Cet ouvrage expose les grands secrets de la subversion et des révolutions qui ont renversé les gouvernements patriotes civils ou militaires qui ont surgi dans le monde, pour empêcher que leurs pays ne tombent dans l'anarchie, le chaos ou l'esclavage totalitaire collectiviste, dissimulés sous le masque du socialisme ou du communisme.
L'exposé de ces grands secrets donnera à ces gouvernements patriotes et à leurs chefs militaires et policiers, ainsi qu'aux peuples menacés par cette grande fraude, la connaissance profonde des tactiques occultes qu'emploie surtout le Super Secret Révolutionnaire, pour renverser ces régimes, ainsi que de l'aide mondiale sur laquelle comptent les agents de la subversion et de la révolution.
Le principal succès de ces deux manoeuvres a consisté depuis des siècles à dissimuler la tête secrète de ces mouvements subversifs ; tête dont par malheur actuellement la majorité des gouvernements patriotes, choisis par elle comme victimes, ignorent la nature et l'origine. Ne sachant pas qui est la tête, ils s'abstiennent de la combattre.
Ceci entraîne comme conséquence que les gouvernements patriotes - tout en détruisant pour un moment quelques tentacules de la pieuvre, et en pacifiant le pays pendant quelques années - ne peuvent empêcher que la tête de la pieuvre, qu'ils n'ont pas détruite, ni même combattue, puisse reformer ses tentacules, le moment venu, pour détruire le gouvernement ignorant et naïf, qui l'a laissée vivre.
Les anciennes monarchies, française, russe, allemande, espagnole, portugaise et autres ont pu écraser des révolutions et se maintenir, au moins tant qu'elles attaquèrent et détruisirent en partie la tête de la pieuvre qu'elles connaissaient, mais comme la plupart la laissèrent subsister, celle-ci finit par renverser ces monarchies au cours des siècles, en assassinant des millions d'hommes et parfois de femmes et d'enfants, les criminels de la secte secrète à laquelle nous nous référons.
Dans le seul empire russe, cette secte, dirigée par le gouvernement soviétique, a assassiné en temps de paix soixante millions d'habitants de l'ancien empire russe, comme nous en informe Alexandre Soljenitsyne, dans son ouvrage I'Archipel du Goulag.