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Les douze mensonges du GIEC - La religion écologiste 2 - L´écologie contre le développement

Référence : 122945
3 avis
Date de parution : 9 mars 2022
EAN 13 : 9782810011100
Nb de pages : 168
16.00
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Description
La COP 26 ne s'est pas achevée à Glasgow comme prévu. Son Président le Britannique Alok Sharma avait martelé qu'il fallait "ranger le charbon dans les livres d'histoire", précisant : "il faut cesser d'avoir recours au charbon, et par ailleurs cesser toute subvention aux énergies fossiles...". Tout paraissait réglé pour un vote sans histoire, lorsque le samedi 13 novembre, une heure avant la clôture de la conférence se produisit un évènement sans précédent.
Le représentant de l'Inde, son ministre de l'environnement Bhupender Yadav, déclara que son pays n'acceptait pas la rédaction prévue et en proposait une autre ainsi énoncée : "Il faut aller vers les technologies propres, y compris en intensifiant les efforts pour réduire progressivement l'énergie au charbon et éliminer progressivement les subventions inefficaces aux combustibles fossiles...". Le Ministre Indien fit valoir dans la foulée que la Chine appuyait la suggestion de l'Inde.
Il n'y a pas besoin d'être grand clerc pour comprendre que le nouveau texte, rédigé dans les termes typiques des "résolutions" onusiennes, n'engage plus personne à rien. Autrement dit, deux des principaux émetteurs de CO2, l'Inde et la Chine ont clairement déclaré qu'ils refusent, pour l'instant, de renoncer au pétrole et au charbon. Quelles vont être les conséquences pour l'Europe et la France ?  
Ingénieur polytechnicien et diplômé de Sc-Po, spécialiste de l'environnement et des transports, Christian Gerondeau a publié de nombreux ouvrages, dont certains sont traduits dans le monde anglo-saxon.
TitreLes douze mensonges du GIEC - La religion écologiste 2 - L´écologie contre le développement
Auteur GERONDEAU (Christian)
ÉditeurARTILLEUR (EDITIONS)
Date de parution9 mars 2022
Nb de pages168
EAN 139782810011100
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)15
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)220
Poids (en Kg)0.22
Les avis clients
Relativiser et réfuter les thèses catastrophistes
5/5 https://lanef.net/
.----. Climato-sceptique, cet ouvrage l’est sans aucun doute, et ce dès le titre. Inintéressant pour autant, complotiste pour autant ? Rien n’est moins sûr pour celui qui l’a lu. Car Christian Gerondeau, ancien polytechnicien, s’appuie sur des données scientifiques de climatologues, de météorologues ou encore de glaciologues, et même sur les propres chiffres du GIEC, pour relativiser et réfuter les thèses catastrophistes actuelles. À rebours de la doxa ambiante, l’auteur doute de l’expertise de ce « Groupe Intergouvernemental d’Experts sur le Climat », qui est en réalité tout sauf un groupe d’experts, mais une émanation de l’ONU composée de représentants des différents pays, c’est-à-dire avant tout un groupe à vocation géopolitique, et peut-être idéologique, comme va le soutenir C. Gerondeau. Avant les douze mensonges du GIEC, une accroche, ou plutôt un camouflet : le refus de l’Inde et de la Chine, le 13 novembre 2021 à la COP 26 de Glasgow, de signer un texte qui enjoindrait les États signataires à atteindre la neutralité carbone, c’est-à-dire à faire disparaître leurs émissions de CO2. La raison de ce refus : les centaines de milliers de morts annuels en Inde du fait du manque d’électricité, de la cuisine insalubre au bois ou au kérosène, et plus généralement du manque d’accès à l’énergie. L’argument est donc de taille et impose un réalisme et un pragmatisme à toute épreuve : des énergies carbonées (produites par des centrales à charbon, à gaz ou à pétrole) dépend la survie de millions de personnes vivant dans les pays en développement. Imiter la Chine et ouvrir de nouvelles centrales à charbon, de nouvelles mines, est donc devenu un impératif pour ces pays. Face au