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Les financiers qui mènent le monde

Référence : 4912
6 avis
Date de parution : 1 octobre 1989
Auteur : COSTON (Henry)
EAN 13 : 00001188
Nb de pages : 568
35.00
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Description
Précédée d'une préface inédite, cette nouvelle édition, considérablement augmentée et actualisée, illustrée de nombreux hors-texte de CHARD, est probablement l'œuvre maîtresse de Henry COSTON. C'est dans ce livre qu'ont été stigmatisés, pour la première fois depuis la guerre, les oligarchies cosmopolites et leurs agents cramponnés aux leviers de commandes de l'économie mondiale et à la direction des gouvernements de la planète.
Après avoir rappelé l'action des manieurs d'argent dans l'Histoire, Henry COSTON décrit leur rôle dans la Révolution -celle dont Anatole France a dit que "l'un de ses bienfaits est d'avoir livré la France aux hommes d'argent qui, depuis cent ans, la dévorent". Il montre les financiers à l'œuvre sous l'Empire, jusqu'à la défaite de Waterloo -une vraie victoire pour les Rothschild! - et sous la monarchie restaurée, puis sous Louis-Philippe, sous Napoléon III et sous les trois Républiques.
Il met l'accent sur la malfaisance de l'Argent, du "Gros Argent", comme disait son ami Emmanuel Beau de Loménie, dans la politique intérieure de la France. Le chapitre sur l'écrasement méthodique, l'appauvrissement systématique de la paysannerie explique pourquoi la terre française, dépeuplée, est livrée de nos jours aux spéculations les plus éhontées, pourquoi les produits sont dévalués progressivement au point de ne plus couvrir le prix de revient du producteur. L'exode des ruraux vers la grande ville en est la conséquence.
Le chômage et la misère qui sévissent aujourd'hui dans nos villes sont le résultat direct de cet affrontement entre l'économie traditionnelle, fondée sur la terre, et l'économie capitaliste, fondée sur l'argent. La disparition des entreprises familiales au profit des super et hypermarchés, les razzias répétées sur l'épargne procèdent de la même avidité du Grand Capital et de sa volonté d'hégémonie.
L'affaiblissement continu des classes moyennes résulte de cette toute-puissance oligarchique, que renforce la constitution de sénacles semi-clandestins, dont la Trilatérale est l'exemple le plus frappant. Les dirigeants actuels de cette organisation occulte sont présentés dans ce livre sous leur véritable jour et sans complaisance.
La fabrication de l'opinion publique par les médias que contrôlent les puissances d'argent, la mise sous tutelle d'un Parlement subjugué par les oligarchies font l'objet de toute l'attention de l'auteur, vieux routier du journalisme et fin connaisseur de cercles politiques.
Embrassant l'univers, ce livre donne la clé d'un phénomène international et en montre les conséquences en Europe et au Proche-Orient, en Afrique et en Amérique, sans oublier, au passage, cette création des banquiers de Wall Street qu'est l'Union soviétique, patrie du goulag. 
TitreLes financiers qui mènent le monde
Auteur COSTON (Henry)
ÉditeurCOSTON PUBLICATIONS HENRY
Date de parution1 octobre 1989
Nb de pages568
EAN 1300001188
Épaisseur (en mm)41
Largeur (en mm)155
Hauteur (en mm)240
Poids (en Kg)0.89
Critique du libraire
Le plus gros tirage de l´édition non-conformiste depuis la dernière guerre (23ème tirage). L´histoire de la spoliation des Français par les oligarchies financières, de la Révolution à la Vème République. Illustrée par Chard.
