligner le caractère théocentrique et non anthropocentrique du Culte divin. » Cette recommandation faite en 2011 par le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la Promotion de l’unité des chrétiens, et reprise par l’abbé Claude Barthe dans sa préface, donne le ton à la démarche du Père Paul Cocard. Dans cet essai bien structuré, au ton convaincant, l’auteur, Frère de la Communauté Saint-Jean, insiste sur l’importance de la célébration ad orientem puisqu’il s’agit de prier vers le Christ, qui est la Lumière. Les principaux actes de la vie terrestre du Verbe incarné ont d’ailleurs l’Orient pour cadre et c’est de là que son retour est attendu par les chrétiens. C’est pourquoi l’Église a, dès le début, adopté cette pratique liturgique, qui concerne aussi le baptême et les funérailles. Pour le P. Cocard, l’adoption contemporaine des célébrations versus populum, qui s’est répandue après Vatican II, non sans rencontrer des oppositions, résulte en fait d’influences plus anciennes, telles que l’humanisme de la Renaissance et le protestantisme. Il décrit, pour les déplorer, les conséquences de cette pratique sur la piété des fidèles et des prêtres, tout en montrant les avantages spirituels pour les uns et les autres que présente la prière ad orientem, sans oublier son utilité dans l’évangélisation, surtout des juifs et des musulmans. Ce livre est un plaidoyer pour guérir de la « mondanité » qui s’est emparée du monde catholique. [ Signé :Annie Laurent - mars 2019 dans La Nef ] PS : Qu'est-ce que La Nef ? : La Nef a été créée en décembre 1990, c'est un magazine mensuel, catholique et indépendant. Ce faisant, La Nef s'inscrit clairement et sans complexe dans une ligne de totale fidélité à l'Église et au pape qui la gouverne.