réalisme se trouve selon Christian Gerondeau l’idéologie, véhiculée par la propagande du GIEC à travers douze mensonges. Point n’est besoin de les énumérer tous ici, donnons-en seulement la substance. Selon l’auteur, les thèses prévisionnelles du GIEC et des militants de la religion écologiste, animés par une foi inébranlable, sont toutes hyperboliques et endoctrinent la population, et surtout la jeunesse : que ce soit le taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère, la prévision de la montée des océans ou le réchauffement climatique, nouveau responsable de la moindre inondation et de toutes les catastrophes naturelles, tous ces cris venus de l’Occident sont en réalité démesurés par rapport à une réalité bien moins alarmante. Pour garder son esprit critique, il est nécessaire de regarder de près les chiffres et les données scientifiques. De plus, cette nouvelle religion agit contre le bien d’une humanité qui a plus que jamais besoin des énergies fossiles pour sortir de la misère. Enfin, le GIEC et la doxa occidentale font croire qu’il existe un consensus scientifique autour de la question du climat, et qualifient de complotistes les voix dissidentes, alors qu’en réalité de nombreux scientifiques, à la voix moins criarde certes que les militants dépourvus de tout esprit scientifique, veulent nuancer la pensée unique des médias et des universités et prônent un réalisme climatique fondé en raison. En définitive, le discours écologiste semble relever pour C. Gerondeau d’une énième manifestation de la lutte des classes, avec d’un côté des Occidentaux égoïstes, le plus souvent bourgeois et bobos, et de l’autre les pays en développement qui reçoivent les injonctions écologistes alors que leur population vit dans des conditions précaires. D’où le manifeste présent dans l’ouvrage : Poor people lives matter. Car au milieu de ces débats d’idées qui confinent à l’hystérie, il y a une réalité humaine qu’il ne faut pas oublier. [ Signé : Gabriel Daruni dans Lectures Mars 2023 de La Nef ] PS : Qu'est-ce que La Nef ? : La Nef a été créée en décembre 1990, c'est un magazine mensuel, catholique et indépendant. Ce faisant, La Nef s'inscrit clairement et sans complexe dans une ligne de totale fidélité à l'Église et au pape qui la gouverne.
Une vision profondément négative...
5/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. Christian Gérondeau vient de publier un pamphlet contre les mensonges du GIEC, soulignant que la nouvelle religion écologiste empêche le développement des pays pauvres. Autrement dit, en voulant sauver la planète, elle maintient la mortalité des pays les moins développés. Pour sortir de la pauvreté, les pays en développement ont un besoin vital, comme nous l’avons eu nous-mêmes, d’une énergie abondante. Or l’essentiel de cette énergie ne peut-être que d’origine fossile, contrairement aux affirmations du GIEC. Selon l’auteur, cet organisme ment effrontément. Il l’a fait par exemple lorsqu’il a déclaré en 2011 dans un rapport célèbre, que l’humanité pourrait se passer des énergies fossiles en 2050 et que “près de 80 % des besoins d’énergie de l’humanité pourraient alors être satisfaits par les énergies renouvelables.” Or toutes les projections des institutions officielles montrent que ces dernières ne pourront répondre au mieux à cette date qu’à 10% des besoins et que les énergies fossiles en satisferont toujours près de 80 %. Il faut dire que l’auteur de ce rapport fondateur n’était autre qu’un écologiste allemand dépourvu de tout diplôme, mais “Coordinateur international de Greenpeace pour les questions climatiques ” et rémunéré par l’industrie photovoltaïque. Le livre énumère douze mensonges, qui concernent l’évolution de la température terrestre, la montée supposée des eaux, la survie de la faune et de la flore, etc… C’est que les Nations Unies ont été prises en main depuis 30 ans par les représentants des grandes ONG écologistes et tout particulièrement par les verts allemands, animés d’une vision profondément