Les avis clients
L’ARRASEMENT DE L’ECONOMIE REELLE
5/5 https://www.terreetpeuple.com/
.----. Autre constat lucide fait par l’auteur, celui de la destruction systématique au profit du gigantisme de l’économie réelle et de proximité qui s‘est accélérée après 1945 par la concentration du capital et l’anonymisation des entreprises permettant aux actionnaires de gérer les structures économiques de manière discrétionnaire. Dans la ligne de mire et sous le rouleau compresseur de cette nouvelle finance anonyme et vagabonde, l’agriculture paysanne peu à peu transformée en exploitation agricole, la mort des petits commerçants et artisans au profit des grandes surfaces, la liquidation progressives du travail indépendant pour le salariat de masse, nouvel esclavage des temps modernes ( selon une enquête récente menée par le Bureau International du Travail, 80% des salariés en Europe estiment ne pas faire un travail intéressant, sans aucune valeur ajoutée, ce qui explique bien l’état général de démotivation du monde du travail, le nombre d’arrêt maladie, de surconsommation d’antidépresseurs …) Coston démontre bien là que contrairement à la thèse libérale qui veut que les marchés s’autorégulent, il y a bien une main cachée qui dirige le monde solvable, une nouvelle oligarchie financière, qui en quelques décennies s’est accaparée toutes les richesses du monde, faisant dire à un de ces ploutocrates, Warren Buffet, qu’une « lutte des classes existent bien entre les riches et pauvres et que les riches sont en train de la gagner. LES NOUVEAUX SYNARQUES Dans sa dernière mouture revue et augmentée parue en 1989, Henry Coston met le prisme sur ces nouveaux cénacles mondialistes au premier rang desquels il faut citer le groupe Bilderberg et la Commission Trilatérale (dont le responsable Europe à la fin des années 80, Georges Berthouin, se vantait que les personnalités appartenant à son organisation géraient 90% des richesses de l’humanité.) Chacune de ces organisations n’étant composée que de quelques centaines d’adhérents cooptés : banquiers, patrons de multinationales, journalistes, hommes politiques, tous acquis à la constitution d’un gouvernement mondial aux mains de la finance apatride, à un monde sans frontières, nomade, fluide, à la libre circulation des hommes, des marchandises et des capitaux. Rien ne devant entraver les lois immuables du marché d’où leur volonté farouche d’éradiquer tous les freins à ce dernier, à savoir les identités ethniques et culturelles, les frontières des nations, les familles traditionnelles. Et de placer à la tête de toutes les nations, des hommes politiques tout acquis à ces idéaux. Pour la Présidentielle de 2022, tous les grands ténors appartiennent au moins à une de ces organisations ou ont au moins participé à une de leurs conventions : Macron, Bertrand, Pécresse…Il y a des moments où il ne faut pas croire au hasard… Henry Coston, infatigable lutteur de la cause nationaliste, bien dans notre tradition anticapitaliste et antilibérale, a donc par ses travaux été un lanceur d’alerte hors normes et nous a permis de découvrir et de désigner notre ennemi (B.A.BA de la politique comme l’ont bien théorisé Carl Schmitt et Julien Freund) : l’oligarchie financière cosmopolite dont la philosophie sous-jacente demeure un certain messianisme à la dimension planétaire. Il est à noter que lors de l’adhésion au mouvement Jeune Nation mais aussi à l’Œuvre française, autrefois, les financiers qui mènent le monde était un des premiers ouvrages qu’il fallait lire afin de ne pas se tromper d’ennemi, les doctrines du nationalisme de Jacques Ploncard d’Assac le second, comme une réponse pour combattre et éradiquer les premiers. [ Publié le 9 juillet 2021 dans KRAMPON A LU sur le site de " Terre et Peuple " que, comme successeur de Henry Coston à Lectures Françaises , nous remercions particulièrement , pour ce bel article ]
LES GUERRES, UNE JUTEUSE AFFAIRE
5/5 https://www.terreetpeuple.com/
.----. Parmi nombre d’exemples qui fourmillent dans le livre, Henry Coston démontre, faits et chiffres à l’appui que les guerres et les révolutions sanglantes sont des sources de profits énormes pour les financiers, pas seulement pour les marchands de poudre et de canon. Le sang qui coule (celui des autres en l’occurrence) est bien peu de choses quand il s’agit de remplir les coffres forts des possesseurs du « Gros argent » selon l’expression d’Emmanuel Beau de Loménie dans Les responsabilités des dynasties bourgeoises. Arrêtons-nous sur quelques exemples frappants choisis par l’auteur : Le saviez-vous ? Que la Première guerre mondiale aurait pu s’achever dès l’automne 1914 si l’Allemagne avait osé bombarder les usines du bassin de Briey en Lorraine, d’où sortait le fer pour fabriquer les canons français ? Seulement, ces mines appartenaient à la famille de Wendel qui avait de la famille au Parlement français, mais aussi au Reichstag… pour sauver le tiroir-caisse des de Wendel, un million trois cent cinquante mille noms sont gravés sur les monuments aux morts de nos villes et villages…Parmi les héritiers de cette « famille en or », le baron Ernest Antoine Sellières, futur président du MEDEF dans les années 2000… Que la Révolution bolchévique avait été payée en grande partie par la banque américano-juive Kuhn, Loeb et Co, via un certain Jacob Schiff, afin de renverser l’autocratie russe peu sensible au bien-être de la « communauté de lumière »… Que Pierre Mendes-France, créature lui de la Banque Lazard (qui est depuis 70 ans le ministère bis de l’industrie et qui pilote en 2021 la Banque Populaire de l’Industrie chargée d’étudier les demandes de levée de fonds ou de capitalisation des PME) et lancé en politique via la création du magazine L’express piloté par Jean-Jacques Servan-Schreiber, siégeait en 1954 au siège d’une multinationale qui exploitait des plantations de caoutchouc au sud du Vietnam. Chargé à Genève d’instaurer un cessez-le feu en Indochine, il fit aussi en sorte que la partition du pays sur le 17em parallèle (accordant des concessions territoriales aux Viets que ceux-ci n’espéraient même pas) se fasse au dépend d’un trust concurrent au Nord-Vietnam puisque ce concurrent passant sous contrôle communiste se verrait nationalisé par les Rouges… Voilà les véritables ressorts de l’histoire, celle qu’on n’apprend-pas à l’Ecole et qui ne figure dans aucun manuel scolaire. ( suite ... ).
