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L´"extrême droite" et l´Eglise

Référence : 49343
Date de parution : 1 mai 1998
Auteur : MADIRAN (Jean)
Éditeur : PRESENT (EDITIONS)
EAN 13 : 9782905781185
Nb de pages : 164
15.25
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Description
Ce livre est dédié aux jeunes Français qui cherchent, au milieu de ruines moralement désertes, quelques vestiges de leur héritage historique. Pour écarter plusieurs mensonges dressés devant eux comme des obstacles.
Comment l'"extrême droite" est une imposture surréaliste fabriquée pour les égarer.
En quoi l'"anti-racisme" officiel est unilatéral et trompeur, camouflant l'établissement d'une fausse religion de l'homme démocratique en équivalent d'une religion d'Etat.
Pourquoi le "nationalisme" n'est pas en France une déformation du "patriotisme".
Qu'est-ce que l'acculturation ? - Définition du Dictionnaire de l'Académie Française : "Adoption progressive par un groupe humain de la culture et des valeurs d'un autre groupe humain qui se trouve, relativement à lui, en position dominante." Pourquoi et comment l'Eglise, l'Etat, la magistrature, l'Education nationale et les médias subissent une croissante acculturation à la culture de mort du marxisme, inspirateur de l'autogénocide par la loi.
En répondant aux partialités et aux erreurs politiques soutenues par le noyau dirigeant de l'épiscopat français, Jean Madiran a traité en elles-mêmes toutes ces questions-là.
TitreL´"extrême droite" et l´Eglise
Auteur MADIRAN (Jean)
ÉditeurPRESENT (EDITIONS)
Date de parution1 mai 1998
Nb de pages164
EAN 139782905781185
Épaisseur (en mm)9
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.20
Biographie
Jean MADIRAN (1920-2013)
Jean MADIRAN (1920-2013) Né le 14 juin 1920 à Libourne, décédé à Paris le 31 juillet 2013, Jean Arfel, alias Madiran, Lagor ou Castetis, devient disciple de Charles Maurras qu'il rencontre pour la première fois en 1942.  

Jean Madiran : l'itinéraire s'achève  

Jean Madiran est mort le 31 juillet. Le fondateur du quotidien Présent était une figure de la presse politique française. Né en 1920, Jean Arfel écrit sous son nom ses tout premiers articles dans la Revue universelle, proche de l'Action française quelques mois avant le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale. Remarqué par Charles Maurras, qui le considère très vite comme l'un de ses jeunes dauphins, ce fervent partisan de la Révolution nationale, voulue par le Maréchal Pétain, fonde après la guerre L'indépendance française, qui, entre 1946 et 1950, accueille d'anciens journalistes de l'Action française comme Pierre Varillon. Très vite, à travers un itinéraire spirituel exigeant, il devient l'un des censeurs de la politisation à gauche de l'Eglise de France, contre laquelle il écrit deux livres retentissants, Ils ne savent pas ce qu'ils font et Ils ne savent pas ce qu'ils disent (1955), qui consacreront son talent d'essayiste. En 1956, il fonde la revue Itinéraires, qui, jusqu'en 1996, sera le symbole de la résistance spirituelle des catholique au processus d'autodestruction de l'Eglise, défendant avant que quiconque y ait seulement songé, la pérennité de la liturgie traditionnelle. Dans des Editoriaux, à la rhétorique ciselée, il perpétue quelque chose de la voix grave et obsédante de Charles Péguy. Une collection Itinéraires groupe autour de la revue des contributeurs de talent, de Henri Massis aux frères Charlier et à Louis Salleron. En 1968, Jean Madiran publie L'hérésie du XXème siècle. La revue tend à devenir l'expression d'une véritable école de pensée traditionaliste catholique. C'est dans cette perspective qu'en 1982, avec Romain Marie, François Brigneau et Pierre Durand, il fonde le quotidien Présent, dont il sera le directeur de la rédaction, le directeur de la publication et jusqu'aujourd'hui le directeur émérite et chroniqueur brillant.
Proche de Mgr Lefebvre, il avait refusé d'opter en 1988 en faveur des sacres illégaux de quatre évêques, préférant la position légitimiste de son vieil ami Dom Gérard Calvet, prieur puis abbé du monastère bénédictin du Barroux. Proche du Front national et de Jean-Marie Le Pen, il n'avait pas voulu vouer aux gémonies Bruno Mégret, lors de la scission de 1998, considérant qu'un journaliste n'avait pas à prendre parti dans une affaire d'hommes. Rappelant plusieurs fois par semaine, dans Présent, les fondamentaux du combat national et catholique, il publie de nombreux livres parmi lesquels, en 2002, Une civilisation blessée au cœur, qui passe pour son testament politique et La révolution copernicienne dans l'Eglise qui est son testament spirituel. 
[ Publié le jeudi 1 août 2013 par Minute ]    
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Critique du libraire
Réponses aux partialités et aux erreurs politiques soutenues par le noyau dirigeant de l´épiscopat français.