négative et culpabilisatrice de l’Homme. [ Présenté par Michel Janva le 17 août 2022 ] P.S. : Salon Beige, qui êtes-vous ? - Nous sommes quelques laïcs catholiques, dans la tranche d’âges 30-50 ans. Ce qui nous unit, c’est notre Foi catholique et notre désir, au fil de l’actualité, de réfléchir à voix haute sur la façon de l’appliquer dans la société actuelle. Fidèles au Pape, au Magistère de l’Eglise, nous voulons travailler au Bien commun de la société en informant nos lecteurs sur l’actualité, vue au regard de la doctrine sociale de l’Eglise. Le directeur de la publication est Guillaume de Thieulloy. Adresse : Tour CIT, 3 rue de l’Arrivée, 75015 Paris ]
Les vies des gens pauvres importent
5/5 Francis Richard
.----. Grâce à la COP de Glasgow (1) , les choses sont ainsi claires. Contrairement aux affirmations sans cesse réitérées depuis trois décennies, l'humanité ne peut se passer dans tout avenir prévisible d'avoir recours aux trois énergies fossiles que sont le charbon, le pétrole et le gaz naturel. En effet lors du vote de clôture de cette COP (2) , le 13 novembre 2021, le représentant de l'Inde, approuvé par celui de la Chine, a refusé d'accepter la rédaction de la résolution qui prévoyait d'accélérer les efforts en vue de cesser (phase out) d'avoir recours au charbon. Pourquoi? Parce que Poor people lives matter, autrement dit les vies des gens pauvres importent. Or il n'y a pas de sortie de la pauvreté et de prospérité sans énergie et les pays développés (clairement égocentriques) ne doivent pas empêcher les pays qui ne le sont pas de le devenir. Dans les pays développés, la religion écologiste repose sur au moins douze mensonges, par lesquels leurs auteurs, sous prétexte de sauver la planète, s'opposent à la Science, avec pour conséquence le sacrifice de millions d'êtres humains: Chaque année plus de quatre millions de personnes, essentiellement des femmes et des enfants, meurent dans l'indifférence générale du fait des émanations des foyers intérieurs délétères sur lesquels ils sont contraints de faire chauffer leur nourriture, et qui sont alimentés par du bois, du charbon, voire des excréments d'animaux. 1 - LE GIEC AGIT POUR LE BIEN DE L'HUMANITÉ En faisant croire qu'il est possible de se passer des énergies fossiles, qui répondent aujourd'hui à 80% des besoins énergétiques, le GIEC n'agit pas pour le bien de l'humanité. Trois graphiques publiés dans le livre de Christian Gerondeau montrent en effet que plus les émissions de CO2 sont élevées: plus un pays est prospère; plus grande est l'espérance de vie; plus les morts juvéniles diminuent: Jamais effectué jusqu'à ce jour par les responsables du GIEC qui affirment vouloir sauver le monde, le rapprochement entre les émissions de CO2 qui ne font que traduire le recours aux énergies fossiles, et la vie des êtres humains change entièrement les données du problème. Croyant bien faire en se préoccupant de la planète, des animaux et des plantes, ils ont oublié l'Homme. 2 - LES ÉNERGIES RENOUVELABLES PEUVENT REMPLACER LE PÉTROLE ET LES AUTRES ÉNERGIES FOSSILES En 2011 le GIEC a publié un Rapport Spécial sur les Énergies Renouvelables et la lutte contre le réchauffement climatique, dans lequel était affirmé que près de 80% de l'énergie mondiale pourraient être procurés par les énergies renouvelables au milieu du siècle. Or l'électricité représente aujourd'hui quelque 22% des besoins énergétiques finaux de la planète; les énergies renouvelables ne peuvent fournir, compte tenu de leur intermittence, au mieux qu'une petite moitié de celle-ci dans chaque pays. Or les prévisions officielles de besoins énergétiques de tous les pays montrent que les énergies fossiles répondront encore en 2040 à 75% au moins des besoins de la planète contre 81% aujourd'hui, et que le pourcentage ne sera guère différent en 2050, au lieu de 0% que demande le GIEC. De plus, dans l'hypothèse où cela serait possible, le montant des investissements nécessaires pour atteindre la "neutralité carbone" en 2050, pourrait atteindre 173 000 milliards de dollars, selon un rapport de Bloomberg New Energy Finance. 