LE BASCULEMENT
5/5 https://www.terreetpeuple.com/
.----. Lorsque parait la première mouture de cet ouvrage en 1955, l’Occident est en pleine guerre froide et sur divers fronts affronte le communisme les armes à la main. La guerre de Corée et la guerre d’Indochine viennent tout juste de s’achever, dans quelques mois les chars soviétiques écraseront dans un bain de sang la légitime révolte des combattants de la liberté hongrois à Budapest. Pour la mouvance nationale, le seul combat, c’est celui contre la peste rouge internationale mais aussi à l’intérieur de nos frontières ou le parti de la subversion (Parti communiste « français ») pèse à lui seul plus de 25% du corps électoral. Si Henry Coston participe lui-aussi du combat contre le communisme, en bon disciple de Drumont dont avant-guerre il avait relancé le journal La libre parole, se revendiquant comme son vieux maitre de l’anticapitalisme national, il observe le travail de sape contre les nations qu’opèrent dans l’ombre les puissances d’argent et décide d’écrire l’histoire de leur mainmise sur nos destinées depuis l’Antiquité. LE BASCULEMENT Si les puissances d’argent ont toujours rodé dans les allées du pouvoir, y compris monarchique, il n’en reste pas moins qu’a de nombreuses reprises, pour le bien de leurs sujets, nos rois leur ont brisé l’échine, qu’on songe aux usuriers juifs qui furent expulsés à de nombreuses reprises du royaume, par Saint Louis entre autre, aux Templiers passés au fil de l’épée par Philippe Le Bel. Le grand basculement, c’est-à-dire l’arrivée aux leviers de commande dans les coulisses du pouvoir, puis peu à peu de toute l’économie mondiale ayant véritablement commencé dans les fourgons des dynasties bourgeoises qui se sont substitués aux anciennes aristocraties de robe et d’épée à partir de la Révolution française. Le grand Anatole France ne disait-il pas que « l’un des bienfaits de la Révolution est d’avoir livré la France aux hommes d’argent qui, depuis cent ans, la dévorent. » Plusieurs chapitres sont consacrés à la constitution de l’empire des Rothschild né d’un coup de bourse au moment de la défaite de Napoléon à Waterloo. Une fortune colossale qui s’est encore accentuée de manière exponentielle avec le temps et qui a permis de placer à la tête du pouvoir en France pas moins de deux présidents de la république, ex-fondés de pouvoir de la Banque : Georges Pompidou ( l’homme de la loi du 3 janvier 1973, celle qui interdit désormais à notre pays d’emprunter de l’argent à taux zéro auprès de la Banque de France nous obligeant ainsi à emprunter sur les marchés internationaux créant ainsi la dette abyssale sous laquelle nous croulions déjà avant la crise COVID), Emmanuel Macron parvenu aux commandes du pouvoir suite à un véritable pacte de corruption lié à la vente d’Alsthom au géant américain General Electric (lié au complexe militaro-industriel et à la CIA), la Banque Rothschild apparaissant à tous les étages du montage financier de l’affaire comme le démontre l’enquête de la commission parlementaire. ( suite ... ).
