Voter : piège ou devoir ?
Date de parution :
15 juin 2016
Auteur :
PINIEUX (Guennaël de), CERCLE LEGITIMISTE GEOR
Éditeur :
CHIRE (EDITIONS DE)
Collection :
PENSER LA CONTREREVOLUTION
EAN 13 :
9782851902047
Nb de pages :
48
Référence interne:
106111
Description
Le vote semble aujourd'hui une évidence politique, si bien que son refus est vite taxé de désespoir par des gens qui en restent aux apparences et ont du mal à envisager les choses au niveau doctrinal, ce qui est caractéristique du système. Mais le désespoir, pas plus que l'abandon de toute action politique ne caractérisent le petit nombre de ceux qui ne votent pas. Au contraire parmi eux se trouvent bon nombre de personnes ayant passé leur vie à agir dans les domaines politique, religieux.
Oui vraiment, le catholique qui vote par devoir doit se poser des questions. À l'issue de ce parcours historique, nous voyons qu'il n'est pas possible de considérer l'obligation de voter comme une sorte de vérité première évidente, il n'est pas possible de réduire l'action politique au vote, il n'est pas possible de refuser tout examen, toute discussion et de qualifier les abstentionnistes de doux rêveurs.
L'objet de ces cercles est l'étude de la politique dans l'esprit de saint Thomas d'Aquin, ainsi que la restauration de la cité catholique, par l'étude et le retour aux principes fondateurs de toute cité ordonnée.
Titre | Voter : piège ou devoir ? |
Auteur | PINIEUX (Guennaël de), CERCLE LEGITIMISTE GEOR |
Éditeur | CHIRE (EDITIONS DE) |
Collection | PENSER LA CONTREREVOLUTION |
Date de parution | 15 juin 2016 |
Nb de pages | 48 |
EAN 13 | 9782851902047 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 3 |
Largeur (en mm) | 148 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0,070 |
Critique du libraire
"Si les élections servaient à quelque chose elles seraient interdites" (attribué à Rosa Luxembourg). Cette question du vote a toujours divisé nos milieux, il y a les "pour", il y a les "contre". Voici un petit texte qui expose les faits et donne des arguments très appréciables. Quoiqu'il en soit de notre propre position face au vote, il n'est pas possible de considérer l'obligation de voter comme une sorte de vérité première évidente, il n'est pas possible de réduire l'action politique au vote, il n'est pas possible de refuser tout examen, toute discussion et de qualifier les abstentionnistes de doux rêveurs.