3 - LE PÉTROLE VA BIENTÔT MANQUER Les réserves de la planète économiquement accessibles représentent a minima 100 ans de consommation mondiale actuelle, soit 4,5 milliards de tonnes par an. En prenant pour hypothèse que les 8 milliards d'habitants de la planète consomment 1 tonne par an par habitant comme en France, cette durée serait certes réduite, mais ce serait ne pas tenir compte de la diminution de consommation due aux progrès techniques et de la possible production de biocarburants par les pays tropicaux et équatoriaux. 4 - LA MER VA NOUS ENVAHIR [Les rapports du GIEC eux-mêmes], tels que celui de 2014, mettent en évidence que la hausse enregistrée depuis plus de 150 ans par les marégraphes d'Europe et d'ailleurs n'a pas excédé depuis 1880 un rythme moyen de moins de 2 millimètres par an. Pour ce qui est des rivages, pour les zones non rocheuses, dont la pente est au moins de 1% au voisinage de la mer comme l'ont relevé les études du CNRS, une hausse de 20 centimètres les ferait reculer de 20 mètres au bout d'un siècle, à supposer qu'on ne les surélève pas pour l'éviter si nécessaire! De plus, l'altitude des terres situées en bord des mers n'est jamais de zéro. Sinon celles-ci seraient envahies par la mer à chaque marée ou à chaque tempête. Enfin, le fait que l'Antarctique où se trouvent les 9/10es de la glace polaire ne se réchauffe pratiquement pas ne conduit pas à l'inquiétude. Conclusion: À l'échelle de la vie humaine, la mer ne monte pas. 5 - IL EST PROUVÉ QUE LA TEMPÉRATURE VA S'ÉLEVER DRAMATIQUEMENT De 1850 à nos jours, d'après le GIEC lui-même, l'élévation n'a pas dépassé 1,1°C soit 0,6°C par siècle c'est-à-dire dix fois moins que les prévisions [.] du GIEC faites quelques mois avant la COP21 à Paris. Les plus récentes prévisions du GIEC évoquent une hausse de 1,5 à 2°C au cours des 20 prochaines années, en omettant de préciser que cette hausse est calculée à partir de l'année de référence de 1850: Qui pourrait croire que l'on aille à la catastrophe avec une hausse de 0,4 degré, voire de 0,9 degré, à supposer même qu'elles se produisent? C'est oublier qu'entre les époques glaciaires et interglaciaires, la différence des températures a excédé 10 degrés. 6 - LES RÉFUGIÉS CLIMATIQUES VONT DÉFERLER Deux facteurs infirment cette assertion: - l'accroissement de la teneur en CO2 dans l'atmosphère a favorisé l'accroissement de la production de céréales: elle a quadruplé de 1960 à aujourd'hui; - le réchauffement en cours est inégalement réparti: si la hausse a approché 3 degrés depuis 1950 dans l'Arctique, elle a pratiquement été inexistante (1/2 degré) dans les zones équatoriales et subtropicales. En tout cas, pour le moment, il n'y a pas de réfugiés climatiques: La planète compte malheureusement 80 millions de réfugiés, mais ceux-ci quittent leurs terres d'origine pour de tout autres causes. 7 - LE CHANGEMENT CLIMATIQUE EST RESPONSABLE DE TOUTES LES CATASTROPHES Des événements climatiques d'exception ont toujours eu lieu, alors même qu'ils sont désormais imputés de nos jours au réchauffement climatique. 8 - LES OURS BLANCS SONT EN DANGER Les ours blancs ont failli disparaître. Ils n'étaient plus que 10 000 il y a cinquante ans: C'était le résultat de chasses incontrôlées auxquelles les autorités canadiennes mirent fin en 1975. Depuis lors, leur nombre n'a cessé de croître pour atteindre aujourd'hui 30 000 si ce n'est plus, niveau au-delà duquel ces carnivores féroces présenteraient un danger excessif pour les populations humaines locales, ce qui justifie la politique de contrôle judicieusement menée par le gouvernement canadien. 9 - LE CO2 EST UN POLLUANT C'est tout le contraire, c'est le gaz de la vie: Comme l'apprennent les enfants à l'école, le CO2 est l'élément central de la photosynthèse qui, sous l'influence des rayons solaires, l'associe à l'eau (H2O) pour donner naissance aux végétaux et ensuite aux animaux parmi lesquels figurent les êtres humains. La hausse de la teneur en CO2 a permis le reverdissement de la planète et a favorisé les récoltes. 