"C'est une tâche difficile, écrit FI. Brenier, que celle d'exposer à nos amis la doctrine pharisienne du Talmud et de leur montrer les périls que cette doctrine fait courir à notre civilisation. En effet , ceux-là même d'entre nous qui sont des Chrétiens tièdes et indifférents sont, à leur insu, tellement pénétrés des enseignements de l'Église du Christ, qu'il ne peuvent concevoir une religion reposant sur des bases morales exactement contraires à celles que le Christianisme a consacrées. Toute doctrine religieuse, leur semble-t-il, doit avoir pour but la culture des instincts bons de l'âme et le salut personnel par la pratique des vertus. La fantaisie humaine a bien pu, selon les climats, broder des variations sur ce thème divin ; elle n'en a pas modifié l'essence. Voilà ce que, par instinct, beaucoup de nos compatriotes sont disposés à croire ; et leur opinion erronée est un hommage involontaire rendu au Christianisme, puisque c'est lui qui a tué en eux jusqu'à la possibilité de croire qu'une religion pourrait ne pas avoir le Bien pour but.
"II y a eu dans les civilisations antiques, comme nous l'avons rappelé au début de cet ouvrage, des religions ayant pour but le Mal, honoré notamment sous la forme de la Cruauté et de la Luxure. Que des satanistes peu nombreux et un peu fous la pratiquent de nos jours, nous consentons à le croire. Mais presque personne n'ose le croire possible des Juifs, des Juifs campés au milieu de nous, mêlés à notre vie publique et privée, exerçant dans notre civilisation moderne des professions telles que celles de magistrat, d'officier, de fonctionnaire, d'avocat, de médecin, etc. C'est pourtant l'exacte vérité." (Les Juifs & le talmud, ch. XI)