Hommage rédigé à l'occasion de sa mort
5/5 Pierre Sidos
.----. Lire aussi cet hommage rédigé à l'occasion de sa mort. Henry Coston mort nonagénaire a la fin du mois de juillet 2001, continuateur reconnu d’Édouard Drumont, a laissé une oeuvre impérissable. Même pour ses détracteurs, c’est justice a lui rendre que de reconnaître son plus grand mérite, celui d’avoir travaillé toute sa vie, d’une façon appliquée et opiniâtre, à la Défense et à l’illustration des raisons de l’anticapitalisme national, dans la lignée de son maître « l’immortel auteur de La France juive », avec une méthode, une continuité, une suite dans les idées qui ne se sont jamais démenties. Dans le mouvement général du nationalisme français de l’après-Seconde Guerre mondial, certes empli de beaucoup de talents et de dévouements, il faut tenir Henry Coston comme la référence indispensable, à placer ex-æquo avec celle de Maurice Bardèche décédé en juillet 1998 juste trois années avant lui : Les financiers qui mènent le monde de l’un étant à l’égal de Sparte et les Sudistes de l’autre. Henry Coston était animé par le plus ardent patriotisme, le choix des appellations de multiples initiatives de sa création est symptomatique : Lectures françaises, la Librairie française, le Dictionnaire de la politique française, Nous les françaises. C’était un grand français, obstinément hostile à toutes les formes de l’entreprise subversive de dénationalisation des constituants de la société française, aussi bien spirituels et corporels, qu’économiques et sociaux. Henry Coston était un homme épris de clarté, d’instinct il n’admettait pas qu’une poignée de conspirateurs hypocrites puissent dominer toute une population à qui était soigneusement cachées leur implication factieuse et leurs machinations, d’où son aversion pour les sociétés secrètes, son souci de mettre à jour les menées plus ou moins occultes, préjudiciables à la santé morale et matérielle de ses compatriotes et aussi de ses contemporains d’autres nationalités. Henry Coston était un observateur perspicace, il comprenait aisément l’importance de déclarations ou d’actes passant parfois inaperçus ou secondaires aux yeux du grand public, captif des jeux du cirque : attirant alors l’attention de ses lecteurs et les alertant sur les conséquences. Pour illustrer cela, il suffit de se reporter par exemple à son ouvrage généralement ignoré L’Amérique bastion d’Israël, publié il y a maintenant soixante ans, pour bien comprendre ce qui se passe actuellement dans le monde. Henry Coston avait une manière d’être éminemment sociable. Rien ne le destinait à cette tâche ardue de journaliste et écrivain engagé, de contempteur d’Hiram et de Juda. Sa mère s’était opposée à son penchant pour les études artistiques, en refusant d’envisager son entrée aux Beaux-Arts. Il avait conservé de cette vocation contrariée une aptitude certaine pour le dessin et dans la présentation des choses. Féru d’astrologie, grand lecteur de romans policiers, aimant les animaux, les chats en particulier. Il était le contraire d’un sectaire, d’un monomaniaque. Il avait avant tout le culte de l’amitié. Henry Coston fut tout sa vie un militant. Son œuvre considérable, droite et bienfaisante, toute vraie, affirme la nécessité de s’appuyer sur la volonté de ne pas être dupe. Il avait été l’ami de mon père, j’étais son ami et c’était réciproque. M’étant toujours affirmé comme l’un de ses disciples depuis mon adolescence, il m’a confié, en son temps, de nombreux éléments écrits ou enregistrés de ce qui devait être publié de ses souvenirs en trois tomes intitulés successivement : Tribulations d’un militant ; La Vengeance d’Hiram ; Feu de la presse libre. Quand je pense à Henry Coston, il me revient ce mot qui fait toute l’oraison funèbre d’un héros du Nord dans Shakespeare : « C’était un combattant ». [ Pierre Sidos à la tribune de Présent, du 23 juillet 2002 ]
Il ne faut pas oublier que :
5/5 Jeune Nation
.----. « Les « Capitalistes » ne sont dangereux pour la Nation que parce qu’il n’y a plus d’État pour juguler le capitalisme. Je conçois deux manières de gouverner un pays : – Le Pouvoir fait alliance avec le peuple pour contraindre les Grands à se plier aux disciplines de l’État. Cette politique fut celle des rois de France à l’égard de la Féodalité et de la Noblesse. – Ou bien, le Pouvoir fait alliance avec les Grands pour maintenir, le peuple dans l’obéissance. C’est la politique pratiquée dans presque tous les pays de la Chrétienté par les Régimes qui se sont succédé depuis un siècle. En France le Pouvoir n’est plus l’allié, c’est à dire l’égal des Grands : il s’est incliné devant leur puissance. Ce suzerain s’est fait vassal. Il a abdiqué et s’est donné des maîtres… » [ Henry Coston publiée le 30 Juillet, 2019 par Jeune Nation, l'information sans concession ]
UN LIVRE CLEF
5/5 JEAN SAUMUR 49
Depuis sa parution en 1955 ce livre est un best-seller réédité au moins 23 fois, la dernière édition que je possède est de 1989! Il faut dire que l'ouvrage a peu à peu été complété et revu ce qui rend la dernière ed. plus intéréssante; celle-ci est illustrée par CHARD. L'auteur a été présenté par MABIRE dans le tome 8 de son "Que lire " On peut aussi trouver une série de documents et articles dans les 21 cahiers de CHIRE mais plusieurs sont épuisés et rares!