10 - L'ÉCOLOGIE FAVORISE L'EMPLOI ET LA CROISSANCE Les dépenses consenties au nom de l'écologie et non justifiées par ailleurs détruisent massivement des emplois. C'est pour cela que l'Europe, et donc notre pays (3) , s'est engagée sur la voie du déclin par son "Pacte Vert" actuel qui se chiffre en centaines de milliards d'euros qui seront inutilement gaspillés dans de multiples domaines dans l'illusion vaine de "sauver la planète". 11 - LE GIEC EST UN GROUPE D'EXPERTS Le GIEC n'est pas une organisation scientifique mais politique, à trois étages: - L'Assemblée Générale composée de représentants diplomatiques des 195 pays membres; - Le Bureau composé à parité de membres des pays développés et en développement, où il n'y a que de rares experts nommés par les quelques pays développés qui en ont; - Le Président qui peut avoir des pouvoirs considérables: aucun des quatre qui se sont succédé n'étaient climatologues. Les deux premiers étages sont des chambres d'enregistrement à l'exception des 19 membres du Comité Exécutif du deuxième. Les experts qui contribuent au rapport ont la plupart des compétences limitées à un seul des multiples aspects du domaine du climat. C'est un petit groupe de rédacteurs finaux qui en tire des conclusions. Le dernier rapport est donc signé par 751 auteurs issus de 66 pays: il cite plus de 14 000 références et a fait l'objet de 78 007 commentaires émanant d'experts et de représentants des gouvernements: Il s'agit là de la caricature d'une véritable démarche scientifique, qui admettrait la possibilité du doute et de la modestie face à des phénomènes d'une extrême complexité, et ne consulterait que quelques véritables experts du climat dûment qualifiés, et non 751 dont la plupart ne peuvent en être. 12 - LES SCIENTIFIQUES SONT UNANIMES Les affirmations du GIEC ont été dénoncées par des sommités reconnues de la science du climat telles que Marcel Leroux, Richard Lindzen, Roger Revelle, Fred Singer, Chris Landsea ou Paul Reiter. Plus de trente mille scientifiques américains, par exemple, ont signé l'Oregon Petition qui stipule qu'il n'existe aucune preuve scientifique convaincante que les rejets de CO2 provoquent un réchauffement catastrophique de l'atmosphère terrestre et perturbent le climat. Des centaines d'autres scientifiques de 36 pays ont signé une déclaration élaborée par Clintel qui réfute la prétendue urgence climatique. CONCLUSION Il faut combattre cette vision du monde mortifère colportée par le GIEC et fondée sur des croyances et non pas sur des faits, bref il faut revenir sur terre. Il faut remettre les choses dans l'ordre et donner la priorité à l'Homme en regard d'une planète dont rien ne prouve de surcroît qu'elle soit menacée, et des plantes et des animaux qui y vivent: Si tout va bien, le XXIe siècle sera celui de la disparition de la pauvreté massive sur Terre, et des morts qui en découlent par millions. Laissons à nos lointains successeurs du XXIIe siècle le soin de résoudre leurs propres problèmes, certains qu'ils trouveront des solutions auxquelles nous ne pouvons même pas penser. Francis Richard 1- Du 1er au 12 novembre 2021 2- Conference of Parties 3- La Suisse aussi, à un moindre degré. Quatre annexes, à lire avec profit, complètent l'ouvrage: I Résumé II Les six acteurs de la désinformation III Le flux et le stock - Les faits par les chiffres IV La voiture électrique PS / Publié le 3 avril 2022 par Le blog de Francis Richard "Semper longius in officium et ardorem" - Ce blog se veut catholique, national et libéral. Catholique, il ne s'attaque pas aux autres religions, mais défend la mienne. National, il défend les singularités bienfaisantes de mon pays d'origine, la France, et celles de mon pays d'adoption, la Suisse, et celles des autres pays. Libéral, il souligne qu'il n'est pas possible d'être un homme (ou une femme) digne de ce nom en dehors de l'exercice de libertés.